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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : STOP aux réformes agricoles au profit des multinationales !

Mise en ligne du 28/02/2017 au 08/02/2018

Depuis 2013, la Banque mondiale a développé, à la demande du G8, le projet « Améliorer le climat des affaires dans l’agriculture », en anglais Enabling the Business of Agriculture (EBA). Cette initiative met en place un index permettant de noter les pays sur la façon dont ils facilitent les activités des entreprises dans le secteur agricole.

Bilan de la cyberaction :

5143 participants

Présentation de la cyberaction :

L’EBA est financé par quatre donneurs occidentaux : les États-Unis, le Royaume-Uni, le Danemark et la Fondation Bill et Melinda Gates. Pour concevoir l’EBA, la Banque mondiale a sollicité l’expertise de grandes multinationales agroindustrielles (Bayer, Monsanto, Syngenta, etc.) afin de déterminer les principales barrières (taux de taxation, normes, etc.) qui entravent leurs activités à travers le monde.

L’EBA promeut la réalisation de mesures et réformes agricoles avantageant les investisseurs de l’agrobusiness partout dans le monde. Or, ces mesures coïncident rarement avec les préoccupations locales, et particulièrement celles des agriculteurs familiaux.

Mainmise sur les semences

L’évaluation des indicateurs de l’EBA se base sur l’environnement juridico-légal dans le domaine foncier, des semences, des fertilisants, de la mécanisation et des marchés, parmi d’autres thèmes. Par exemple, concernant les régulations relatives aux semences, l’index récompense les pays qui créent des droits de propriété intellectuelle permettant aux entreprises de bénéficier de la vente et de l’utilisation de leurs semences par les paysans. L’EBA mesure également la facilité pour le secteur privé de produire et de certifier des semences, d’avoir accès aux ressources génétiques conservées dans les banques de semences nationales, et d’obtenir une représentation majoritaire dans les comités décidant l’introduction de nouvelles variétés de semences dans les pays.

Alors que la Banque Mondiale prétend encourager des politiques « intelligentes et équilibrées », l’index EBA ignore largement les systèmes semenciers paysans, qui fournissent 80 à 90% des semences aux paysans dans les pays en voie de développement, sont essentiels à la préservation de l'agro-biodiversité et favorisent la résilience contre les chocs climatiques et économiques. 

La Banque mondiale n’a pas le droit de dicter les politiques agricoles nationales aux dépens des paysans

Dites à Jim Yong Kim, président de la Banque mondiale, et aux donneurs occidentaux :  Abandonnez le projet Enabling the Business of Agriculture IMMÉDIATEMENT !

Pour en savoir plus, lire le rapport de l’Oakland Institute « Ruée sur les semences »
https://www.oaklandinstitute.org/sites/oaklandinstitute.org/files/ruee-sur-les-semences.pdf  

La lettre qui a été envoyée :


Chers Mr Kim, Mr Warren, Mme Patel, Mr Jensen et Mr Gates,

Je vous écris avec cette requête : mettez un terme au projet « Enabling the Business of Agriculture » (EBA). Cet index met en danger le droit des paysan-e-s aux semences, la sécurité alimentaire et l’avenir de notre planète.

L’EBA découle d’une approche normative dictant de soi-disant « bonnes pratiques » en matière de régulations agricoles, et notant ensuite les pays sur leur adhésion et mise en œuvre de telles prescriptions. L’EBA est un levier utilisé par la Banque mondiale pour promouvoir des réformes dans l’agriculture. Cette initiative est malavisée, car les politiques agricoles nationales devraient donner la priorité à des solutions adaptées au contexte local, basées sur les expériences et les demandes des communautés rurales. C’est pourquoi je vous demande urgemment de mettre un terme au projet Enabling the Business of Agriculture.

Sincèrement, 

 

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70 commentaires

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Je crois qu'il serait temps de re-négocier tous les traités, tous les engagements européens qui ne vont pas dans le sens d'un mieux-être (mieux manger, mieux se protéger, mieux partager, mieux respecter et les autres et l'environnement, etc.). Je ne suis pas pour un FREXIT. Je veux être Européenne avant d'être (seulement) Francaise.
Pour cela, suivant les analyses des ONG publiées par Médiapart, je voterai Mélenchon : le plus "juste" et "réfléchi" dans tous les domaines de la vie publique.
La France peut faire évoluer les choses, elle est assez "importante" en Europe pour inverser la vapeur et sortir de l'ornière favorisant les profits des multinationales au détriment du bien-être des citoyen.

