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Bilan de la cyberaction : VERS LA FIN DES FORÊTS PUBLIQUES ?

Mise en ligne du 23/09/2014 au 21/12/2015

Dans le cadre de la préparation du projet de loi de finances pour 2015, le modèle économique de la gestion des forêts publiques pourrait être sérieusement remis en cause. Pour FNE, les efforts légitimes de réduction des déficits ne doivent pas conduire à la destruction d’un système qui a été le garant d’une gestion équilibrée des forêts publiques depuis près de deux cent ans.

Bilan de la cyberaction :

5885 participants

jeudi 17 decembre 2015
Contrat d’objectifs et de performance état/ ONF/
FNCOFOR : peut mieux faire pour l’avenir des forets publiques

Lors du Conseil d’Administration de l’Office National des Forêts de ce jour, FNE n’a pas voté le projet de Contrat d’Objectifs et de Performance établi pour la période 2016-2020 entre l’Etat, l’ONF et la Fédération Nationale des Communes Forestières (FNCoFor). Explications sur ce signal d’alarme adressé aux signataires.
Non, nous ne sommes pas obligés de choisir entre diminuer les coûts et renforcer la gestion durable
L’ONF assure la gestion des forêts publiques, qui représentent 25% de la surface forestière française, et fournit 40% du volume de bois mis sur le marché chaque année. Comme tout établissement public, il est lié à l’Etat par un contrat quinquennal qui fixe des objectifs et définit des moyens pour les atteindre. Pour FNE, les discussions pour parvenir à ce nouveau contrat étaient biaisées dès le départ : en 2014, l’Etat avait tenté de transférer une partie du financement de l’ONF vers les communes forestières, qui ont vivement réagi(2). Nos craintes d’alors se résumaient ainsi : « un répit pour les forêts publiques : pour combien de temps et à quel prix ? (3) ».
Sans surprise, l’essentiel des discussions qui se sont tenues entre les futurs signataires a porté sur le coût de la gestion forestière et les solutions pour le diminuer, les charges liées à la masse salariale, le volume de bois supplémentaire nécessaire pour équilibrer les comptes, etc.
Hervé le Bouler, responsable du dossier Forêt : « D’une part, malgré des travaux conduits toute l’année entre les signataires, nous ne sommes pas convaincus de la durabilité du contrat ; d’autre part, certaines questions de fond ne sont toujours pas réglées : Le service public assuré par l’ONF au bénéfice de la société et pour le long terme doit-il être subordonné aux contraintes budgétaires immédiates ? La gestion durable des forêts publiques doit-elle nécessairement être rentable ? Le service public forestier se borne-t-il à ce qui peut être payé par des acheteurs de bois ? »
Une ambition environnementale limitée qui ne reflète pas ce qu’est la gestion des forêts publiques
L’ONF contribue, par sa gestion et sa présence dans les forêts, à leur préservation. Cela est possible grâce aux documents de gestion, les aménagements forestiers, qui s’appuient notamment sur des analyses environnementales pour établir les possibilités de récolte du bois pour 15 à 20 ans. Dans le nouveau contrat, il est prévu de réduire les coûts en diminuant ces analyses, pourtant indispensables pour prendre de bonnes décisions. Par ailleurs, le contrat prévoit que les actions de l’ONF en faveur des espèces et espaces protégés soient conditionnées à des financements extérieurs. Ce n’est pas notre conception des objectifs à poursuivre par le gestionnaire des forêts publiques, ni de la réalité de ce qui se fait sur le terrain par les forestiers de l’ONF. En acceptant de « simplifier au maximum sa gestion », FNE craint que l’ONF ne se perde lui-même : avec l’aide du forestier, la nature produit du bois, la vente du bois doit servir à protéger la nature.
Pour Julie Marsaud, membre du Conseil d’Administration de l’ONF au titre de la protection de la nature et coordinatrice du Réseau Forêt de FNE : « La gestion des forêts publiques doit concilier les impératifs de maîtrise des dépenses, de participation à l’économie de la filière bois, d’accueil et de sensibilisation du public à la richesse de nos forêts et de protection de la biodiversité. Si la rentabilité doit être recherchée, cela ne doit pas se faire à tout prix, et certainement pas au prix d’une baisse de la qualité de la gestion.(4) »
Cinq ans pour un nouvel élan
Le Contrat d’Objectifs et de Performance Etat/ ONF/ FnCoFor a été majoritairement voté pour la période 2016-2020. Il faut le faire vivre et en tirer le meilleur, notamment au travers du projet d’établissement, à vocation plus opérationnelle, qu’il est prévu d’élaborer début 2016.
Denez L’Hostis, président de FNE : « Attachés à l’avenir de l’ONF et convaincus qu’une plus grande ambition peut être recherchée, nous poursuivrons notre implication aux côtés de l’ONF dans le travail qui s’engage pour que, d’ici cinq ans, nous puissions dire que nos craintes n’étaient pas justifiées. »

