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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Sauver le parc Yasuni

Mise en ligne du 22/08/2013 au 24/03/2015

Yasuni est un parc national équatorien classé réserve mondiale de la biosphère qui compte la plus grande diversité biologique exceptionnelle du monde. A titre d'exemple, on estime que le parc Yasuni abrite 2250 espèces d'arbres et d'arbustes. Dans toute l'Amérique du nord (USA-Canada) on recense 680 espèces. C'est également l'un des lieux abritant la plus grande diversité d'oiseaux du monde, d'amphibiens, de reptiles, de poissons, etc.

Bilan de la cyberaction :

5039 participants

L'Allemagne finance une bonne part de la protection du parc naturel Yasuni en Amazonie équatorienne. Mais le président de l'Equateur, Rafael Correa, vient d'interdire l'entrée sur son territoire à des parlementaires allemands qui voulaient se rendre en inspection dans le parc.
http://www.courrierinternational.com/article/2014/12/16/tensions-diplomatiques-autour-du-parc-naturel-yasuni  

Présentation de la cyberaction :

Après une campagne d'exploration pétrolière sur trois sites, Ishpingo-Tambococha-Tiputini (d'où le sigle ITT), le président équatorien Rafael Correa a proposé la non-exploitation des réserves de pétrole estimées à 850 millions de barils en échange d'une contribution des pays les plus riches pour compenser le manque à gagner équivalent à la moitié des bénéfices escomptés. Outre le fait que cela éviterait l'émission de quelques 400 millions de tonnes de CO2, cet argent destiné à donner une valeur à la biodiversité servira à la reforestation et à la protection de l'Amazonie, au soutien aux populations, à l'approfondissement des connaissances biologiques et à préparer l'équateur à l'économie post-pétrolière. Enfin, une belle initiative de sensibilisation aux responsabilités environnementales interpellant la communauté internationale et qui, on peut l'espérer deviendra symbolique et pourra faire jurisprudence.

Le matin du 16-08-2013, France culture nous informe que le projet Yasuni vient d'être abandonné. En cause, l'absence de mobilisation de la communauté internationale.
Ci-dessous, le compte rendu de l'émission ainsi que le lien pour l'écouter (5mn)
Le projet Yasuni abandonné en Amazonie équatorienne (par Marine de La Moissonnière)
16.08.2013 - 08:30  
http://www.franceculture.fr/emission-revue-de-presse-internationale-le-projet-yasuni-abandonne-en-amazonie-equatorienne-2013-08-  

Le Congrès doit maintenant valider la décision de Rafael Correa. Ensuite une toute petite portion du parc Yasuni sera exploité : 1 pour mille de sa surface totale. Bénéfices pour l'Etat écuatorien : plus de 18 milliards de dollars. De l'argent qui servira à lutter contre la pauvreté, surtout en Amazonie, a promis le président. Il s'est aussi engagé à exploiter "de manière resphonsable" ce pétrole, souligne El Universo. "Des méthodes d'extraction de dernière génération seront employées." El Telégrafo donne la parole à ceux qui pensent qu'il ne faut pas "diaboliser l'activité pétrolière". Parmi eux, Leonardo Carpio, président du Forum énergétique et minier d'Equateur. On n'est pas obligé de massacrer les forêts. explique-t-il. Avec des perforations ciblées, en creusant d'abord un puits vertical, puis en perforant horizontalement en profondeur, on n'abîme pas la superficie où se trouve la biodiversité, détaille-t-il.

Pas sûr toutefois que tout cela convainque les militants écologistes qui étaient rassemblés le 15 aout devant le Palais présidentiel, raconte El Universo. Des militants qui insistent sur le fait que même une exploitation partielle du parc Yasuni "portera atteinte à la richesse biologique de la zone", explique El Comercio.
Les Indiens qui vivent dans le parc organiseront des actions de protestation à partir du 27 août, prévient encore El Universo. Des recours en justice seront aussi déposés.  Le leader de l'une des ces communautés déclare dans les colonnes de El Universo : "Nous demandons au gouvernement, qui se dit démocrate, d'organiser un referendum pour que le peuple décide de l'avenir de cette réserve naturelle unique au monde." Selon lui, 70% des Equatoriens seraient contre.