Dominique Corti-Bâ
Le 18/04/2017 à 07:26:03

J'ai arrêté de croire que lutter était la solution une fois que j'ai pris conscience que l'art38 + 39 du Traité de Fonctionnement de l'Union Européenne TFUE imposent la règle de la constante productivité au détriement de la santé, de l'environnement, de la qualité... (voir extrait ci dessous)
N'oublions pas qu'au Parlement Européen la France à voté contre les OGM, contre les Farines animales... mais qu'elles nous ont été imposées par la majorité des autres pays de l'UE qui ont des intérêts divergeants !
La seule solution pacifique, démocratique, et sereine et le FREXIT afin de retrouver la possibilité de faire nos choix.

Art39 du TFUE "La politique agricole commune a pour but :

a) d’accroître la productivité de l’agriculture en développant le progrès technique, en assurant le développement rationnel de la production agricole ainsi qu’un emploi optimum des facteurs de production, notamment de la main-d’œuvre,

un anonyme
Le 15/04/2017 à 17:55:33

quand les multinationales comprendront-elles que leur avenir est dans les transitions écologiques? quand s'assoupliront-elles pour mettre en dynamique des structures adaptées à la diversité de la vie? quand les actionnaires cesseront-ils d'être pervers face aux lois de la Nature? d'être criminels en acceptant de nous empoisonner?Quand les jardiniers du dimanche se donneront-ils la peine de s'instruire? Quand les agriculteurs admettront-ils qu'ils se trompent en s'imaginant "nourrir" les humains alors qu'ils les empoisonnent tout en méprisant les écologistes alors que l'agriculture biologique bien gérée est nécessaire et largement suffisante, sans appauvrir les pays "en voie de développement"?

CHRISTINE
Le 15/04/2017 à 00:10:54

Tout à fait D'accord pour une agriculture respectueuse de l'environnement

piérard maurice
Le 14/04/2017 à 16:31:04

Pour info: les Réunions de Printemps de la Banque ont officiellement lieu du 21 au 23 avril. Cependant, la société civile se réunit dès le 17 avril à Washington pour participer à ce qu’on appelle le “civil society policy forum”.
Nous preparons un communique de presse qui mentionne la lettre et sortira le 20 et d’ici la faisons encore quelques promotions de la lettre. Nous n’avons pas eu autant de succes sur la version anglaise comparé a cyberacteurs (près de 800 sur notre site contre 4600 pour la lettre en francais – bravo !!!) mais depassons les 5000 signatures ensemble, ce qui est important et certainement significatif pour la Banque et ses donneurs.  Si c’est possible de votre cote, il serait surement efficace de faire une relance.
Merci de m’indiquer si vous prevoyez d’autres actions d’ici le debut de la reunion de printemps de la Banque,
Nous sommes ravis de ce partenariat et esperons que nous en aurons d’autres a l’avenir.
Bien a vous
Frederic Mousseau
oakland institute

Frederic Mousseau
Le 14/04/2017 à 11:35:20

SAUVONS L4AGRICULTURE TRADITIONNELLE ET 2COLOGIQUE

jACQUELIN; ANNICK
Le 06/04/2017 à 10:49:38

Tant que nous serons soumis aux diktats de l'union européeenne, nous ne serons pas libre de nos décisions en France. Sortons de l'UE avec l'UPR, retrouvons les commandes de la démocratie et de l'indépendance de la France. Alors ce genre de pb ne se posera plus. Le référendum d'initiative populaire aussi sera de mise. L'upr d'Asselineau propose de recréer l'agriculture paysanne familiale donc de mettre fin à la désertification des campagne au profit des grosses exploitations. Garantie de leur niveau de vie aussi. Les pétitions de ce genre s'inscrivent toujours dans un cadre de nature politique. Elles ne sont pas que des suppliques.

roland guétat
Le 02/04/2017 à 22:19:51

Un groupe de pression est composé d'hommes qui ont été petites filles, petits garçons.
Un peu d'humain existe donc dans ces lobbies.
Ils peuvent entendre le mal que leur appétit
financier va engendrer alors.



