Cette cyberaction est maintenant terminée
En 2012, le candidat à la présidence, François Hollande, préconisait une politique d'incitation préférentielle à l’utilisation de logiciels libres par les administrations publiques.
Le 30 novembre 2015, l’éducation nationale signait un partenariat avec Microsoft, confiant au géant du logiciel le soin de développer le plan numérique à l’école. Une collusion d’intérêts qui fait bondir tous les défenseurs du logiciel libre.
4997 participants
Pourquoi Framasoft n’ira plus prendre le thé au ministère de l’Éducation Nationale ?La ministre Najat VallaudBelkacem et Alain Crozier, le président de Microsoft France, viennent de ratifier un « partenariat » retentissant le 30 novembre 2015. Pour 13 millions d’euros, le géant du logiciel promet de mettre en place des formations, une mise à disposition de matériels, et même un algorithme d’analyse de la réussite des élèves. « Un traité d’occupation », dénonce Rémi Boulle, vice-président de l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre. Avec plusieurs syndicats de l’enseignement, il dénonce une collusion d’intérêts scandaleuse, qui fait les affaires de l’entreprise privée. Mais sûrement pas celle des élèves et d’une école indépendante des intérêts financiers.
Dûment formés, les 2 500 chefs d’établissement vont pouvoir organiser l’installation dans les écoles des outils Microsoft à destination des élèves. Tous utiliseront ainsi Office 365, la suite bureautique en ligne, qui sera l’outil de base pour mettre en place un tableau de bord numérique pour chaque élève. Ce dernier y trouvera des exercices en ligne, élaborés par Microsoft ou ses partenaires.
Ce partenariat inquiète les principales associations de défense du logiciel libre et cinq syndicats d’enseignants (CGT, Unsa, SUD, Sgen et la Fédération des enseignants documentalistes). Dans une déclaration commune, ils dénoncent «une collusion d’intérêts». «Microsoft va disposer d’une vue d’ensemble de l’éducation puisque les données, privées, concernant les personnels et les élèves vont lui être confiées», s’insurge Mathieu Brabant, secrétaire national de la CGT éduc’action. «Ce choix est d’autant plus aberrant que l’éducation nationale dispose des ressources humaines compétentes pour créer ses propres outils, qui garantiraient la sécurité des données bien mieux que les prestataires privés», complète Florian Reynaud, président de la Fédération des enseignants documentalistes de l’éducation nationale (Fadben).
En France, le ministère de l’Éducation souhaiterait que 100% des collégiens soient équipés d’une tablette tactile à la rentrée 2018. Un appel d’offres est en préparation, et Microsoft est dans les starting-blocks. Mais, plus important pour le géant, lorsqu’un élève apprend dès l’école à se servir de certains logiciels et outils, il y a fort à parier qu’il souhaite retrouver le même environnement informatique à son domicile et, plus tard, dans sa vie professionnelle. Un apprentissage logiciel, c’est développer une familiarité avec une interface et des mécanismes. Lorsqu’on en change, il faut tout réapprendre.
Autre point de contestation: les logiciels que vont utiliser les élèves sont fermés, privés. Leur utilisation risque d’exclure les logiciels libres et ouverts, pourtant déjà très utilisés à l’école. Bruno Coudouin, le créateur de GCompris, un logiciel libre usité par des milliers d’enseignants et d’élèves de primaire, explique tout l’intérêt du libre. «Lors d’une séance d’apprentissage de l’utilisation de la souris, un enseignant a repéré que des élèves réussissaient l’exercice en bougeant la souris rapidement dans tous les sens. Ce qui n’était pas le but. Il a pu modifier le code pour que le jeu annule les déplacements trop rapides. Cette amélioration est désormais disponible pour l’ensemble des utilisateurs.» Cette ouverture est rendue impossible avec les outils de Microsoft, soigneusement fermés. «Cet accord va à l’encontre des valeurs et des pratiques de partage que nous mettons en avant depuis de nombreuses années», déplore Bruno Coudouin. Pour le responsable de la Fadben, Florian Reynaud, ce partenariat sape aussi le travail quotidien auprès des élèves, dont «on essaie de nourrir l’esprit critique en leur montrant qu’il existe des alternatives aux géants Google, Facebook et Microsoft…».