[1]FNCoFor : Fédération Nationale des Communes Forestières
[2]http://civicrm.fne.asso.fr/sites/all/modules/civicrm/extern/url.php?u=5856&qid=1270933
 
http://civicrm.fne.asso.fr/sites/all/modules/civicrm/extern/url.php?u=5857&qid=1270933
 
[3]http://civicrm.fne.asso.fr/sites/all/modules/civicrm/extern/url.php?u=5858&qid=1270933
 
[4] Citation issue du Contrat d’Objectifs et de Performance Etat-ONF-FNCoFor 2016-2020

Présentation de la cyberaction :

Le régime forestier, garant de la gestion à long terme des forêts publiques

Le régime forestier s'applique à toutes les forêts publiques de l’Etat et des collectivités. Il constitue d’abord un ensemble de garanties permettant de préserver le foncier forestier mais également un véritable régime de gestion encadré par l’Etat dans le souci de l’intérêt général.
Il en résulte une cohérence de gestion pour toutes les forêts publiques (appartenant à l’Etat comme aux collectivités territoriales), assurée par l’Office National des Forêts, ainsi qu’une égalité entre les territoires, en permettant une redistribution des bénéfices des ventes de bois des régions où l’exploitation forestière est rentable vers les autres régions.
Ainsi que le précise le Code forestier, " les bois et forêts relevant du régime forestier satisfont de manière spécifique à des besoins d’intérêt général ", tels que la préservation de la biodiversité et l’accueil du public.

Un projet aux visées strictement budgétaires, incompatibles avec l’intérêt général

Dans deux communiqués publiés le 6 septembre, la Fédération Nationale des Communes Forestières (FNCOFOR) d’une part et le Syndicat National Unifié des Personnels des Forêts et de l’Espace Naturel (SNUPFEN) d’autre part, alertent sur les discussions qui semblent se conduire au sein du Gouvernement. Selon ces sources, l’Etat souhaiterait compenser son désengagement partiel du financement de la gestion des forêts publiques en en transférant la charge aux communes
forestières, propriétaires des forêts des collectivités et qui, par la loi, doivent en confier la gestion à l’Office National des Forêts (ONF). Le risque serait alors grand que les collectivités demandent à se soustraire à ce régime, conduisant à la privatisation de la gestion des forêts publiques.
Pour Hervé Le Bouler, responsable des politiques forestières à FNE : « Le projet dont il est fait mention, s’il s’avérait refléter réellement la volonté du Gouvernement, constituerait un recul sans précédent pour la politique forestière française. Il serait illusoire de croire que l’exemplarité de la gestion des forêts publiques, exigence que nous formulons régulièrement, puisse être atteinte en fragilisant l’établissement chargé de les gérer, l’ONF, et les collectivités qui les possèdent. »

En conséquence, FNE demande le retrait immédiat de ce projet et des garanties sur le maintien du régime forestier et la sécurisation du modèle socio-économique de gestion des forêts publiques.

VRAI-FAUX REBONDISSEMENT CE VENDREDI : UN ACCORD EN TROMPE L’ŒIL !
Sur proposition de Jean-Yves Caullet, président du conseil d’administration de l’Office, l’ONF renonce comme prévu à 20 M€ cette année puis à 50 M€ sur 3 ans, à condition que les communes ne paient pas plus.
Une négociation menée entre l’ONF, les ministères de tutelle et la Fédération Nationale des communes forestières, sans concertation -bien sûr- avec les syndicats forestiers et les associations de protection de l’environnement. On discutera après et on fera une nième réforme de structure…
Au final, qui va payer ? je retranche d’un côté, à la tronçonneuse !, je rajoute de l’autre et c’est la forêt qui trinquera ! Un peu moins de forestiers, des missions de service public amputées, encore un peu plus de coupes de bois pour gratter des sous…
Jusqu’à quand ? l’année prochaine,le gouvernement tentera d’aller un peu plus loin, de ménager la chèvre et le chou, avant de tuer la chèvre !Sans réaction citoyenne,la lame de fond nous entrainera inévitablement vers la privatisation de la gestion des forêts publiques et l’intensification des prélèvements de bois !

Le collectif SOS-Forêt France invite donc les élus et l’ensemble de la population à agir très rapidement auprès du 1er ministre et des parlementairespour que cette mesure financière à courte vue soit retirée du projet de budget 2015 et ne pèse ni sur le budget de l’ONF, ni sur celui des communes.
Il s’inscrit également dans l’action des personnels de l’ONF qui aura lieu le Jeudi 25 septembre à 9H au siège de l’ONF  2, Av de St Mandé, Paris 12ème, à l’occasion du Conseil d’administration de l’établissement.
Nous vous invitons à interpeller le Premier Ministre et votre député.