Mireille Jacquemin
Le 15/03/2017 à 20:48:26

Tant que la France ne sera pas redevenue une nation souveraine donc démocratique (cf. L'outsider au 524 parrainages ce jour du 12 mars, François Asselineau,  www.upr.fr)il.   ne sera pas possible de décider quoi que ce soit dans ce pays. La dictature des lobbies est en place avec l'UE et les instances mondiales. Il n'y a qu'un "il faut", c'est voter Asselineau pour la présidentielle pour récupérer notre démocratie. Tout le reste est voeu pieux.

roland guétat
Le 12/03/2017 à 12:34:28

Halte à ces tueurs!

mymoza
Le 12/03/2017 à 10:35:55

Poursuivre ce type d' agriculture ,avec autant d' insistance,s ' explique par autre chose que le respect de la volonté de survivre des consommateurs et des hommes en général .

Que font les dirigeants de ce monde ?

gounard
Le 10/03/2017 à 21:40:26

Il faut orienter d'urgence les modes de production agricole et exiger une déontologie des industries de l'agroalimentaire.

yyvescarre
Le 10/03/2017 à 21:15:44

J'ai été signer directement sur le site de Oakland Institute où le message est envoyé en Anglais: https://www.oaklandinstitute.org/take-action-enabling-business-agriculture-seedgrab  

Arnaud
Le 10/03/2017 à 19:48:08


SAUVONS LA BIOSPHERE ET LE VIVANT EN GENERAL , ET

MERDE AUX EMPOISONNEURS ! (oui , plus même)

maxou
Le 10/03/2017 à 17:45:09

pour l'avenir de mes petits enfants il est impératif que l'agriculture soit de plus en plus naturelle donc bio, écologique, soucieuse et repectueuse de l'environnement

Nouchka
Le 10/03/2017 à 17:17:37

il est grand temps d'en finir avec cette agriculture mortifère qui ne profite qu'aux grandes industries et à leurs actionnaires.

hamon marie-claude
Le 10/03/2017 à 15:56:04

Il faut que nos "élus" soient responsables de notre avenir, et donc notre santé, il faut s'ils continuent à ne pas s'en faire, qu'ils soient traduit en justice ! peut-être que l'on arrivera à des résultats! une région contaminée, etc, que soit conduit des actions juridiques et ainsi, nous serons peut-être un peu plus protégés !

Geneviève KILBURG
Le 10/03/2017 à 14:35:59

Oui, il est grand temps que nos politiques écoutent nos scientifiques. On sait que cette révolution de l'agriculture industrielle est NÉFASTE, et pour la nature, et pour l'humain. Alors, qu'est-ce qu'on attend ?

LE SAGE
Le 10/03/2017 à 10:51:14

Renoncer à l'agriculture industrielle et renoncer à consommer de la viande animale.Vite!

Arguin
Le 10/03/2017 à 09:20:01

"La maison brûle et nous regardons ailleurs."
JACQUES CHIRAC (Président de la République)
GILLES

gilles VAN HOORDE
Le 10/03/2017 à 09:08:59

Fœdus Internationalis de Bono Publico

Fabrice Beaudoin-Quéré
Le 09/03/2017 à 20:52:18

oui il est grand temps de ralentir la culture industrielle , destructrice des sols de la santé et de moins en moins "productive" pour nourrir le monde

Florence
Le 09/03/2017 à 19:18:06

N'acceptons plus la dictature du lobby des empoisonneurs publics qui mentent effrontément sur leurs produits "phytosanitaires", à commencer par la façon de nommer leurs poisons ! Que l'état subventionne massivement l'agriculture biologique, respectueuse de l'environnement comme de la santé des consommateurs, soutienne activement la transition écologique de l'agriculture afin de permettre à tous de s'alimenter sainement et de consommer des denrées de proximité, sans devoir recourir à l'importation de produits pour répondre à la demande croissante d'aliments sains.

Nathalie
Le 09/03/2017 à 16:43:35

Le seul avenir de l'agriculture est écologique. Pas d'autre alternative pour la survie de l'humanité malgré ce que les lobbies veulent faire croire par pur intérêt financier.