Cet accord contredit, enfin, les attentes de la majorité des 60000 participants à la consultation nationale «sur le numérique dans l’éducation», organisée au début de l’année par Najat Vallaud-Belkacem. 95% d’entre eux plébiscitaient pour les élèves et les professeurs «un accès libre aux ressources culturelles et scientifiques des établissements publics». De nombreuses propositions ont émergé de cette consultation, telle la création d’une licence numérique «enseignement» gratuite et s’appuyant sur le logiciel libre.
Sources :
EduNathon demande l'annulation du contrat Education Nationale et Microsoft
http://lamouette.org/180-edunathon-recours-ministre-accord-education-nationale-microsoft
Logiciels : harmonie Hollande-Sarkozy sur le libre, divergence sur les brevets
http://www.itespresso.fr/logiciels-harmonie-hollande-sarkozy-sur-le-libre-divergence-sur-les-brevets-52703.html
Microsoft et l’Éducation nationale : le scandale continue
http://framablog.org/2014/05/21/microsoft-academie-de-paris/
Les profs réfléchissent sur le numérique à l’école… chez Microsoft !
http://www.bastamag.net/Journee-sur-le-numerique-les-profs
Numérique à l’école : Microsoft France renforce son partenariat avec le Ministère de l’Education nationale
http://news.microsoft.com/fr-fr/2015/11/30/numerique-a-l-ecole-microsoft-france-renforce-son-partenariat-avec-le-ministere-de-l-education-nationale/
l'humanité
Petits-fours, hôtesses et logiciels… le lobbying très bien rodé de Microsoft
http://www.humanite.fr/petits-fours-hotesses-et-logiciels-un-lobbying-tres-bien-rode-593380
L'Éducation Nationale vend nos enfants à Microsoft pour 13 millions
https://blogs.mediapart.fr/ilian-amar/blog/081215/leducation-nationale-vend-nos-enfants-microsoft-pour-13-millions
 
Courriel | |
Mot passe | |
Rester connecté-e
|
un anonyme
Le 03/09/2016 à 20:40:39
hypatia
Le 01/09/2016 à 21:08:06
Alain Uguen
Le 23/08/2016 à 15:26:42
georges glise
Le 11/05/2016 à 21:08:56
Dominique PLATON
Le 11/05/2016 à 14:22:03
Bernard FORTIER
Le 04/05/2016 à 01:23:33
Alain Wazner
Le 03/05/2016 à 04:22:06
JEAN LAPORTE
Le 30/04/2016 à 20:11:38
André PROT
Le 29/04/2016 à 18:44:16
georges glise
Le 10/03/2016 à 12:09:54
Ariane Maître
Le 01/03/2016 à 16:20:53
Steff
Le 24/02/2016 à 14:11:10
GELLENONCOURT Michel
Le 12/02/2016 à 16:24:26
sylvie henry reant
Le 10/02/2016 à 19:02:02
Philippe Devillers
Le 07/02/2016 à 15:25:22
Philippe Daupias
Le 07/02/2016 à 13:23:42
Parouty jean
Le 07/02/2016 à 11:56:01
oldena
Le 07/02/2016 à 10:31:02
un anonyme
Le 06/02/2016 à 15:45:28
un anonyme
Le 05/02/2016 à 14:18:18
Roland Peccoud
Le 04/02/2016 à 19:41:59
Michel ISAMBERT
Le 04/02/2016 à 15:40:47
Monique
Le 03/02/2016 à 22:14:38
FEDE
Le 03/02/2016 à 21:46:35
istaya
Le 03/02/2016 à 20:10:25
Majo
Le 03/02/2016 à 18:16:09
Pascal Leclerc
Le 03/02/2016 à 16:32:27
Michel GELLENONCOURT
Le 03/02/2016 à 10:33:57
Gabriel Berthomieu
Le 03/02/2016 à 10:07:30
Sylvette Aligé
Le 03/02/2016 à 10:01:03
un anonyme
Le 02/02/2016 à 19:40:44
Guy.D
Le 02/02/2016 à 18:48:25
derry30
Le 02/02/2016 à 18:26:25
G56
Le 02/02/2016 à 17:36:39
Gena P.