L'écrivain Rafael Lugo, lui, est moins optimiste sur son blog. Cet échec, c'est avant tout la faute des Equatoriens eux-mêmes. "Combien d'entre nous ont donné de l'argent aux fonds de compensation pour Yasuni", s'indigne-t-il. Qu'est-ce qui nous inquiète vraiment au fond ? "Qu'on massacre quelques oiseaux multicolores ou que cela nous coûte plus cher de faire le plein ?" Et de conclure : au lieu d'aller faire la manche auprès de la communauté internationale, apprenons à vivre sans les subventions de l'Etat.
Nous vous proposons d'interpeller le Président équatorien par l'entremise de son ambassadeur à Paris pour soutenir la revendication des communautés indiennes d'un référendum sur ce sujet essentiel.


Equateur : "Yasuni ITT" ou l'échec de la non-exploitation du pétrole
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/08/16/equateur-yasuni-itt-ou-l-echec-de-la-non-exploitation-du-petrole_3462373_3222.html  


Pourquoi et pour qui est importante l’initiative Yasuni-ITT?
http://www.sosyasuni.org/fr/index.php?option=com_content&view=frontpage&Itemid=1  

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Président,
Aux bons soins de votre Ambassadeur à Paris

Même une exploitation partielle du parc Yasuni "portera atteinte à la richesse biologique de la zone".
Je me joins aux communautés indiennes pour vous demander d'organiser un referendum pour que le peuple décide de l'avenir de cette réserve naturelle unique au monde.

Dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur le Président, mes respectueuses salutations

 

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15 commentaires

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Equateur - Une consultation populaire pour sauver Yasuni

Par Attac-France

Suite à la visite du président Correa récemment en France et à sa décision d'exploiter le pétrole du parc Yasuni une information sur la situation en Equateur qui vous invite à soutenir le processus de dénonciation lancé par les mouvements écologistes et les communautés indigènes et la demande d'un référendum d'initiative populaire

La lutte pour Yasuni se poursuit ! Soutenons-là !
Laisser le pétrole dans le sol pour une alternative écologique et sociale post-fossile !

Le 15 août 2013, le président équatorien, Rafael Correa, signait un décret annonçant mettre fin à ce qui était sans doute l'initiative écologique la plus originale de ces dernières années : laisser le pétrole des champs ITT du parc Yasuni dans le sol.

Après avoir été portée par les mouvements sociaux, écologistes et indigènes équatoriens dans une perspective de défense des droits des populations indigènes et de protection de la biodiversité amazonienne, la proposition Yasuni est devenu le symbole de la traduction en actes des nouveaux droits et principes intégrés dans la nouvelle Constitution équatorienne de 2008. La proposition Yasuni a été reprise et portée par Rafael Correa et le gouvernement équatorien au sein des arènes internationales, en ajoutant aux arguments écologiques et sociaux l'exigence d'une compensation économique, comme un geste de solidarité internationale face à « l'effort » équatorien consistant à ne pas exploiter le pétrole des champs ITT. Sur les 3,6 milliards escomptés de la communauté internationale par la présidence équatorienne en compensation de cette non-exploitation, seuls 13 millions de dollars ont effectivement été récoltés et 116 millions promis. « Le monde nous a lâchés » a estimé Rafael Correa qui a engagé en août dernier le « Plan B », annoncé de longue date, celui qui ouvre à l'exploitation du brut afin de « financer la lutte contre la pauvreté », notamment en Amazonie. Le président équatorien considère qu'il devait choisir entre « un parc Yasuni 100 % préservé et ne pas avoir d'argent pour lutter contre la pauvreté, ou 99 % du parc intact et disposer de 18 milliards de dollars » tirés de l'exploitation pétrolière. Il a choisi la seconde option, tout en promettant des techniques qui minimisent l'impact écologique sur la zone concernée.