Pineau
Le 09/03/2017 à 15:10:53

oui,il est PLUS que temps de revenir à des méthodes HUMAINES

merepapillon
Le 09/03/2017 à 11:53:26

ONU : il faut «renoncer progressivement à l’agriculture industrielle»
La rapporteure spéciale sur le droit à l’alimentation de l’ONU dresse un réquisitoire des conséquences délétères des pesticides sur la faune, la flore et l’être humain. Elle plaide pour que les transnationales soient comptables de leurs actes et dynamite un mythe: la sécurité alimentaire ne dépend pas de l’usage des pesticides.
http://www.journaldelenvironnement.net/article/onu-il-faut-renoncer-progressivement-a-l-agriculture-industrielle,80220  

Alain UGUEN
Le 08/03/2017 à 15:19:22

A mon avis, je pense qu'il serai mieux pour notre pays le Gabon. De développer l'agriculture rurale de nos provinces pour une meilleurs santé de nos populations

Nous avons des maladies que nos ancêtres n'avaient pas à l'époque ils vivaient longtemps grâce à leur alimentations...

Le monde, d'aujourd'hui demande de faire des bon choix pour notre future à tous

NLONG-OYE
Le 08/03/2017 à 12:28:18

ma plus grande action, acheter auprès des petits producteur, la puissance de l'argent est la mort de l'humanité

Marie France Bonhomme
Le 07/03/2017 à 17:49:30

J'ai comme la mauvaise impression que EBA est surtout un droit à faire des affaires sur la nourriture des populations et à vendre des produits polluants mauvais pour la santé et l'environnement.

CHANTAL RINGOTTE
Le 07/03/2017 à 08:10:46

( Je ne crois pas me tromper)= main mise sur les terres agricoles - vivriaires - partout dans "ce monde de brutes épaisses" , par des spéculateurs Fonciers.. j'enrage devant la vacuité d'action des politiques face à la rapacité des pouvoirs d'argent.. n'y aurait t'il pas assez de populations miséreuses entassées aux périphéries des métropoles de ce Monde ? (de ripoux Assassins ) ..

Alinette
Le 07/03/2017 à 00:15:34

Notre richesse ce sont les nombreux petits paysans proches de la terre et pas au volant de leur énorme tracteur éloignés de notre mère nourricière ( comme les investisseurs /placeurs de finance )

michouver
Le 06/03/2017 à 18:02:06

Améliorer le climat des affaires en agriculture, belle expression non! Mais nous, en afrique, on est seulement intéressé par l'amélioration du climat alimentaire en agriculture!

Souleymane Gilbert Sene
Le 06/03/2017 à 09:54:05

Mon pays le Sénégal, veut modifier sa loi sur la biosécurité, pour faire une place aux OGM, tel que recommandé par le président de la République le 28 février dernier, à l'ouverture de la session de l'Académie nationale des sciences et techniques (ANST). Je sais qu'une pression est reçue quelque part et je soupçonne que ce projet EBA, en soit une des raisons. Les OGM dans nos pays, c'est la mort de nos agriculteurs, de la sécurité et de la souveraineté alimentaires. Mobilisons-nous!

Souleymane Gilbert Sene
Le 06/03/2017 à 09:51:41

c'est un génocide planétaire programmé.

patrick krause
Le 05/03/2017 à 18:54:34

TAFTA, CETA, EBA, quand certains sigles font peur, ils en inventent un nouveau, mais c'est toujours pour que les multinationales fassent encore plus de bénéfices, polluent encore plus et fassent mourir les petits paysans financièrement ou en les empoisonnant.
Bruxelles devrait protéger les habitants de l'Europe, principe de précaution, mais ses dirigeants sont aux ordres des multinationales.
Alors on signe des pétitions, mais il faudra peut être passer au niveau supérieur et que des millions d'Européens descendent dans les rues.

un anonyme
Le 04/03/2017 à 18:14:38

Plus de marchandisation n'est que dans l'intérêt de la même infime minorité d'accapareurs. Pas d'autre solution que de passer outre.

sbirros
Le 04/03/2017 à 15:04:25

Combien faudra t-il signer de pétition pour qu'ils comprennent ?
Malheureusement pour nous, ils comprennent très bien ce qu'ils doivent faire pour arriver à leurs fins : agir avec la même idée mais sur des axes multiples et comme cela réussir à passer d'une manière ou d'une autre !

maryger
Le 03/03/2017 à 20:01:45


CETA : après le vote au Parlement européen, la bataille continue !

