actualité écologie

météo

33è anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl

SPAM etc...

AG Cyberacteurs

Le Gouvernement abandonne le projet de Notre Dame des Landes

PROJECTION DU FILM UNE FOIS QUE TU SAIS

Les amis des 150

APPEL : Les petits pas ne suffisent pas

Jour du dépassement : Pourquoi le recul cette année du 'jour du dépassement' est un trompe-l'œil

EPR : Echec Prévisible de la Roulette Russe

Cyberaction N° 852: Refus du CETA Bravo et Merci au Gouvernement wallon

Journal des Bonnes Nouvelles

2024 année délicate

Ne laissez pas vos appareils en veille

2023 l'année des droits

22 V'là les acteurs des transitions

image vide cyberacteurs
image vide

Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Indonésie : Adidas, l’envers de la médaille

Mise en ligne du 15/06/2012 au 03/04/2013

Adidas vient d'investir 125 millions d'euros comme sponsor des prochains Jeux Olympiques. Mais les ex-salarié-e-s d'une entreprise indonésienne, qui fabriquaient ses produits pour 0,60 dollar de l'heure, attendent toujours que la multinationale les indemnise suite à la fermeture illégale de leur usine.

Les femmes et les hommes qui travaillaient dans cette usine indonésienne ont besoin de votre soutien !

Bilan de la cyberaction :

6733 participants

Revirement chez Adidas. L'ancien client de PT Kizone, une usine indonésienne fermée brusquement en 2011, paiera finalement une partie des indemnités d'ancienneté et de licenciement dues aux ouvriers, au risque de faire jurisprudence.

En matière de responsabilité sur les filières d'approvisionnement, il n'y a pas que la sécurité dans les usines (voir notre article « La sécurité des ouvriers textile menacée au Bangladesh et au Pakistan ») qui fasse l'actualité.
Pour l'association multi parties prenantes Fair Labor Association (FLA), le paiement des indemnités d'ancienneté ou de licenciement quand une usine ferme est un autre « des sujets les plus pressants auxquels sont confrontés les ouvriers des chaînes d'approvisionnement globales ».


C'était aussi, pour Adidas, une épine dans le pied de sa responsabilité d'entreprise en Indonésie. Epine ôtée, pourrait-on dire, le 24 avril, quand le fabricant de chaussures a annoncé un accord avec les syndicats indonésiens pour indemniser les ouvriers de l'ex usine PT Kizone.

Après avoir approvisionné plusieurs grandes marques dont Adidas, cette grosse usine indonésienne avait été fermée brusquement en avril 2011, le patron s'enfuyant avec la caisse et oubliant de payer les indemnités légales d'ancienneté, ainsi que les derniers salaires. Depuis, les syndicats soutenus par la coalition d'ONG Clean Clothes Campaign et des associations étudiantes américaines, n'avaient eu de cesse de faire pression sur Adidas pour qu'il contribue au paiement des indemnités légales (« severance pay »), à l'instar des autres client de l'usine, dont Nike, qui avaient déboursé 1,3 millions de dollars. (Voir notre article Adidas toujours sur la sellette )
"Fermeture non éthique de l'usine "

Dans un communiqué de presse qui devrait clôturer l'affaire, la marque aux trois bandes annonce qu'elle « va contribuer à une aide additionnelle pour les ouvriers en Indonésie, déplacés suite à la fermeture non éthique de l'usine », en complément des 525.000 dollars déjà déboursés en aide alimentaire et services de reclassement. L'accord a aussitôt été salué par les syndicats et la Clean Clothes Campaign, qui fait part d'une « immense victoire », à l'unisson de l'United Students against Sweatshops (USAS), une association étudiante américaine très engagée pour les droits des ouvriers textiles, et souvent opposée aux multinationales. Indépendamment de l'USAS, aux Etats-Unis une dizaine d'universités, liées par un contrat de fourniture ou de sponsoring avec Adidas, avaient demandé au fabricant de payer les indemnités, sous peine de voir les contrats rompus. L'une d'entre elle, dans le Wisconsin, avait même intenté une action en justice contre Adidas.

