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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Máxima : Agua si, oro, no ! De l'eau, oui, de l'or, non !

Mise en ligne du 19/01/2016 au 24/05/2017

Comme tout pays où les ressources sont abondantes, le Pérou est la cible de grands groupes qui tentent de s’approprier les terres paysannes notamment à la recherche de minerais précieux.
Máxima Acuña de Chaupe est une paysanne péruvienne qui lutte depuis plus de cinq ans contre un projet minier pharaonique qui risque de saccager ses terres et la nature qui y vit.
Face à elle, deux géants de l’industrie : la multinationale Newmont, dans laquelle BNP Paribas a investi, via une filiale au Luxembourg, et la compagnie minière Yanacocha, dont la Banque Mondiale fait partie des investisseurs.

Bilan de la cyberaction :

3885 participants

Présentation de la cyberaction :

Le super-projet « Conga » mené par ces groupes vise à exploiter les ressources en or, en argent et en cuivre abondantes dans la région. Une opération qui nécessite non seulement le déplacement de populations mais également l’appropriation des lacs des montagnes qui fournissent une eau saine aux communautés locales. L’un de ces lacs se trouve sur la propriété de Máxima.

L’histoire de Máxima débute en 1994 quand elle achète légalement des terres où elle vit actuellement avec sa famille. En 2011, une multinationale se présente à elle pour racheter ses terres. Malgré des offres généreuses, elle refuse de vendre sa propriété aux promoteurs du projet minier. Impensable pour l’entreprise Yanacocha qui estime que les terres furent déjà cédées par les responsables de la communauté Sorochuco. Depuis, la multinationale tente d’expulser Máxima et les siens en faisant usage des forces de police péruviennes.

Lors d’une perquisition violente en août 2011, des membres de la DINOES (police nationale péruvienne) auraient violenté la paysanne et la plus jeune de ses filles jusqu’à ce qu’elles soient inconscientes. Son élevage fut saccagé et de nombreux animaux furent retrouvés morts. La militante dénonce une véritable campagne de harcèlement moral à son encontre et une peur quotidienne pour sa famille.

« J’ai peur pour ma vie, pour la vie de mon mari, pour la vie de mes enfants et pour la vie des gens de la communauté qui nous défendent, nous et notre eau. » exprimait Máxima en 2012 alors qu’elle était attaquée en justice par l’entreprise Yanacocha qui réclame la propriété de ces terres. Octobre 2012, le juge de Celendín se range aux côtés de la multinationale en condamnant la famille de Máxima pour occupation illégale et usurpation de propriété. La justice la condamne alors à trois ans de prison avec sursis et à payer des dédommagements à la multinationale. À peine un an après, soutenue par des associations des Droits de l’Homme, Máxima remporte son procès en appel. La Haute Court de Cajamarca a estimé que le dossier comportait de nombreuses irrégularités autant légales que factuelles, dont la négation pure et simple de son titre de propriété. L’activiste redevient alors la seule et unique propriétaire des lieux.
L’histoire éprouvante ne s’est malheureusement pas arrêtée là. En février 2015, comme ce fut le cas en 2011, un groupe de 200 hommes ont pénétré dans la propriété de l’activiste pour démolir une nouvelle construction entamée par la famille en vue de remplacer leur demeure actuelle. Orchestrée par les forces de police nationales (DINOES) ainsi que des membres d’une milice privée appartenant à Yanacocha, la mise à sac s’est déroulée sans aucun document légal.

Si, sur le terrain, ils sont nombreux à dire « No Pasarán », le combat de Máxima Acuña semble devenir emblématique et porteur d’espoir. Au péril de sa vie, depuis bientôt cinq ans, sans savoir ni lire ni écrire, cette femme lutte de toutes ses forces, incarnant la résistance du pot de terre contre le pot de fer pour de nombreux militants péruviens. Car derrière elle, ce sont désormais des centaines de militants qui s’activent pour défendre leurs terres. De son côté, visiblement soutenue par des décideurs politiques aveuglés par la – soit-disant – nécessaire Croissance du pays, la multinationale maintient que les terres lui appartiennent et qu’elle continuera de réclamer sa propriété par toutes voies « légales » possibles.