Cher·e·s ami·e·s,

Vous le savez sans doute, le CETA a été voté au Parlement européen le 15 février. À ce stade, en dépit de notre mobilisation croissante, nous n’avons pu empêcher la ratification du traité à Strasbourg, mais pour de nombreuses raisons, la bataille est loin d’être perdue : nous allons poursuivre notre lutte collective contre le CETA.

Il faut tout d’abord se féliciter des résultats de notre campagne de pression sur les eurodéputé·e·s afin qu’ils et elles refusent de ratifier le CETA : la France est le pays qui a le plus voté contre le CETA, seul·e·s 16 eurodéputé·e·s sur 74 ont soutenu l’accord (à l’exception du FN, vous pouvez retrouver le détail des votes ici) ! Un résultat inespéré il y a encore quelques semaines, obtenu grâce aux courriers, manifestations locales, rendez-vous, campagnes d’affichage et à toutes les actions que nous menons depuis plusieurs mois pour faire basculer le rapport de force.

> Lire le communiqué du collectif à la suite du vote.

« Rien n’est perdu ! »
38 chances de bloquer le CETA

Une grande partie de ses dispositions sera « provisoirement » appliquée rapidement (au lieu du 1er mars, il est désormais question du 1er avril voire du 1er mai). Mais pour entrer pleinement et définitivement en vigueur, le CETA devra être approuvé par 38 parlements nationaux et régionaux [1]. Et ce sont là 38 chances supplémentaires de mettre en échec cet accord destructeur, qui empêchera d’engager la transition écologique et sociale et d’assurer la protection de tou·te·s !
Continuez à vous mobiliser

En attendant de connaître la nouvelle majorité politique qui présidera à la ratification du traité dans notre pays, nous avons mille occasions de continuer notre mobilisation :

> Continuez de faire connaître les implications du traité autour de vous, dans vos territoires, organisez des débats publics, diffusez du matériel lors des événements associatifs et culturels locaux !
> Demandez aux candidats à l’élection législative dans votre circonscription s’ils comptent ratifier le CETA ! Ecrivez leur, organisez des rassemblements devant leurs permanences, et s’ils s’y sont déclarés favorables, dénoncez leur soutien au traité par des actions de protestation, des interpellations publiques lors de leurs apparitions… !
> Les villes restent également mobilisées ! À la suite du vote du 15 février, lors du sommet des élu·e·s hors TAFTA/CETA, les élu·e·s de collectivités locales réuni·e·s à Grenoble publiaient leur réplique au vote du Parlement européen.

Pour continuer à nourrir cette dynamique locale, déclarez ou faites déclarer vos collectivités « zone hors TAFTA/CETA », vos commerces, bars, restaurants et lieux culturels dans « Mon quartier hors TAFTA/CETA ».
Revivre la mobilisation à Strasbourg

À Strasbourg les 14 et 15 février, nous étions plus d’un millier d’activistes venu·e·s des quatre coins de l’Europe à se retrouver pour faire entendre la voix des citoyen·ne·s au moment du vote de cet accord qui donnerait les pleins pouvoirs aux multinationales !

> Revivez en photos la mobilisation européenne Stop CETA à Strasbourg sur Facebook, sur le site du collectif, sur le site d’Attac France
> Revivez en images la mobilisation à Strasbourg, avec les vidéos d’Attac Play sur Facebook ou sur Vimeo et la vidéo de Vincent Verzat sur Facebook.
> Revue de presse.

Vous pouvez encore signer et faire signer cette pétition.