Ce revirement va-t-il faire jurisprudence pour d'autres fermetures d'usines textiles « non éthiques » ? Jusqu'à présent, le discours d'Adidas était que la responsabilité de payer les indemnités légales (prévues dans le droit indonésien, qui est comparativement plus avancé que dans les autres pays d'Asie du Sud-Est) incombe au patron et non au client de l'usine. Aujourd'hui, Adidas a non seulement reconnu une part de responsabilité, mais l'entreprise insiste sur la nécessité de trouver des réponses coordonnées au niveau de l'industrie dans son ensemble. Une telle voie, qui semble d'autant plus pertinente qu'une même usine a parfois plusieurs clients multinationales, devrait être recherchée dans le cadre du « Global Forum for Sustainable Supply Chain », plaide Adidas. Créé en 2011 à l'instigation de la FLA, ce forum, qui réunit entreprises, société civile, organisations internationales (OIT) et assureurs, s'est réuni fin 2012 pour explorer des solutions, comme la création d'une couverture additionnelle pour les ouvriers (fonds privé ou produit d'assurance), mais aucun consensus n'a été trouvé à ce jour.

http://www.novethic.fr/novethic/rse_responsabilite_sociale_des_entreprises,ressources_humaines,conditions_de_travail,conflit_en_indonesie_adidas_accepte_indemniser_ouvriers,139696.jsp  

Présentation de la cyberaction :

Pendant de nombreuses années, Adidas s’est fourni dans l’usine indonésienne PT Kizone, où les travailleurs-ses gagnaient 0,60 dollars de l’heure. En janvier 2011, le propriétaire fuit le pays, entrainant la fermeture de l’usine et laissant 2 800 personnes sans emploi. Les victimes se tournent alors vers les multinationales dont ils fabriquaient les produits pour obtenir les indemnités auxquelles elles ont légalement droit. Un fonds d’indemnisation est créé auquel plusieurs marques acceptent de contribuer… mais pas Adidas, qui refuse d’y verser un seul centime ! Dans le même temps, la célèbre marque vient d’investir des centaines de millions d’euros comme sponsor des Jeux Olympiques de Londres…

En janvier 2011, le propriétaire de l’usine PT Kizone prend la fuite. Celle-ci ferme en avril 2011 et les salarié-e-s se retrouvent sans aucune ressource. L’entreprise ne leur a pas versé les 3,4 millions de dollars d’indemnités auxquelles ils-elles avaient droit (1 200 dollars par personne en moyenne).

En juillet 2011, à la demande du syndicat local DPC SPSI TSK et de plusieurs ONG internationales, plusieurs marques clientes de l’usine PT Kizone annoncent qu’elles contribueront à hauteur de 1,6 millions de dollars à un fonds d’indemnisation des travailleurs-ses, soit près de la moitié des sommes dues. Mais un an après la fermeture de l’usine, il manque toujours 1,8 millions de dollars, auxquels s’ajoutent les intérêts. Or, bien que sollicité à maintes reprises, Adidas a toujours refusé de contribuer à ce fonds.

S’endetter pour survivre
Beaucoup des ancien-n-es employé-e-s se retrouvent contraint-e-s d’épuiser leurs économies, de s’endetter, voire de vendre leurs terres ou leurs maisons pour simplement survivre et envoyer leurs enfants à l’école.
« J’espère vraiment que je pourrai trouver suffisamment d’argent pour que mon fils puisse aller à l’école. Après 45 ans, c’est dur de trouver du travail, même avec des compétences » explique Tika, l’un des ex-salariés de PT Kizone.
Ayant achevé sa production dans l’usine en novembre 2010, soit quelques mois avant sa fermeture, Adidas affirme ne pas avoir de responsabilités envers les travailleurs-ses de PT Kizone. En réalité, les indemnités se cumulant sur la durée de leur contrat de travail, elles concernent également la période de production pour Adidas.
Adidas fuit devant ses responsabilités…



La marque affirme également ne pas devoir endosser la responsabilité des atteintes à la loi commises par son fournisseur. Pourtant, Adidas doit s’assurer de l’application de la législation locale, des conventions internationales du travail et de son propre code de conduite.