Le 02/02/2016 à 17:01:41
Denis JUANOLA
Le 02/02/2016 à 16:52:34
Danièle LORUT
Le 02/02/2016 à 16:48:55
champigny
Le 02/02/2016 à 16:15:13
Evelyne MARIUS
Le 02/02/2016 à 15:40:24
Georges-Henri Clopeau
Le 02/02/2016 à 14:39:48
Antoine LIENHARD
Le 02/02/2016 à 13:41:27
un anonyme
Le 02/02/2016 à 13:20:40
alexis gueusquin
Le 02/02/2016 à 12:42:17
Dominique SPICK
Le 02/02/2016 à 12:28:48
Denis FLANDRIN
Le 02/02/2016 à 12:25:13
Darna
Le 02/02/2016 à 12:00:22
Jacqueline BONNEFOY-CLAUDET
Le 02/02/2016 à 11:38:57
Alain Karelber
Le 02/02/2016 à 10:32:01
Didier RION
Le 02/02/2016 à 10:19:53
genevieve GARDENAT
Le 02/02/2016 à 10:03:09
Isabelle
Le 02/02/2016 à 10:01:19
Jean-François BOGAERS
Le 02/02/2016 à 09:37:41
ajourd
Le 02/02/2016 à 09:18:45
Patrick Pourbaix
Le 02/02/2016 à 08:31:11
Monique
Le 02/02/2016 à 08:07:50
Nelly Bordeau
Le 02/02/2016 à 08:07:19
Jeanine
Le 02/02/2016 à 07:07:56
Julien Delalande
Le 02/02/2016 à 00:48:32
Jean.H
Le 01/02/2016 à 23:47:23
Daniel Chateigner
Le 01/02/2016 à 23:36:12
Mondo
Le 01/02/2016 à 22:23:52
Mondo
Le 01/02/2016 à 22:20:45
Jean Claude GUILLEMET
Le 01/02/2016 à 22:08:06
Catherine Mollière
Le 01/02/2016 à 22:07:54
Jean-Michel PENELON
Le 01/02/2016 à 22:02:17
Jacques GROSPELIER
Le 01/02/2016 à 21:47:42
Raphael DARLEY
Le 01/02/2016 à 21:10:06
david barrillon
Le 01/02/2016 à 20:45:22
joseph PERES
Le 01/02/2016 à 20:36:42
Pierre VEYRAND
Le 01/02/2016 à 20:24:20
Denis MARION
Le 01/02/2016 à 20:21:55
Michèle PREISS
Le 01/02/2016 à 20:18:25
Bernard BOISSON
Le 01/02/2016 à 20:15:10
Philippe Devillers
Le 01/02/2016 à 19:12:24
JEAN LAPORTE
Le 01/02/2016 à 19:07:43
Eric Chevreux
Le 01/02/2016 à 18:53:26
03jozi64
Le 01/02/2016 à 18:50:21
Kabire Fidaali
Le 01/02/2016 à 18:37:02
monette
Le 01/02/2016 à 18:36:20
Denis LEFEVRE
Le 01/02/2016 à 18:27:40
Rémy GILLET-CHAULET
Le 01/02/2016 à 18:26:43
Stéphane Moulinet
Le 01/02/2016 à 18:24:19
Philippe Daupias
Le 01/02/2016 à 18:18:32
bernard stimbre
Le 01/02/2016 à 18:17:59
domisyl
Le 01/02/2016 à 18:07:59
Hubert KESSELER
Le 01/02/2016 à 18:04:50
Christian FAURE
Le 01/02/2016 à 17:57:27
christophe toularastel
Le 01/02/2016 à 17:55:52
Christian FAURE
Le 01/02/2016 à 17:45:04
nathoumotte
Le 01/02/2016 à 17:44:31
Roland KRZEPISZ
Le 01/02/2016 à 17:42:25
rodolphe
Le 01/02/2016 à 17:40:24
un anonyme
Le 01/02/2016 à 17:37:16
Raoul Marc JENNAR
Le 01/02/2016 à 17:31:44
padupe
Le 01/02/2016 à 16:15:47
Talbot
Le 01/02/2016 à 15:46:52
Christine Volant
Le 01/02/2016 à 15:42:27
Laurent PAGANI
Le 01/02/2016 à 15:10:00
Paris, le 12 juillet 2024 – Le Guide d’accompagnement du programme de technologie au cycle 4, daté de février 2024, recommande de “privilégier” les logiciels libres dans de nombreuses activités pédagogiques et technologiques. Le CNLL, Conseil National du Logiciel Libre, se réjouit de cette avancée significative dans l’intégration des logiciels libres au sein des programmes éducatifs français. Toutefois, le CNLL regrette que cette évolution ait nécessité 12 ans et que les recommandations concernant les logiciels libres demeurent principalement confinées à l’enseignement technologique.