À très bientôt pour de nouvelles actions et mobilisations contre le CETA !
Aller plus loin

> Le Conseil constitutionnel saisi par 107 députés
> Retrouvez la série d’articles sur le CETA de l’Humanité

Yacono
Le 03/03/2017 à 19:10:29

Il faut appliquer ce que propose "La grande Relève", il s'agit de rendre financièrement possible ce qui est utile, souhaitable,matériellement et écologiquement réalisable. Pour cela il faut que la monnaie actuelle soit remplacée par une monnaie qui ne circule pas pour que l'on ne puisse plus la "placer" pour "rapporter".
Cette monnaie "distributive" émise pae une institution publique est un pouvoir d'achat qui s'annule quand on l'utilise, tout en laissant au consommateur la liberté de ses choix. (Suite à la prochaine "Cyberaction")

un anonyme
Le 03/03/2017 à 18:48:45

Le nouveau ordre mondial se met en place, tout aux mains des multinationales, des lobbys et des banques et nous pauvres moutons on se fera tondre jusqu'à l'os

Sonia
Le 03/03/2017 à 18:21:43

Signer oui, et surtout s'intégrer aux circuits agricole cours, AMAP etc. utiliser une monnaie locale quand c'est possible, et tout mettre en œuvre à son petit niveau pour ne pas faire profiter les multinationales en achetant leurs produits industriels.

pascal lefebvre
Le 03/03/2017 à 18:09:10

Aprés avoir regardé le reportage hier soir sur beulin :
tout est dit et l'autre donnera la médaille d'honneur posthume à un des + grands destructeurs, pollueurs, lobbyistes et spéculateurs sur la nourriture qui fut

vijowi03
Le 03/03/2017 à 17:13:59

Interdisons aux multinationales agroalimentaires de pourrir le sort des paysans qui respectent l'environnement.
Purgeons l'Union Européenne de ses ronds de cuir mercantiles qui vendent leur âme aux plus offrants.

MICHARD Pierre
Le 03/03/2017 à 15:34:49

fragil a raison (02/03/17). J'ai vérifié dans mon dictionnaire anglais : "enable" veut dire : "permettre à q.q'un de faire"; donc rétablissons la bonne traduction pour son vrai sens. C'est à dire : "Nous, les semenciers, la Banque Mondiale, les actionnaires... laissez-nous faire, pour Notre Seul Intérêt" !
EBA, est-ce un des petits cousins consanguins des CETA, TAFTA et autres ? Quand on ne peut entrer par la porte, on entre par la fenêtre ?...
Agriculteurs, ne vous laissez pas déposséder et imposer les lois voulues par l'EBA !

un anonyme
Le 03/03/2017 à 13:37:06

On constate le côté négatif d’une telle action...Ce n’est pas fait pour satisfaire les agriculteurs !



Mambo 42

André RAOULT
Le 03/03/2017 à 13:17:28

est il vraiment utile, pour pétitionner e fournir des renseignements indiscrets pouvant être utilisé par des firmes commerciales?
Finalement, le Net, c'est une crapulocratie!

adolph
Le 03/03/2017 à 12:08:25

Hélas ! sans don, non imposable.....mais mon soutien et ma signature, je compte sur vos actions les luttes étant devenues mondiales le principe du colibri devient insdispensable MERCI

Lily BOURDET
Le 03/03/2017 à 11:06:43

BRUXELLES a la botte des lobbys
Les politiciens sont des guignols

Pierre NOGIEC
Le 03/03/2017 à 10:54:33

GUERRE aux LOBBYS INTERNATIONAUX et aux POLITICIENS qui les soutiennent

Alain Begon
Le 03/03/2017 à 10:34:25

Le soutien à l'agriculture paysanne est indispensable....pas celui des multinationales qui sont toujours prédatrices

Monique et Maurice cornet
Le 03/03/2017 à 09:59:51

Toujours la même corruption, ceux qui n'ont besoin de rien mais en veulent toujours plus bafouent les droits élémentaires.

Chantal BAYOUT
Le 03/03/2017 à 09:56:23

Très bonne remarque de Fragil, la meilleure traduction, celle qui colle le plus à la réalité, d'"Enabling the Business of Agriculture" est bien "Promouvoir l'agro-business".
"Améliorer le climat des affaires, etc..." = "Tu parles, Charles..."
Je signe donc contre l'EBA.
Ce projet scélérat destiné à promouvoir l'agro-business et sa vision à court terme qui ruinera notre avenir.

Frawald
Le 03/03/2017 à 08:47:33

Pour protester contre la mainmise des multinationales sur les populations au nom de l'"agrobusiness" et au détriment des besoins de développement.

