actualité écologie

Cyberaction N° 852: Refus du CETA Bravo et Merci au Gouvernement wallon

22 V'là les acteurs des transitions

2023 l'année des droits

Les amis des 150

EPR : Echec Prévisible de la Roulette Russe

SPAM etc...

Jour du dépassement : Pourquoi le recul cette année du 'jour du dépassement' est un trompe-l'œil

33è anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl

APPEL : Les petits pas ne suffisent pas

vacances de votre animateur

météo

Ne laissez pas vos appareils en veille

PROJECTION DU FILM UNE FOIS QUE TU SAIS

Le Gouvernement abandonne le projet de Notre Dame des Landes

AG Cyberacteurs

Journal des Bonnes Nouvelles

2024 année délicate

image vide cyberacteurs
image vide

Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Seine-et-Marne consultation publique sur la période complémentaire de vénerie sous terre du blaireau

Mise en ligne du 07/05/2020 au 20/05/2020

Le projet d’arrêté soumis à consultation du public concerne l’autorisation de 2 périodes complémentaires de déterrage du blaireau en 2020-2021 :
« ARTICLE 1 »

Bilan de la cyberaction :

1546 participants

Présentation de la cyberaction :

La préfecture a publié une note de présentation.
http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/42781/320765/file/ARP-064-Note-Consultation.pdf  

AVES France vous invite à vous opposer à ce projet d’arrêté , avant le 20 Mai 2020.
http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/42775/320741/file/ARP-064_BLAIREAU_CONS.pdf  

SUR LA FORME :

Ce projet d’arrêté fixe l’ouverture pour la vénerie sous terre du blaireau de deux périodes complémentaires du 1er juillet 2020 au 19 septembre 2020 inclus et du 15 mai 2021 au 30 juin 2021.

Le projet d’arrêté est accompagné d’une note de présentation qui ne présente aucune donnée exhaustive sur le Blaireau permettant au contributeur de se positionner en fonction des documents présentés, en particulier aucun chiffrage des dégâts.

Or, l’Article 7 de la Charte de l’Environnement précise que : « Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »

Je me permets de vous rappeler qu’au moment de la publication de l’arrêté final, l’article L 123-19-1 du code de l’environnement stipule qu’ « au plus tard à la date de la publication de la décision et pendant une durée minimale de trois mois, l’autorité administrative qui a pris la décision rend publics, par voie électronique, la synthèse des observations et propositions du public avec l’indication de celles dont il a été tenu compte, les observations et propositions déposées par voie électronique ainsi que, dans un document séparé, les motifs de la décision. » Je vous remercie donc de bien prévoir la publication d’une synthèse des avis qui vous ont été envoyés.

SUR LE FOND :

Certains départements n’autorisent plus la période complémentaire du blaireau, et notamment les départements des Alpes-de-Haute-Provence, des Hautes-Alpes, des Alpes-Maritimes, de l’Aude, des Bouches-du-Rhône (depuis 2016), de la Côte d’Or (depuis 2015), de l’Hérault (depuis 2014), du Var, du Vaucluse, des Vosges, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.
L’article 9 de la Convention de Berne n’autorise les dérogations à l’interdiction de porter atteinte aux espèces protégées qu’« à condition qu’il n’existe pas une autre solution satisfaisante et que la dérogation ne nuise pas à la survie de la population concernée pour prévenir des dommages importants aux cultures, au bétail, aux forêts, aux pêcheries, aux eaux et aux autres formes de propriété ». Pour être légales, les dérogations à l’interdiction de porter atteinte aux blaireaux doivent être justifiées par trois conditions, devant être cumulativement vérifiées : la démonstration de dommages importants aux cultures notamment ; l’absence de solution alternative ; l’absence d’impact d’une telle mesure sur la survie de la population concernée. Ces trois conditions ont-elles été discutées lors de la Commission Départementale de la Chasse et de la Faune Sauvage ?
Cette pratique, appelée « vénerie sous terre », est particulièrement barbare et cruelle. Elle inflige de profondes souffrances aux animaux puisqu’elle consiste à acculer les blaireaux dans leur terrier à l’aide de chiens, puis, pendant plusieurs heures, à creuser afin de les saisir avec des pinces. Les animaux, dans un état de stress très important, sont ensuite achevés à la dague.

Lorsque la vénerie est pratiquée à partir du 15 mai, les jeunes blaireaux de l’année ne sont pas entièrement sevrés et dépendent encore des adultes. En effet, les périodes choisies pour ces abattages — tout comme les périodes complémentaires de chasse du blaireau — sont en contradiction avec l’article L. 424-10 du Code de l’environnement, selon lequel « il est interdit de détruire (…) les portées ou petits de tous mammifères dont la chasse est autorisée ».