Source : Mr Mondialisation

Au Pérou, l’expansion minière cristallise les tensions
http://www.opinion-internationale.com/2015/06/16/au-perou-lexpansion-miniere-cristallise-les-tensions_35473.html  

Pérou - Intimidation et menaces de mort contre la défenseuse du droit à la terre Maxima Acuña de Chaupe
https://www.frontlinedefenders.org/fr/node/29286  

Máxima Acuña Chaupe : une icône en danger
http://www.france-libertes.org/Maxima-Chaupe-icone-en-danger.html  

Máxima Acuña : le combat d’une paysanne contre une multinationale minière
http://www.bastamag.net/Maxima-Chaupe-le-combat-d-une  

Projet Conga : quand l’or du Pérou attire de nouveaux conquistadors
http://multinationales.org/Projet-Conga-quand-l-or-du-Perou  

La lettre qui a été envoyée :


Madame l'Ambassadrice,

depuis 5 ans, Máxima Acuña Chaupe, paysanne de la région de Cajamarca, lutte contre des entreprises minières.

Innocentées de l'accusation d’usurpation des terres, Máxima et sa famille continuent de subir une répression policière, orchestrée par les autorités de votre pays et les multinationales comme Yanacocha.

Je vous demande d'intervenir auprès de votre gouvernement pour qu'il cesse d'exercer des pressions injustifiées et illégales sur la famille de Máxima.

Veuillez agréer, Madame, l'expression de mes salutations citoyennes.

 

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35 commentaires

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Bravo pour votre lutte qui est aussi celle de tous.

haentzler
Le 18/03/2019 à 10:09:36

Madame l'Ambassadrice,

depuis 5 ans, Máxima Acuña Chaupe, paysanne de la région de Cajamarca, lutte contre des entreprises minières.

Innocentées de l'accusation d’usurpation des terres, Máxima et sa famille continuent de subir une répression policière, orchestrée par les autorités de votre pays et les multinationales comme Yanacocha.

Je vous demande d'intervenir auprès de votre gouvernement pour qu'il cesse d'exercer des pressions injustifiées et illégales sur la famille de Máxima.

Veuillez agréer, Madame, l'expression de mes salutations distinguees

Bataille
Le 09/01/2018 à 22:58:24

A la base de toutes ces exactions, une drogue:l'argent.
Les acteurs? Lobbies, mafias, assoiffés de posséder toujours plus.
Que faire? Essayons les pétitions, ça mange pas de pain.
La solution pour en finir avec ces perversions risque de s'avérer plus radicale.

MM
Le 05/07/2017 à 14:39:41

Quand les grand financiers comprendrons t ils que la terre n'appartiens pas aux hommes ils en sont les gardiens, par les propriétaires.

chakla
Le 13/04/2017 à 09:17:28

Pérou : la campagne de discrédit contre Maxima Acuña se poursuit
https://www.amnesty.fr/responsabilite-des-entreprises/actualites/perou-la-campagne-de-discredit-contre-maxima-acuna-se-poursuit  

un anonyme
Le 10/04/2017 à 09:07:49

L'eau est la principale ressource en péril bien que la plus indispensable... L'or, ne sert pas à vivre, juste à dominer !

Les populations locales ont leurs mot à dire, l'agression de citoyens est la preuve que ces industriels sont sans scrupule et sans respect...

NON A CE PROJET !

Vincent Compain
Le 19/01/2017 à 16:15:11

Pérou : le MRAP condamne l’agression contre Maxima de Chaupe

Maxima Acuna de Chaupe, symbole de la résistance à l’entreprise minière Yanacocha au Pérou, a été violemment agressée ce matin par des agents de « sécurité » de l’entreprise. Elle a été gravement blessée ainsi que son mari et laissée sans soins pendant plus de 3 heures.