Adidas doit assumer sa responsabilité de donneur d’ordres et prendre les mesures nécessaires pour remédier aux violations du droit du travail par son fournisseur, et donc au non-versement des sommes dues aux travailleurs-ses suite à la fermeture illégale de l’usine. En d’autres termes, s’il n’est pas possible d’obtenir ces versements du propriétaire ou des instances juridiques compétentes, la marque doit payer directement les indemnités.
…mais court derrière les profits
Une chose est certaine : ce n’est pas le manque de moyens financiers qui empêche Adidas d’agir. A la fin de l’année 2011, la multinationale affiche une augmentation de 18% de ses profits. La marque a également pu rassembler 100 millions de livres sterling (125 millions d’euros) pour devenir le principal sponsor des Jeux Olympiques de Londres. Pour habiller et équiper les futurs champions, Adidas ne regarde donc pas à la dépense. Un accord récemment signé avec l’athlète britannique Jennifer Ennis porte à lui seul sur un demi-million de dollars.

A l’approche des grandes rencontres sportives de l’été, nous demandons à Adidas de respecter les droits des travailleurs-ses qui fabriquent ses produits et en particulier de s’assurer que les ancien-ne-s salarié-e-s de PT Kizone obtiennent leurs indemnités.
Il est temps qu’Adidas :

La lettre qui a été envoyée :


J’ai été informé-e par la Clean Clothes Campaign, Ethique sur l’Etiquette et Peuples Solidaires de la fermeture de l’usine indonésienne PT Kizone en avril 2011, le propriétaire ayant fui le pays. Ceci a laissé 2800 travailleurs-ses sans emploi et 3,4 millions de dollars d’indemnités dues non payées. Alors que plusieurs clients de l’usine ont payé un total de 1,6 million, Adidas refuse de contribuer.

Par conséquent, je vous demande de :

- payer aux ancien-e-s travailleurs-ses les 1.8 millions USD d’indemnités restantes, avec les intérêts;
- de leur offrir un travail aux mêmes conditions, sans discrimination liée à l’âge, à des demandes qu’ils auraient faites à Adidas ou à tout autre critère ; ces postes doivent être près de leur lieu d’habitation pour éviter de diviser les familles;
- de vous engager dans un processus de discussion avec le syndicat représentant la majorité des travailleurs-ses, le DPC SPSI TSK;
- d’agir en adéquation avec le principe de diligence raisonnable dans l’emploi futur des travailleurs-ses.

 

Une erreur est survenue, le nom ou l'email ne sont pas corrects. Merci de recommencer.

10 commentaires

credible

Connexion / inscription
image vide Vous devez posséder un compte pour pouvoir poster un commentaire
Courriel
Mot passe
Rester connecté-e


Suite aux nombreuses mobilisations en Europe, en Indonésie et aux Etats-Unis, Adidas a accepté de rencontrer pour la première fois les travailleurs-euses indonésien-ne-s de l’usine PT Kizone. Cependant, tandis qu’ils-elles réclament 1.8 million de dollars, la marque leur propose…des coupons nourriture !

Une proposition insultante

Les ancien-ne-s travailleurs-euses de l’usine de vêtements de sport PT Kizone, considèrent insultante l’offre d’Adidas de leur fournir des coupons de nourriture d’une valeur de 43 euros. Adidas, sponsor principal des JO et de l’Euro 2012, estime à plus de 2 milliards d’euros son chiffre d’affaire lié aux seules ventes de 2012. Pourtant, la marque propose seulement 43 euros à chaque travailleur-euse.
Ce montant équivaut au prix d’un sweatshirt « Londres 2012 » et à la moitié de celui d’un ballon de football de l’Euro 2012. Nous sommes loin des 1.8 million de dollars dus aux travailleurs-euses. Cette somme dérisoire n’est pas même versée comptant mais sous la forme d’un coupon…utilisable dans un seul magasin !