N'acceptant pas que le président équatorien ait annoncé vouloir mettre fin au projet, les organisations sociales, écologistes et indigènes qui furent à l'origine de l'initiative ont repris le flambeau de l'initiative Yasuni en critiquant les arguments du président équatorien. Selon elles, il est impossible de préserver 99% du parc Yasuni des conséquences de l'exploitation pétrolière en raison des caractéristiques extrêmement polluantes du brut qui sera extrait et parce que plus de 30 % de la surface du parc fait déjà l'objet de prospections et d'exploitations pétrolières. Quant à la lutte contre la pauvreté, ces organisations font remarquer qu'elle ne dépend pas de l'exploitation de Yasuni puisque la pauvreté résulte des structures injustes de répartition des revenus en Equateur et qu'un relèvement limité des taux d'imposition des entreprises privées permettraient de récolter bien plus que la rente pétrolière escomptée et ce, sans limite dans le temps. En plus de vives protestations et manifestations, plusieurs actions juridiques et légales sont en cours. Ainsi, les plateformes YASunidos et Frente de Defensa de la Amazonia ont décidé de s'appuyer sur le fort rejet de l'exploitation de Yasuni par la population équatorienne – certains sondages indiquent jusqu'à 90 % d'opposants – pour initier une procédure visant à convoquer un référendum d'initiative populaire. Objectif : collecter près de 600 000 signatures, soit 5 % de l'électorat équatorien, pour exiger un référendum sur la question suivante : Etes-vous d'accord pour que le gouvernement équatorien maintienne indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43 ?

Attac France, avec de nombreuses autres organisations en France et dans le monde, a toujours soutenu cette initiative Yasuni, comme un pas supplémentaire dans la critique de la civilisation du pétrole qui a généré l'anthropocène et comme un exemple emblématique des initiatives à promouvoir et mettre en œuvre dans une perspective post-pétrolière et post-extractiviste, de préservation des communs de l'humanité et de survie des populations indigènes.

Dans une suite logique, Attac France a décidé de soutenir le projet de référendum d'initiative populaire porté par les organisations équatoriennes en faisant connaître l'initiative auprès de ses adhérents, comités locaux, membres fondateurs et partenaires et en les invitant à soutenir financièrement cette initiative.

Attac-France
Le 18/11/2013 à 06:41:01

Feu vert du congrès pour l'exploitation du pétrole dans une réserve

Le Congrès équatorien a autorisé jeudi l'exploitation de pétrole en Amazonie dans la réserve du Yasuní. Le parlement a accédé à la demande du président Rafael Correa, malgré le refus d'associations indigènes et écologistes favorables à un référendum.

Lors d'un second débat définitif, le Congrès à majorité gouvernementale, a déclaré l'exploitation d'"intérêt national" de ce gisement de pétrole brut estimé à 920 millions de barils.

Avec un vote "pour" de 108 voix et 25 "contre", les députés ont accédé à la demande du président Correa pour lever le blocage constitutionnel à l'exploitation de ressources naturelles dans le Yasuní, au sud-est de Quito.

"Aujourd'hui est un jour historique, nous sommes en train de construire un pays différent. Nous allons nous assurer que ces ressources vont à une meilleure qualité de vie" des Équatoriens, a déclaré la vice-présidente du parlement, Marcela Aguiñaga.

Les zones de Ishpingo, de Tambococha et de Tiputini (ITT), représentent quelque 20% des réserves pétrolières de l'Équateur - le plus petit pays membre de l'OPEP - et se situe à l'extrémité du Parc national Yasuní. Cette réserve naturelle riche en biodiversité est composée d'un million d'hectares de forêt tropicale humide.

Lutte contre la pauvreté

Surveillés par la police, des groupes en faveur et contre l'exploitation ont suivi le débat, dans le calme, aux alentours du Parlement dans le centre de Quito, selon un photographe de l'AFP.

En août dernier, la principale organisation indigène avait déposé une requête devant la Cour constitutionnelle visant à obtenir la convocation d'un référendum sur l'exploitation ou non de Yasuni.

L'Equateur espère obtenir dans les prochaines années des revenus supplémentaires de l'ordre de 19 milliards de dollars, soit 58% du budget de 2013. La majorité sera consacrée, selon le président Correa, "à la lutte contre la pauvreté", principalement en Amazonie.