Ce projet d’exploitation d’or à ciel ouvert détruirait cinq lacs de haute montagne, 700 sources d’eau et 260 hectares de prairies humides. Il constitue une menace directe pour la santé et la vie des habitants ainsi que pour l’environnement de cette importante région agricole péruvienne et contaminerait tout le réseau hydrographique en aval, autant sur le versant pacifique que sur le versant amazonien, avec un impact sur des milliers de personnes.

Grâce à la résistance pacifique des populations concernées et à la solidarité internationale le méga projet « Conga » fut officiellement suspendu en août 2012.

La lâche agression de Maxima prouve que l’entreprise minière n’a pas renoncé.

Le MRAP réaffirme son entière solidarité à Maxima Acuna de Chaupe et aux populations de Cajamarca.

Le projet Conga ne doit pas voir le jour.

MRAP
Le 19/10/2016 à 14:27:52

soutenir de telles personnes qui luttent contre les géants qui gouvernent le monde et le détruisent est une nécessité car nous sommes tous concernés, dans tous les Etats lesquels sont aussi menacés par les mêmes géants destructeurs qui veulent imposer leur volonté rapace avec souvent la complicité des gouvernants.

marie-françoise devillers
Le 16/09/2016 à 17:56:13

L'alerte et la défense liés à cette cause devraient amener à regarder urgemment ce qui se passe sur le sujet en Guyane dite Française ; où les cinq ethnies locales continuent de mourir sous les yeux hagards des ethnies dirigeantes...

Phu Quoc
Le 11/06/2016 à 12:22:22

Dans ce contexte, le rôle de l'Etat, généralement perçu comme un allié des compagnies minières, est au cœur du problème. "Il devrait retrouver son rôle de régulateur et de garant des droits", exhorte M. Torres. Au lieu de quoi le gouvernement a adopté une attitude très controversée à Espinar, en militarisant la zone et en multipliant les arrestations, souvent jugées arbitraires, contre les dirigeants du mouvement protestataire.

Des critiques dont s'est défendu le président Ollanta Humala, jeudi, en affirmant que le rôle du gouvernement était de "protéger les intérêts nationaux" et de faire régner le "principe d'autorité". Il est peu probable que ces déclarations calment la colère des manifestants.

mandelkorn
Le 18/05/2016 à 09:26:11

Ce modèle de fabrication d’un produit par mélange de minerais est assez général et s’applique même à des cas où les contraintes de régulation de production sont pourtant jugées assez faibles[3].

Le rôle du géologue est de guider l’exploitant pour l’aider à atteindre ses objectifs. A cet égard, on distingue deux types de gisements :

Les gisements ouverts pour lesquels le gisement est identifié au fur et à mesure de l’avancement de son exploitation. La réserve en minerai, qui doit être constamment renouvelée, est donc glissante.

Les gisements fermés pour lesquels le gisement est entièrement circonscrit au démarrage de l’exploitation. La réserve, qui désigne la quantité de minerai à exploiter jusqu’à la fin de la mine, est donc fixée au départ. Sa connaissance est cependant affinée en cours de production.



L’exploitation des gisements « ouverts » à réserve glissante

Il s’agit, par exemple, de gisements filoniens quasi-verticaux qu’il est impossible de reconnaître sur toute la hauteur minéralisée via des sondages inclinés de surface trop longs, trop coûteux et trop incertains. Dans ce cas, on ouvrirait une mine souterraine à investissement initial réduit et à coûts opératoires élevés sans tenir compte d’une réserve qui ne mesure que ce qui peut être reconnu depuis la surface.

Sur ce type d’exploitation, le géologue conduit des travaux de prospection pendant toute la vie de la mine de manière à constamment renouveler la réserve devant assurer les productions à venir.

La mine s’arrête quand elle n’est plus assez rentable au regard du prix du métal ou s’il n’y a plus suffisamment de réserve en vue. Ces deux raisons peuvent se rejoindre car un fléchissement de la rentabilité se traduit souvent par des coupes dans les budgets de prospection.