Les 2800 ancien-n-es travailleurs-euses de PT Kizone se battent depuis plus d’un an pour que les acheteurs de l’usine payent les 1.8 million de dollars restants d’indemnités auxquelles ils-elles ont droit, suite à la fuite du propriétaire début 2011. Les travailleurs-euses ont été très clair-e-s : un simple coupon nourriture ne les aidera pas à rejoindre leurs familles pour la fête de l’Aïd, payer les frais de scolarité de leurs enfants ou empêcher leurs propriétaires de les mettre à la rue.
Le “programme d’aide alimentaire” d’Adidas est une insulte aberrante faite aux travailleurs-euses de PT Kizone qui ne veulent pas de cette distribution inutile. Ils-elles réclament les 1.8 millions de dollars qui leur sont dus.

…alors ils répliquent!

Les travailleurs-euses continuent de rejeter les tentatives d’Adidas de fuir ses responsabilités. Malgré les soi-disantes consultations avec les travailleurs-euses sur le système de coupons, ceux-celles-ci rejettent catégoriquement l’offre lors d’une rencontre avec la marque en juillet.
(Plus d’informations sur la rencontre ici: http://www.labourbehindthelabel.org/urgent-actions/item/1068-adidas-meets-kizone-workers).  

Alain Uguen
Le 02/08/2012 à 10:33:28

Dans l'attente de la prise de position d'Adidas, j'ai décidé de ne plus acheter de produit de cette marque et j'en fait part à mon entourage.

Jean Reynaud
Docteur d'Université

reynaud
Le 09/07/2012 à 20:49:52

La crise surtout pour les populations fragiles.
Seul le libéralisme débridé a permis ce chaos financier.
Essayez de visionner le premier film pendant les 21 premières minutes, c'est une démonstration magistrale de la nuisance que peuvent créer quelques électron libres.

Quelques éléments essentiels pour bien comprendre l'origine de la "crise":
http://www.youtube.com/embed/TLjq25_ayWM?rel=0  

Pour mieux comprendre le second intervenant sur la monnaie:
http://www.youtube.com/watch?v=vLszaozIjEk  

Comment l' Islande a réglé le problème, et cela ne se sait pas !
http://www.youtube.com/watch?v=9rGNF-C6Xek  

siragm29
Le 29/06/2012 à 12:03:14

Tant qu'une loi ne contraindra pas les dirigeants d'entreprises et de multinationales à indemniser correctement leurs salariés qu'ils laissent sans emploi lorsqu'ils ferment une usine, les salariés seront toujours les victimes du profit et du pouvoir... Malheureusement !

Radenac Hélène
Le 26/06/2012 à 09:50:22

Boycoter Adidas ou mieux :les menacer de le faire par une grande information sur internet ) s'ils refusent de répondre à la demande de la pétition...C'est faisable !,(après tout ,ils ne connaissent pas la portée de cette cyber action !) la marque est très connue ! le bruit peut courir vite!plus vite que les chaussures Adidas elles mêmes !

un anonyme
Le 20/06/2012 à 16:52:57

l'intérêt de ces pétitions est il me semble aussi d'informer et de motiver le public à réagir, comme lipton cité ci-dessus, sachant que la/ma motive à signer était surtout d'ordre de santé public et de réduction d'un monopole imposé à tous (à 2€50 le verre d'eau chaude avec polluants, plus cher que l'alcool= scandale)
Educateur sportif depuis 30 ans, j'ai pu constater l'impact des JO sur le public, "les JO sont tout sauf du sports"? non, mais ils ont été pris en otage par une élite capitaliste et mafieuse, motivée par l'unique rentabilité à tout prix (surtout secteurs équipement routier et batiment)pour moi une solution serait l'abolition du sport de compétition au profit de l'activité physique de santé et de détente. L'adage "faut en baver pour réussir" est archi-faux, rien de tel pour casser, à terme, physiquement et psychologiquement: le sport de haut niveau est dangereux pour la santé de l'humain et de sa société

Thierry
Le 20/06/2012 à 10:42:34

Un bon moyen d'embêter Adidas et ses "collègues" : ne faites plus de sport !