Une Avancée Louable
Le Guide d’accompagnement du programme de technologie incite explicitement les enseignants à “privilégier” l’utilisation de logiciels libres pour diverses activités pédagogiques et technologiques: “usages bureautiques, réalisation de cartes mentales, exploitation de ressources multimédia (voix, données, images, réalité virtuelle), représentation du réel, conception 3D à l’aide de modeleurs numériques, logiciels de simulation et d’étude de comportement liées aux 3 domaines d’application (Matière, Énergie, Information), programmation des OST, des interfaces…” (page 19, section “Les outils logiciels, les applications numériques”).
Cette approche est en ligne avec les propositions émises par le CNLL en 2012, qui soulignaient l’importance des logiciels libres pour favoriser une économie de la connaissance et répondre aux défis des mutations technologiques rapides.
Le CNLL recommande l’usage des logiciels libres dans l’éducation pour les raisons principales suivantes :
Liberté et légalité : les logiciels libres offrent une liberté d’utilisation, de modification et de distribution, permettant ainsi aux établissements scolaires de respecter la légalité tout en ayant un contrôle total sur les outils qu’ils utilisent.
Accessibilité pour les élèves : en privilégiant les logiciels libres, les établissements et les enseignants permettent aux élèves de les utiliser à titre personnel sans restriction. Cela favorise l’égalité des chances et l’accès à des outils éducatifs de qualité pour tous les élèves, indépendamment de leurs moyens financiers.
Flexibilité et personnalisation : les logiciels libres permettent une grande flexibilité et peuvent être adaptés aux besoins spécifiques des enseignants et des élèves. Les enseignants ont la possibilité de modifier et d’améliorer les logiciels en fonction des besoins de leur classe.
Transparence et sécurité : étant donné que le code source des logiciels libres est accessible à tous, il peut être examiné et vérifié, ce qui améliore la transparence et la sécurité. Cela permet de détecter et de corriger rapidement les éventuelles vulnérabilités.
Communauté et support : les logiciels libres bénéficient souvent d’une communauté d’entreprises, de développeurs et d’utilisateurs qui partagent des ressources, proposent du support et contribuent à l’amélioration continue des logiciels, dans un cadre qui peut être contractualisé. De plus, ces communautés actives peuvent permettre des échanges de bonnes pratiques dans le domaine pédagogique.