Alain Uguen
Le 07/10/2013 à 15:55:59

Le président Rafael Correa se trouve entre le marteau et l'enclume.Le marteau,ce sont les ONG et les représentants des communautés indigènes,prêt à entériner une décision qui concerne les équatoriens eux-mêmes!L'enclume lourde et passive,c'est la communauté internationale,si peu préoccupée par les biens communs de l'Humanité,l'eau,l'air,les forêts,la biodiversité...Elle paiera la facture de son indifférence tôt ou tard.
Si le président Correa est progressiste et préoccupé par les questions environnementales et sociales de son pays,qu'il donne la parole aux premiers concernés,les équatoriens eux-mêmes!!Ce serait la plus belle leçon à donner à la communauté internationale!Ce serait une première mondiale!!
Les forêts équatoriennes sont aussi nos forêts,l'extraction ou non de ce pétrole nous concerne aussi.Et je reste très sceptique quant à la manière d'exploiter "proprement" le pétrole dans un tel sanctuaire!Un référendum permettrait d'en débattre.
Pas d'angélisme évidemment,mais tout le monde en Equateur gagnerait à un référendum,y compris son président!Et quelle que soit la décision,ce serait une bonne leçon à donner au reste du monde.Faut-il du courage politique pour cela?Oui,il faut que Correa écoute son peuple et qu'il ne cède rien aux compagnies pétrolières étrangères!
Il ne s'agit pas de l'accabler,mais de le mettre face à ses responsabilités.Je préfère largement signer,les équatoriens doivent pouvoir décider,puisque le reste du monde ne se sent absolument pas concerné.

Alexia
Le 19/09/2013 à 22:29:13

ICRA News
Des associations indigènes et de défenseurs de l'environnement ont entamé fin août une procédure visant à convoquer un référendum par initiative populaire sur la question de l'exploitation pétrolière d'une réserve réclamée par le président Rafael Correa.

Ces opposants au projet ont demandé à la Cour constitutionnelle de valider la question suivante : Etes-vous d'accord pour que le gouvernement équatorien maintienne indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43, a annoncé à la presse leur avocat Julio Cesar Trujillo.

En cas de validation par la haute juridiction, les promoteurs de l'initiative devront s'assurer du soutient de 5% de l'électorat du pays et dont présenter environ 600.000 signatures pour que le Conseil national électoral organise le référendum. Aucun délai maximum n'est prévu par la loi pour réunir ces signatures.

Le 15 août dernier, Rafael Correa avait demandé à l'Assemblée nationale (Parlement unicaméral) l'autorisation d'exploiter le pétrole à Yasuni, une importante réserve écologique d'Amazonie, après avoir constaté l'échec d'un appel de fonds international pour éviter l'extraction de réserves de 920 millions de barils de pétrole, représentant 20% des réserves de l'Equateur, le plus petit pays membre de l'OPEP.

Cette annonce a suscité l'ire de plusieurs ONG de défense de l'environnement et d'associations indigènes, et Humberto Cholango, président de la Confédération des nationalités indigènes de l'Equateur (Conaie), a immédiatement demandé une consultation populaire sur ce thème.
Samedi, le président a mis au défi ses détracteurs de réunir les 600.000 signatures nécessaires pour le référendum.

Le parc, limitrophe du Pérou, est une forêt tropicale humide qui a servi de refuge pour les animaux durant l'ère glaciaire. Il recèle actuellement un dixième des espèces de la planète, en raison de sa localisation entre l'Amazonie, les Andes et la ligne équatoriale, selon le centre de recherches de biodiversité Tiputini de l'Université San Francisco de Quito.
Sosyasuni

Alain Uguen
Le 03/09/2013 à 16:17:34

A mon tour je ne signerais pas cette pétition, car c'est la *Communauté internationale qu'il faut interpeller. Raphaël Corréa, dont la situation est fragile mérite notre soutien.

Francoise
Le 31/08/2013 à 18:42:32

J'ai signé la pétition pour qu'un référendum soit organisé car les équatoriens ont aussi droit à la démocratie et ce n'était pas pour fustiger Correa que j'admire beaucoup. La communauté internationale a fait la sourde oreille à sa proposition originale et pour l'avenir de la planète. Maintenant, j'espère que Correa va exploiter le pétrole du parc Yasuni QUE pour le bien du peuple équatorien et qu'aucune compagnie pétrolière étrangère ne puisse pas se faire des bénéfices grâce au parc Yasuni. J'espère qu'il est possible d'exploiter le pétrole en utilisant des procédés plus propres, sans polluer les rivières nécessaires à la survie des peuples indigènes, sans exploiter la main d'oeuvre, au contraire lui donner la possibilité de vivre dignement. J'ai grande confiance en Correa.
Je voudrais connaître l'évolution de cette exploitation. Bonne continuation !!

albane
Le 27/08/2013 à 18:14:30

D'accord avec Pit et d'autres sur l'inadaptation de la pétition au problème posé. Quel que soit le résultat d'un éventuel référendum (sans parler de son coût),le problème de l'extraction du pétrole comme de tout minerai ou matière première) aux dépens de l'environnement reste posé.
C'est donc plutôt la communauté internationale qu'il faudrait secouer, et on sait dans quel sens va pousser le lobby des pétroliers et autres industriels.