Pierre DARMANGEAT
Le 20/06/2012 à 10:33:59

Bon, personnellement, j'ai modifié le texte de la pétition, parce que demander à un exploiteur de redonner les MEMES conditions de travail à des humains qu'il a précédemment bafoués dans leur droits et leur dignité (pour que des consommateurs occidentaux puissent se payer des produits de la marque), ça me parait curieux...
Salut

jaf@r
Le 20/06/2012 à 09:32:38

Je reste sceptique, quand cela arrive en France, on laisse les salariés sur le carreau.Combien de salariés de magasins et d'usines, ont trouvé porte close un beau matin, et n'ont jamais pu rien obtenir.
ADIDAS peut sans doute payer, mais cela fait-il partie de ses engagements, je suis déjà surprise que ce genre de marque travaille éthiquement. Et si le patron de cette usine est parti, il a peut-être laissé l'outil de travail, si c'est le cas, il vaut mieux chercher un nouveau patron-salarié, et remettre en route les machines, et faire une mauvaise PUB à ADIDAS, moi, déjà, je ne risque plus d'hésiter à acheter cette marque, je la bannie d'ores et déjà, cette technique a fonctionné pour une usine LIPTON qui voulait délocaliser, l'information vite répandue sur internet à créé un boycot assez massif et immédiat, l'usine est toujours à sa place avec son personnel, du moins jusqu'aux dernières nouvelles, donc si cette info est vraie, je pense que c'est un meilleur moyen de pression, qu'une pétition qui n'a aucune raison d’être prise en compte, puisqu'ADIDAS n'est pas le patron responsable directement des évènements,(à l'extrème, on peut meme penser qu'il est aussi victime ...)

lolo07
Le 19/06/2012 à 19:39:45

Les jeux olympiques c'est tout sauf du sport !
Nous avons échappé aux JO d'hiver en france avec leur Annecy 2018 qu'ils nous imposaient. Samsung a allongé énormément d'argent, c'est pour cela et uniquement pour cela que les JO 2018 seront en corée !
Je vous invite a visiter le site du comité anti olympique d'Annecy qui ont fait un travail fabuleux :
http://www.comiteantiolympiqueannecy.com/jo-d-ailleurs/  

barbara
Le 19/06/2012 à 12:05:23

traits de séparation
Agir
+ Pétitions
+ Cyber actions
+ Liste rapide
+ Proposer
+ Vigilance roundup
+ Cyber manifestations
+ Bilans
+ Lanceurs d'alertes
+ Consultations
Super actions
+ Vigilance roundup
+ Hors TAFTA
S'informer
+ Blog
+ e-quotidien
+ Sites amis
+ Annuaire solidaire
+ Publications
+ Vidéo
+ Agenda
+ Liste d'élus
+ Infos sur les OGM
Nous connaître
+ L'association.
+ Les statuts
+ FAQ
+ Nous contacter
Mon compte
+ Connexion
+ Déconnexion
+ Inscription
+ Lettre d'infos
+ Mon profil
Nous aider
+ Don
+ Adhésion
+ Recommander
+ Code pour sites
+ Livre d'or
+ Boutique solidaire

 

notre page framasphère    notre page facebook    icone twitter    icone google+   icone flux rss   
traits de séparation
| CYBERACTEURS | C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 Quimper | Mentions légales
| GRAPHISTE : Mary-Morgane |
logo enercoop

CSS Valide !