Les jeunes blaireaux ne sont absolument pas sevrés et forcément ne sont pas émancipés au moment des périodes complémentaires de chasse du blaireau comme l’a démontré l’étude « Contribution à l’étude de la reproduction des Blaireaux Eurasiens (Meles meles) et de la période de dépendance des blaireautins en France » réalisée par Virginie Boyaval, éthologue sur le blaireau : « […] au mois de mai, juin, juillet, les blaireaux juvéniles ne peuvent pas survivre sans leur mère. Ils sont sevrés à l’âge de 4 mois et commencent progressivement leur émancipation pour une durée de plusieurs mois s’étalant de 1 à 4 mois et ne peuvent donc être considérés comme étant émancipés qu’à partir de l’âge de 6 à 8 mois minimum. La destruction des blaireaux, débutant généralement à partir de la mi-mai, compromet le succès de reproduction de l’espèce. La destruction des mères allaitantes, laisse de nombreux orphelins incapables de survivre seul ». Par conséquent pour épargner la nouvelle génération, il faut prendre en considération non pas la période de sevrage mais la période de dépendance des jeunes qui va jusqu’à fin juillet ; il convient donc de préserver la vie des mères jusqu’à la fin de la période de dépendance des jeunes afin que ceux-ci puissent survivre.

La période d’allaitement des blaireautins s’étale au-delà du 15 mai, et les jeunes restent dépendants jusqu’à l’automne, ils sont donc présents dans les terriers pendant la période de déterrage. Il est donc nécessaire de prendre en considération la période dépendance des jeunes comme référence et non pas le sevrage lui-même si l’on veut respecter la survie des jeunes.

La vénerie sous terre n’est pas sans conséquences pour d’autres espèces sauvages. En effet, une fois l’opération terminée, les terriers se trouvent fortement dégradés. Or ces derniers sont régulièrement utilisés par d’autres espèces, dont certaines sont réglementairement protégées par arrêté ministériel et directive européenne, comme le Chat forestier (Felis silvestris) pour les départements concernés ou des chiroptères lorsque certaines espèces sont en phase d’hibernation pendant la période de septembre/octobre à fin avril : «Le Petit rhinolophe hiberne dans des gîtes souterrains (mines, caves, sous-sols ou même terriers de Renard ou de Blaireau)» source Atlas des Mammifères de Bretagne éd. 2015.

Le Conseil de l’Europe recommande d’interdire le déterrage : « Le creusage des terriers, à structure souvent très complexe et ancienne, a non seulement des effets néfastes pour les blaireaux, mais aussi pour diverses espèces cohabitantes, et doit être interdit. »

Il faut obligatoirement que la totalité de la période de chasse du blaireau, qu’elle soit assortie d’une période complémentaire ou non, fasse l’objet de déclaration d’intervention auprès de la DDT et d’un compte-rendu de cette intervention. La fédération doit également être capable de fournir, lors de la commission, des éléments pertinents et exhaustifs sur les bilans annuels de tirs et de déterrage et non des données approximatives qui ne permettent pas d’avoir une idée de ce que cela représente par rapport aux populations départementales. Ces éléments chiffrés doivent être rendus publics. Or, ce projet d’arrêté n’est accompagné d’aucune note de présentation pouvant justifier cette période complémentaire.

La période de tir, lorsqu’elle est autorisée jusqu’au 29 février, provoque potentiellement la mort des mères gestantes et ne doit en aucun être autorisé, en application de l’article L424.10 du Code de l’environnement visant à préserver la future génération.

À PROPOS DU BLAIREAU :

Les populations de blaireaux sont fragiles et souffrent de la disparition de leurs habitats (haies, lisières, prairies, …) et sont fortement impactées par le trafic routier.

Inscrit à l’annexe III de la Convention de Berne, le Blaireau d’Europe, Meles meles, est une espèce protégée (cf. art. 7). A titre dérogatoire, la Convention de Berne encadre strictement la pratique de la chasse et la destruction administrative de cette espèce (cf. art. 8 et 9). Le ministère de l’écologie doit soumettre « au Comité permanent un rapport biennal sur les dérogations faites ».

Aux termes de l’article L. 424-10 du Code de l’environnement, « il est interdit de détruire (…) les portées ou petits de tous mammifères dont la chasse est autorisée ». Or, l’article R424-5 du même code précise toutefois que le préfet peut autoriser l’exercice de la vénerie du blaireau pour une période complémentaire à partir du 15 mai, cet article contrevient donc au précédent.
La dynamique des populations de blaireaux est extrêmement faible (moyenne de 2,3 jeunes par an).
Cette espèce n’est jamais abondante (mortalité juvénile très importante (de l’ordre de 50% la 1ère année).

Une mortalité importante de blaireaux est liée au trafic routier.

Les opérations de vénerie peuvent affecter considérablement les effectifs de blaireaux et peuvent entraîner une disparition locale de cette espèce.