René
Le 27/08/2013 à 15:31:21

Bonjour ,

Pour une fois , je ne suis pas d'accord sur le contenu de votre cyberaction Yasuni ITT . Pourquoi accabler davantage le président progressiste Coréa en lui mettant la pression à travers une pétition qui sera immanquablement reprise contre lui par l'opposition réactionnaire Amérique du sud (et du nord) , sans parler de l’écho que pourrait rencontrer cette pétition dans nos médias libres et indépendants...
Non je ne signerai pas cette Cyberaction qui aurait du à mon sens viser d'avantage l'absence total de réaction de nos dirigeants irresponsables à la proposition de Monsieur le Président Raphaël Coréa.
Pierre.

pit
Le 27/08/2013 à 09:27:41

J'ai vu en 2006 les rivières bien grises et bien polluées qui coulent en Equateur, je connais toutes ces roses vendues en Europe, cultivées en Equateur avec force pesticides, j'ai appris et constaté que les forêts primaires avaient été déboisées à 80%....l'exploitation pétrolière n'apportera pas plus de bien-être au peuple équatorien qu'elle n'en apporte en Afrique, juste un peu plus de corruption et beaucoup de pollution....

Hermina42
Le 26/08/2013 à 22:20:24

Question stupide,: pourquoi faut'il à tout prix extraire ce pétrole ?
S'il n'y en avait pas, le pays se débrouillerait autrement, non ?

Paco
Le 26/08/2013 à 22:02:15

C'est peut-être le moment de faire tomber les frontières. Oui, le président équatorien a fait ce qu'il devait faire, mais ce n'est pas au peuple équatorien de "payer" la facture. Les entreprises ne sentent pas concernées et c'est bien dommages. Elles veulent la mondialisation à leur unique profit. Je sais qu'un rapport à était demandé à J. Attali pour une économie "positive". Je n'arrive pas à comprendre que jusqu'à aujourd'hui l'économie a été toujours basée sur l'exclusion. C'est l'exclusion des vivants qui provoquait l'enrichissement : l'exploitation de leur viande ou de leurs fourrure, l'asservissement des hommes, la pêche qui dépeuple les océans.
Comment pouvons-nous agir pour la protection de la biodiversité de l'Equateur ?

Hypothèse
Le 26/08/2013 à 18:45:31

Tout à fait d'accord avec Prométhée, et bien que cette cause me tienne très à coeur, je ne signerai pas non plus. Pour autant que je sache, il me semble que le président équatorien a fait preuve d'une grande bonne volonté et d'un sacré courage politique, et que ce n'est donc pas à lui que doivent s'adresser nos critiques, mais à tous les gouvernants et responsables politiques que sa proposition originale et intéressante a laissés indifférents.

julaf
Le 26/08/2013 à 17:51:51

Pourquoi ne pas lancer une campagne de dons internationale pour sauver cette biodiversité. L'argent des états c'est surtout notre argent. Cela pourrait se faire via des actions pour la création d'un parc protégé via le gouvernement équatorien

véronique
Le 26/08/2013 à 16:51:21

Je ne signerai pas cette fois-ci. La pétition ne s'adresse pas aux bonnes personnes...

C'est plutôt à la Communauté internationale qu'il faut demander des comptes ! La somme ridicule demandée par le président équatorien était dans le cadre de l'accord avec l'ONU s'élevait à moins de 3,5 milliards de dollars (soit à peine 2,5 milliards d'euros). Et seuls 13 millions de dollars ont été récoltés (moins de 0,5% !!!). C'est honteux quand on connaît les budgets militaires des pays de l'OTAN par exemple, ou encore les faramineuses capacités financières des grandes fondations américaines soit-disant philanthropes (Bill Gates, Rockefeller, etc.) !

Bref, je ne signerai pas une pétition qui pointe du doigt les mauvais responsables et stigmatise un gouvernement qui n'a d'autre choix que de vouloir que son peuple sorte de la misère...

Prométhée
Le 26/08/2013 à 16:42:36

Ce parc pourrait devenir un champ d'exploration pour les scientifiques, et un ramener des fonds par un tourisme raisonné et écolo.

Dune
Le 26/08/2013 à 14:35:24

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