Quand le prix du métal augmente fortement, des investisseurs peuvent alors réamorcer le cycle minier en reprenant la prospection et retrouver des réserves importantes. Plusieurs exploitations peuvent donc se succéder sur les mêmes concentrations minérales.

Ces mines sont, en général, artisanales, très sélectives et sortent sporadiquement[4] des minerais à forte teneur en assez faibles quantités. En cours d’exploitation, la régulation du produit peut donc être assurée par des mélanges entre stocks de minerais. Pour cette régulation sur stocks, l’intervention d’un géologue est peu nécessaire : sa tâche est plus découvrir du minerai que de gérer des réserves ou des stocks.



L’exploitation des gisements « fermés » à réserve fixe

Ces mines couvrent l’essentiel de la production minérale actuelle en tous types de métaux et matériaux. Il s’agit, par exemple, de grosses mines à ciel ouvert mettant en œuvre plusieurs chantiers simultanément. Certains chantiers travaillent sur des fronts à forte teneur, d’autres sur des fronts à faible teneur et d’autres sont affectés au décapage des minerais à venir.

L’investissement et la réserve sont optimisés conjointement. Le projet est très stable au regard des fluctuations économiques car, dans la structure des coûts, l’investissement réalisé au départ est prépondérant par rapport aux coûts opératoires.

Le gisement étant identifié au départ, le rôle du géologue n’est pas de découvrir de nouveaux minerais. Il est de gérer le défruitement de la réserve en terre[5] c'est-à-dire de veiller à éviter les ruptures de production pouvant découler du déficit en un minerai entrant dans la composition d’un produit.

Pour ce faire, le géologue intervient à court terme pour aider à fabriquer le produit en guidant l’exploitation sur les minerais accessibles à front. On parle alors de pilotage de production.

Il intervient aussi à moyen terme pour implanter les chantiers préparant à l’avance l’accès aux minerais qui seront requis pour les productions à venir. On parle alors de programmation d’exploitation.

Périodiquement, le géologue contrôle le gisement résiduel en vérifiant que le défruitement réel ne conduit pas à une usure prématurée de la réserve. On parle alors de contrôle de la réserve.



Connaissance et sélection du minerai sur les gisements « fermés »

Sur les gisements « fermés », beaucoup de mines sont sélectives et le gisement, porteur de la réserve, résulte de deux découpages du sous-sol définis au stade du projet d’exploitation :

Un découpage externe, qui est la fosse à excaver.

Un découpage interne, qui prend la forme d’une consigne de sélection entre minerai et stérile définie par une coupure et une sélectivité[6].



De ce fait, le géologue doit en permanence concilier les objectifs de régulation avec le respect de la consigne de sélection qui garantit la réserve à long terme[7]. Pour ce faire, il gère, à la cadence imposée par l’exploitation, une connaissance du gisement qu’il affine sans cesse grâce à une information plus riche que l’information disponible à l’ouverture de la mine : observations à front, analyses de trous de tir, prises d’échantillons, sondages de pré-exploitation, etc..



Sur les exploitations sélectives, le géologue sera donc compétent en gestion de données, en estimation minière et surtout en organisation opérationnelle afin d’optimiser le traitement d’un flot continu d’informations diverses issues des sites d’extraction :

A court terme, il utilisera directement les données d’exploitation pour piloter et programmer la production.

A long terme, pour le contrôle annuel d’exploitation, il améliorera le calcul de la réserve récupérable par l’expérience acquise au cours de l’exploitation passée.



En cours d’exploitation, le moteur essentiel de l’estimation du gisement est le récolement entre l’estimé et le réalisé. Dans ce contexte, le géologue a beaucoup moins recours à ses connaissances scientifiques qu’en prospection mais il fera tout autant appel à son sens du terrain pour expliquer les écarts prévus-réalisé et ainsi constamment améliorer ses pratiques.

mandelkorn
Le 18/05/2016 à 09:10:42

Les initiatives d’accueil ne manquent pas mais un projet doit encore être réalisé pour améliorer le voyage des touristes : la sécurisation de la route reliant la côte à Huancabamba. En effet, la stabilité de cette unique route d’accès à la ville n’est pas garantie et son étroitesse ne permet pas aux véhicules de se croiser aisément.