Le CNLL tient également à souligner l’importance de considérer les entreprises de la filière du logiciel libre dans les achats publics. Le soutien à ces entreprises est crucial pour garantir la pérennité et l’innovation dans le secteur, tout en renforçant l’écosystème technologique national. En privilégiant les logiciels libres et en impliquant les entreprises locales dans les processus d’achat, les établissements éducatifs et leurs tutelles peuvent bénéficier de solutions robustes et évolutives, tout en contribuant à l’économie locale et au développement durable de la filière du numérique ouvert.
Un long chemin parcouru
En 2012, le CNLL avait formulé des propositions concrètes pour renforcer la présence du logiciel libre dans l’éducation. Ces propositions étaient de :
Déployer préférentiellement des logiciels libres pour les outils pédagogiques et administratifs.
Enseigner des logiciels libres adaptés à chaque cursus et niveau d’éducation.
Intégrer les technologies et méthodologies propres aux logiciels libres dans les filières scientifiques et informatiques.
Aujourd’hui, nous saluons le fait que le Guide de 2024 reconnaisse enfin l’importance des logiciels libres, confirmant leur rôle central dans le développement des compétences numériques et la formation à des pratiques collaboratives et ouvertes.
Des progrès lents et encore insuffisants
Cependant, il est regrettable qu’il ait fallu attendre 12 ans pour voir ces recommandations partiellement mises en œuvre.
En effet, en 2012, François Hollande, alors candidat à l’élection présidentielle, déclarait: “Je souhaite que les logiciels libres de qualité, utilisant des formats ouverts normalisés, soient enseignés à l’école comme à l’université, et que leur usage soit privilégié dans les concours et examens”. Les efforts de certains députés de concrétiser cette promesse, notamment lors des débats autour de la loi n°2013-595 du 8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République, s’étaient alors heurtés à l’hostilité du gouvernement.
Par ailleurs, le CNLL déplore que ces avancées récentes restent limitées à l’enseignement technologique et manquent de détails pratiques et opérationnels pour une mise en œuvre efficace et généralisée dans tous les domaines éducatifs.
Appel à une politique éducative plus ambitieuse
Le CNLL appelle les ministères concernés – en charge de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, de la Formation Professionnelle et de l’Économie Numérique – à intensifier leurs efforts pour :
Généraliser l’usage des logiciels libres dans l’ensemble des programmes éducatifs.
Fournir des directives claires et détaillées pour l’intégration des logiciels libres dans tous les niveaux et domaines d’enseignement.
Encourager une approche plus globale et cohérente, permettant à tous les élèves et étudiants de bénéficier des avantages des logiciels libres, tant au niveau pédagogique qu’administratif.
Le CNLL reste engagé à promouvoir l’utilisation des logiciels libres dans l’éducation et continuera à œuvrer pour une adoption plus large et plus systématique de ces outils essentiels pour la formation des citoyens de demain.
Contacts Presse
Conseil National du Logiciel Libre (CNLL)
contact@cnll.fr.
https://cnll.fr/
À propos du CNLL
Le CNLL, Union des Entreprises du Logiciel Libre et du Numérique Ouvert, est l’instance représentative de la filière du logiciel libre en France. Issu du groupement de 12 clusters régionaux, il représente plus de 300 entreprises “pure players” (spécialisées ou avec une activité significative dans le logiciel libre et l’open source): éditeurs, intégrateurs, sociétés de conseil, etc. Il assure la promotion de l´écosystème professionnel du logiciel libre, de son offre de logiciels et de services, de ses atouts spécifiques, et de ses besoins, notamment en termes d’emploi et de formation. Il permet à la communauté des acteurs de la filière d’échanger et de travailler ensemble au développement du marché, dans le respect de valeurs communes.
Plus d’info : https://www.cnll.fr/
Alain UGUEN
Le 12/07/2024 à 16:59:08