Les bilans annuels relatifs à la vénerie sous terre sont généralement très bas et ne régulent pas du tout les populations. Les collisions routières ont certainement un impact bien plus important que le déterrage. Si ces prélèvements ne permettent pas de réguler les populations (pour de quelconques raisons sanitaires ou économiques), alors pourquoi continuer d’accorder des autorisations de déterrage, si ce n’est de contenter quelques acharnés de la pratique de vénerie sous terre ?

Les dégâts que le blaireau peut occasionner dans les cultures de céréales sont peu importants et très localisés, essentiellement en lisière de forêt. Selon l’Office National de la Chasse ONC bulletin mensuel n° 104 : « Les dégâts que peut faire le blaireau dans les cultures ne sont gênants que très localement (…) Et il suffit de tendre une cordelette enduite de répulsif à 15 cm du sol pour le dissuader de goûter aux cultures humaines. »
En ce qui concerne les éventuels dégâts causés sur les digues, routes ou ouvrages hydrauliques par le creusement des terriers, la régulation du blaireau a montré son inefficacité, voire même un effet contre-productif du fait de la place libérée par l’animal éliminé qui est très vite occupée par un autre individu.
Une méthode simple et pérenne consiste à utiliser des produits répulsifs olfactifs sur les terriers posant problème, ceci accompagné de la mise à disposition à proximité de terriers artificiels. Les avantages de cette solution sont que les animaux continueront d’occuper un territoire sur le même secteur et ne permettront pas l’intrusion d’un nouveau clan. (source : LPO Alsace)

Attention, les messages que vous adressez à la préfecture doivent-être personnalisés et argumentés. Ils doivent-être envoyés par formulaire électronique avant le 20 Mai 2020.

AVES France
https://www.consultationspubliques.aves.asso.fr/2020/05/04/aube-jusquau-20-mai-2020-consultation-publique-sur-la-periode-complementaire-de-venerie-sous-terre-du-blaireau/  

Contrairement à notre partenaire, nous revendiquons que la cyber action soit prise en compte comme une façon pour chacune et chacun d'entre vous de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement conformément à l'article 7 ci-dessous

Article 7. – Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement.

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Préfet

Sans donnée chiffrée vous proposez d'étendre à la quasi totalité de l'année la pratique du déterrage d'une espèce protégée chez la plupart de nos voisins européens alors que les petits très vulnérables sont encore au terrier à cette période et que l'utilisation de répulsif suffirait à dissuader de goûter aux cultures humaines.

Comme le Conseil de l'Europe et en application de l’Article 7 de la Charte de l’Environnement je demande que mon avis soit pris en compte pour l’interdiction du déterrage du blaireau, une pratique de chasse barbare et incompatible tant avec la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles qu' avec la sensibilité de l'opinion publique opposée à la chasse.

 

Une erreur est survenue, le nom ou l'email ne sont pas corrects. Merci de recommencer.

13 commentaires

credible

Connexion / inscription
image vide Vous devez posséder un compte pour pouvoir poster un commentaire
Courriel
Mot passe
Rester connecté-e


Ce n'est pas possible, ils ont décider de l'éradiquer de tout le territoire de France?
Il faut une action pour que cela cesse et que tous ces criminels soient condamnés avec l'abolition complète de la chasse sous toute ses formes !!!!

Lionel Bécus
Le 15/05/2020 à 20:59:11

Ca me dégoute profondément de penser que je partage le même pays qu'autant de sadiques ! Presque toute la France est concernée par la chasse aux blaireaux. Un suivi psychiatrique s'impose pour tous ces malades !

Claudette ROSE
Le 15/05/2020 à 18:12:19

Je ne signe pas cette pétition uniquement pour protéger les blaireaux ou montrer mon mépris d'un certain état d'esprit d'une vènerie qui se croit responsable de la gestion de la faune sauvage...
Ce qui me préoccupe vraiment, c'est que l'on puisse qualifier un être vivant de nuisible !!!

Laurent François
Le 15/05/2020 à 17:27:45

QUELLE HONTE !

Seules des SOUS-MERDES peuvent massacrer à coups de pelle une portée de blaireaux !

HONTE A TOUS CEUX QUI LAISSENT PASSER CES LOIES !

Gilles
Le 15/05/2020 à 16:39:10

La splendeur humaine !

Jean-Yves Baudais
Le 15/05/2020 à 16:37:45

Prête à parier que les chasseurs sont contre l'interruption de grossesse, seulement ça ne les dérange pas de charcuter mères gestantes, puis père inoffensif et petits du printemps dans la foulée.
A bas la vènerie, et toutes ces cruelles dispositions pour dépeupler les campagnes.
Aïchat-Nussy.

colette Nusbaum Vallet
Le 15/05/2020 à 15:19:20

Sans donnée chiffrée vous proposez d'étendre à la quasi totalité de l'année la pratique du déterrage d'une espèce protégée chez la plupart de nos voisins européens alors que les petits très vulnérables sont encore au terrier à cette période et que l'utilisation de répulsif suffirait à dissuader de goûter aux cultures humaines.