Daniel MONSÉGU
Le 03/03/2017 à 08:46:05

Il faut dire non à la spéculation boursière sur les denrée alimentaire. Nous mangeons le pain qu'une fois, pourtant le blé est vendu et revendu 99 fois ( Chicago Board of Trade, données du CBOT datées du 11 novembre 2016. Ratio entre les futurs volumes vendus et récoltés pour l’année 2015 (volume annuel à cette date). Blé : 5, 542,06 millions de tonnes (volume vendu à la CBOT, Kansas, Minneapolis) ; 55,84 (récolte américaine). Les volumes échangés sur les bourses de marchandises sont 99 fois supérieurs à la récolte américaine. Étude : Oxfam Allemagne)

Jean-Paul LE TURDU
Le 03/03/2017 à 04:39:00

est ce que l'argent se mange ?

anna.anna
Le 02/03/2017 à 22:23:17

Comme si le CETA ne suffisait pas !

Jacqueline BONNEFOY-CLAUDET
Le 02/03/2017 à 22:07:08

Tout cela va mal se terminer...

BikePower
Le 02/03/2017 à 21:58:38

@fragil - Merci pour votre commentaire. Vous avez raison, "Promouvoir l'Agro-Business" serait sans doute un nom plus approprié pour définir les intentions de la Banque mondiale.

Cependant, nous avons utilisé la traduction française élaborée par la Banque elle-même, afin que chacun puisse reconnaitre le projet dont nous parlons (voir le résumé du rapport EBA 2015 traduit en français ici: http://eba.worldbank.org/~/media/WBG/AgriBusiness/Documents/Reports/2016/EBA2016-Report-FR.pdf?la=en.)  

Alice Martin-Prevel
Le 02/03/2017 à 19:20:16

Etant éleveur et petit producteur agricole et horticole je suis soumis à des lobby de multinationales. Je demande donc une prise de consciences des millions de petits producteurs face à quelque gros acteurs à protéger.

Ramon Reyntiens
Le 02/03/2017 à 17:14:48

En Afrique les paysans vendent leurs terres à des multinationales puis se voient embauchés comme salarié (ou plutôt comme semi-esclaves...) par celles ci.

Les produits quittent le pays producteur et les paysans devenus ouvriers agricoles survivent chez eux.

Cette pratique d'achat des terres est scandaleuse elle devrait être interdite. Avec l'EBA au contraire c'est l'inverse, on légalise l'inacceptable.

un anonyme
Le 02/03/2017 à 16:17:05

Mélanchon c' est tout sinon,on on aura rien

Yacono
Le 02/03/2017 à 16:11:05

Arrêtons la destruction de notre système européen pour privilégier les grandes multinationales

Evelyne Watel
Le 02/03/2017 à 16:00:11

PIRE QUE LES NAZI QUE NOS AMIS AMERICAINS ON LAISSE SE REPRODUIRE

ALAIN MAURICE DROUVILLE
Le 02/03/2017 à 15:25:54

Plutot que d'ignorer ces voyous à la solde des banquiers continuez à voter pour l'un (e)ou pour l'autre de ce systéme basé sur la finance et la destruction
et arrêtez de vous plaindre des conséquences!

vijowi03
Le 02/03/2017 à 14:46:03

Non à la marchandisation destructive de l'environnement et des écosystèmes, y compris humain.

Stéphane Lagasse
Le 02/03/2017 à 14:44:56

S'il n'est pas mis un terme, c'est toute l'agriculture qui est en danger

TITINE
Le 02/03/2017 à 14:40:41

Bonjour,
Traduire "Enabling the Business of Agriculture (EBA)" par "Améliorer le climat des affaires dans l’agriculture" est faible et inexact: il s'agit clairement de permettre, promouvoir, faciliter (to enable) l'agrobusiness (business of agriculture) pour éradiquer les pratiques agricoles traditionnelles au profit des grands semenciers - comme dénoncé par la suite dans Plus d'info.
"Promouvoir l'Agro-Business" conviendrait mieux.

fragil
Le 02/03/2017 à 11:56:30

La Souveraineté alimentaire des Peuples ne doit plus faire l'objet de l'uniformisation industrielle.

Philippe BIAUX
Le 02/03/2017 à 11:13:58

Avatar des TAFTA, CETA, ALENA, basta.

René HAMEL
Le 02/03/2017 à 11:07:50

tout est fait pr les puissants et les nantis, cela suffit...

rms29200
Le 02/03/2017 à 10:53:57

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