D’ailleurs, de nombreux touristes ont peur et refusent de s’engager sur cette route. Le projet de rénovation de la route ne dépend pas des Huancabambinos mais des autorités publiques. Il est le maillon faible du développement touristique. Une fois la nouvelle route réalisée, José bâtira ses bungalows et d’autres projets privés, jusqu’ici en suspens, verront le jour.

En réponse aux demandes de la population, la commune commence à organiser et réguler le secteur des transports, de l’horeca et du tourisme. Des formations portant sur l’accueil et la gestion de groupes de touristes sont notamment proposées aux gérants d’hôtels et de restaurants.

Par le référendum de 2007, les Huancabambinos ont exprimé leur volonté de vivre dans une région sans exploitation minière et à présent, avec l’aide des autorités publiques locales, s’investissent énergiquement dans le développement d’alternatives économiques. Á Huancabamba, la mobilisation citoyenne démontre que l’exploitation minière n’est pas la réponse inévitable au besoin de développement économique de la région.

mandelkorn
Le 18/05/2016 à 09:01:36

Véronika Mendoza propose une alternative pour le Pérou, il faut soutenir son combat avec son parti car ils agiront pour rétablir la justice et faire cesser la corruption.

Olivier Richard
Le 15/05/2016 à 11:36:06

Ce sont les mêmes pratiques partout !
Pas de mines ni ici ni ailleurs !
Janig du collectif Douar Didoull contre les projets miniers en Bretagne notamment
Et merci à Maxima pour son courage face à ces envahisseurs capitalistes

Janig
Le 13/05/2016 à 16:09:56

Maxima Acuna de Chaupe a reçu le Prix Goldman contre l’exploitation minière au Pérou
http://www.frequenceterre.com/2016/05/10/prix-goldman-contre-lexploitation-miniere-perou/  

Alain UGUEN
Le 12/05/2016 à 14:41:29

Je suis allé sur place fin janvier début février 2013 à l'occasion d'un rassemblement d'habitants de la région de Cajamarca, et notamment de Bambamarca et ses environs.J'ai pu y constater et soutenir la détermination de la population à s'opposer à ce projet destructeur de la Cie Yanacocha et constater la collusion des forces de répression de l'Etat péruvien avec la Yanacocha.
Salut et admiration à Maxima Acuña de Chaupe !
¡Agua si, oro no !
¡Conga no va, carajo!

un anonyme
Le 02/02/2016 à 18:58:14

hasta la revolucion

Paco
Le 28/01/2016 à 14:11:27

Merci de défendre la Pachamama!
Bravo pour ce courage face aux prédateurs capitalistes!
Sandrine;



un anonyme
Le 27/01/2016 à 11:47:51

que ce soit au Pérou ou ailleurs en France par ex. les méthodes criminelles d'intimidation sont les mêmes, tout mon respect pour cette femme qui malgré la peur au ventre continue de lutter pour que ses droits soient respectés

Sonia Recht
Le 21/01/2016 à 21:12:29

MAXIMA... un prénom pour une peine maximale appliquée par les voyous-ordures de la finance.
Tout est pourri,corrompu au bord du gouffre.
J'espère qu'elle, ses proches et tous ces courageux militants trouveront une réponse positive, constructive et la paix dans cette lutte inacceptable.
Le capitalisme est un mal profond, mais peut se soigner si chacun commence à modifier ses paramètres pour en venir à analyser ses besoins propres réels, loin du superflu-superficiel guidé par l'orgueil, cette arme utilisée contre nous pour nous rendre dépendants de la bêtise et de la cupidité.