Comme le Conseil de l'Europe et en application de l’Article 7 de la Charte de l’Environnement je demande que mon avis soit pris en compte pour l’interdiction du déterrage du blaireau, une pratique de chasse barbare et incompatible tant avec la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles qu' avec la sensibilité de l'opinion publique opposée à la chasse.
En quoi les vies humaines auraient plus de valeur que la vie des animaux ?????

Brigitte MAURET
Le 13/05/2020 à 17:46:44

... Alors je complète, ça précise les choses utilement, c'est important, écoutez, lisez, faites circuler :

https://www.youtube.com/watch?v=AKaXg5755lk  

https://www.youtube.com/watch?v=aXwd-iLhmPY  

La dernière vidéo est d'hier. Autres entretiens, capitaux :

https://lesakerfrancophone.fr/valerie-bugault-interview-sur-sputnik  

https://lesakerfrancophone.fr/geopolitique-du-coronavirus-entretien-avec-lucien-cerise  

Voilà ce qui se passe, voilà ce qui nous attend !

Tiphaine
Le 09/05/2020 à 23:55:54

Bonjour Tiphaine,

Merci ! Géniale l'interview de Valérie Bugault. Je l'ai lue...et relue (car c'est ardu pour quelqu'un qui n'a pas cette culture).

Frawald
Le 09/05/2020 à 14:34:48

Stoppons les blaireaux de préfecture !

grégory kotoy
Le 07/05/2020 à 22:09:14

Comme je l'ai dit dans un autre commentaire, les blaireaux ou nous actuellement c'est la même chose. Lisez ce qui suit Frawald vous allez comprendre ce qui se passe et nous attend, il vaut mieux être au courant afin de s'armer en face et d'agir efficacement. Il n'y a vraiment plus rien à attendre de nos "démocraties" telles qu'elles tournent, les recours officiels sont inopérants, on le voit assez, toute la structure est pourrie :

https://strategika.fr/2020/04/01/geopolitique-du-coronavirus-entretien-avec-valerie-bugault/  

Tiphaine
Le 07/05/2020 à 21:12:42

à peine le confinement terminé, et hop on repart dans le massacre, la barbarie du déterrage des blaireaux. Rien ne servira de leçon, c'est dingue ! et tout ça pour le plaisir de chasseurs bien souvent avinés qui se délectent et rient de la souffrance des blaireaux adultes et leurs petits (enquête en caméra cachée qui prouve le sadisme de ces chasseurs)
Stop, c'est à vomir

Leblond Jean-Michel
Le 07/05/2020 à 15:31:00

Une société qui encourage ainsi le massacre d'animaux paisibles se retrouve un jour avec une intelligentsia qui n'a plus de gêne à déclarer à la télé :
"A un moment donné, pour sauver quelques vies de personnes très âgées, on va mettre au chômage quelques milliers de gens ?"
(Christophe Barbier, sur BFMTV le 25/2 - paroles rapportées par le Canard Enchaîné de cette semaine)
On s'habitue au diktat de la rentabilité et de la performance comme on s'habitue à la violence et au sang. C'est la mort des sentiments, la disparition de l'empathie, de l'émotion, le durcissement des cœurs.
Traiter un être vivant et sensible comme un « Stück » (un morceau, un machin, une chose sans valeur) nous rapproche chaque fois un peu plus du portail d’Auschwitz.

Frawald
Le 07/05/2020 à 12:41:16

traits de séparation
Agir
+ Pétitions
+ Cyber actions
+ Liste rapide
+ Proposer
+ Vigilance roundup
+ Cyber manifestations
+ Bilans
+ Lanceurs d'alertes
+ Consultations
Super actions
+ Vigilance roundup
+ Hors TAFTA
S'informer
+ Blog
+ e-quotidien
+ Sites amis
+ Annuaire solidaire
+ Publications
+ Vidéo
+ Agenda
+ Liste d'élus
+ Infos sur les OGM
Nous connaître
+ L'association.
+ Les statuts
+ FAQ
+ Nous contacter
Mon compte
+ Connexion
+ Déconnexion
+ Inscription
+ Lettre d'infos
+ Mon profil
Nous aider
+ Don
+ Adhésion
+ Recommander
+ Code pour sites
+ Livre d'or
+ Boutique solidaire

 

notre page framasphère    notre page facebook    icone twitter    icone google+   icone flux rss   
traits de séparation
| CYBERACTEURS | C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 Quimper | Mentions légales
| GRAPHISTE : Mary-Morgane |
logo enercoop

CSS Valide !