RASLEBOL
Le 20/01/2016 à 22:40:22

action relayée sur le réseau Diaspora*

thierry delebarre
Le 20/01/2016 à 14:40:25

Bonjour

j'ai relayé cette action sur le blog 7seizh ;
je suis abonné à titre personnel, et je suis prêt à relayer à nouveau : je pense qu'aucune de vos actions n'aille contre l'opinion d'aucun membre de notre équipe, et même, la plupart font l'unanimité d'entre nous

ken ur wech all bennak ; e Kemper marteze (?)

Stefan

7seizh
Le 20/01/2016 à 11:41:03

Nous sommes avec vous dans ce combat, n'hésitez pas à faire comme vos adversaires, regroupez-vous pour avoir plus de poids et de force, vous êtes du bon coté et notre soutien vous est acquis jusqu'au bout, jusqu’à votre victoire définitive. Gardez espoir !

Joël LEFEVRE
Le 20/01/2016 à 08:54:26

Sauvons notre Terre Mère Gaia ..

nelly fortier
Le 20/01/2016 à 08:21:37

La terre à ceux qui la cultivent et qui nous nourrissent, autrement plus nécessaires que les creuseurs de mines !

un anonyme
Le 20/01/2016 à 02:49:07

Maxima, votre courage est admirable. Soyez fière de vous car vous défendez des valeurs essentielles. La terre, l'eau, l'air appartiennent à l'humanité toute entière et honte aux dirigeants des multinationales qui d'en emparent pour les détruire sans le moindre scrupule. Halte à ce saccage ! Vous êtes dans le vrai Maxima ; votre lutte pour défendre la Vie est un exemple pour nous tous. De tout cœur Merci

Bambi
Le 20/01/2016 à 00:16:47

Je suis récemment allé au Brésil rencontrer des paysans qui sont dans le même cas et qui se sont organisés et fédérés au sein du Mouvement des Paysans sans Terre, lui même faisant partie d'un mouvement plus vaste (mondial) appelé Via Campesina. J'espère que Maxima saura trouver du soutien local auprès de ces organisations et assurera sa victoire contre l'hypocrisie et la malhonnêteté capitaliste. Força !!

guillaume blanchet
Le 19/01/2016 à 23:27:15

Quel courage! Mais pourquoi en faut-il autant au XXI siècle?
De la même façon que chez nous, le pouvoir et l'argent se sont liés contre le peuple sous le couvert d'une démocratie dévoyée. Merci à Maxima et à tous ceux qui luttent.

Christian Perez-Gil
Le 19/01/2016 à 22:39:41

Courage à Maxima et à ceux qui luttent. Lutter c'est vivre. D'autant plus lorsqu'il s'agit de cultiver la terre pour se nourrir. Honte à BNP Paribas et à la Banque Mondiale.

simone bentzinger
Le 19/01/2016 à 21:05:41

Du courage ! Il en faut pour lutter contre ces chiens de grip'sous pour qui la fin (l'argent) justifie tous les moyens ! Il faut être nombreux à soutenir la vie... il faudrait... Alors je signe, en espérant...

boilette
Le 19/01/2016 à 21:03:07

hasta revolution sempré!!!!

Étrangé
Le 19/01/2016 à 20:47:37

Et la BNP via le Luxembourg, est encore dans le coup !

MARTINE MICHEL
Le 19/01/2016 à 19:49:47

Nous sommes à l'ère du veau d'or...bientôt l'apocalypse !!
Honte vraiment honte à l'homme et sa cupidité...
Je rejoins padupe, c'est vraiment à pleurer !

Claude Ancedy
Le 19/01/2016 à 19:39:06

Ce n'est pas sous la terre qu'on trouvera de quoi nourrir le monde. Qui sont ces gouvernements qui ne prennent pas la défense de leurs citoyens ?
Bravo à Maxima, il faut qu'elle sache que son combat est connu et qu'elle est soutenue!

Jacqueline BONNEFOY-CLAUDET
Le 19/01/2016 à 19:29:15

C' est à pleurer ...

padupe
Le 19/01/2016 à 18:47:30

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