Le coup de grâce porté à la forêt publique française ?
http://www.sosforet.org/le-choc-septembre-2014  

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Premier Ministre
Madame, Monsieur

Avec le collectif SOS-Forêt France je tiens à dénoncer la privatisation de la gestion des forêts publiques et l’intensification des prélèvements de bois !
Je demande que la mesure financière à courte vue envisagée soit retirée du projet de budget 2015 et ne pèse ni sur le budget de l’ONF, ni sur celui des communes.
Veuillez croire, Madame, Monsieur, en ma vigilance sur vos décisions.

 

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39 commentaires

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L'ONF a créé une filiale afin de négocier des "crédits carbone" ou droit à polluer pour les entreprises. Cela consiste de permettre à une entreprise de polluer là où elle est mais de se dédouaner en achetant des "crédits carbone" possesseurs de titres déjà émis sans s'en servir ou à ceux qui possèdent des forêts captant le CO2.
N'y a-t-il pas dans ce projet la volonté de tenter les communes, une fois maître des forêts, de négocier des "crédits carbone" pour s'enrichir ???? Le gouvernement "socialiste" montre une oreille très attentive à la financiarisation de la nature dans le cadre de la COP 21. Dès qu'un espace fait l'objet de certificat de CO2, il n'est plus possible de l'ouvrir au public, tout devant être sous contrôle. C'est ce qui arrive aux africains dont les forêts sont désormais interdites d'accès après une utilisation ancestrale par les villageois (cf. Nature, nouvel eldorado de la finance de Sandrine Feydel et Denis Delestrac).

Reven Dick
Le 25/11/2015 à 17:41:02

Voici près de 10 ans, un ingénieur des Eaux et Forêts de ma région,avait déjà déclaré à un ami : "On nous fait abattre des forêts, en vitesse, en dehors de toute bonne gestion, parce que ça permet à l'Etat, sans vote, de boucher les trous, en particulier des retraites des Régimes Spéciaux (dont députés, etc.

Je craignais que le Gouvernement, qui nous a mis sur la paille (après Sarko et autres) n'en vienne à vendre NOS FORETS au Qatar, à l'Arabie, ou à ses divers donneurs d'ordres.
C'est, semble t'il en cours !!

EXIGEONS un droit de préemption d'associations citoyennes, genre GFA forestiers citoyens, accessibles par exemple, par les membres d'associations de marche, et autres amoureux de leurs forêts locales.

En plus notre argent sera mieux là qu'à la Banque ou autres escroqueries attrappe-nigauds !

périscope
Le 08/09/2015 à 10:34:13

La forêt, la nature ne sont pas des produits commerciaux. Elles n'appartiennent à personne et surtout pas à l'homme qui ne sait que les détruire au lieu de les respecter et d'en tirer mille et un bienfaits.

hervé
Le 18/02/2015 à 23:27:12

Je vis en Bretagne où les milieux boisés représentent seulement 12%du territoire contre 26% pour la moyenne nationale.Et on pourrait sacrifier ce qui nous reste de petits oasis verts ? Alors je propose un nouveau nom à mon pays : Bretagne Béton.Tout ça pourquoi ?. Pour des maires, des élus qui ne verront encore que leur budget et intérêt à court terme ? Il n'y a donc d'autres idées, plus que dans la langue française les mots : développement, croissance, pognon . Tout ça pour quelques euros d'économie, piteux. La France est riche , assez pour sauver quelques hectares de forêts quand même. Y'a t'il quelqu'un encore ému par tous ces abbatages massifs d'arbres, ces élagages et étêtages horribles ?.
Tout ça ne mènera à rien de bon et le monde sera devenu bien moche. La Nature est notre bien commun, elle vaut bien mieux que ça, elle enchante la vie . Je la regarde triste mourir petit à petit, massacrée par un homme qui voit que son nombril, qui voit quoi d'ailleurs?. La Nature qui nous a tant donné, je rends hommage à sa grandeur,sa beauté. Laissez-moi ma parenthèse, ma forêt du Cranou, où mon coeur s'est égrainé au fil des saisons. Merci à tous les élus, décideurs qui prendront partie pour une belle décision. Merci à tous ceux qui oeuvrent à la sauvegarde de la Nature.

Lolo
Le 27/10/2014 à 00:42:33

Déjà que chez moi, c'est l'ONF qui gère et faut voir la tronche de notre forêt: Au combiens moins de diversité d'essences, d'énorme parties à blanc et toc pour faire passer d'énormes débardeurs qui n'auront bientôt plus intèrêt a passer puisque plus de gros arbres! Que fait-on en France? On marche sur la tête et bientôt que laisserons nous a nos enfants? Rien ou si peu! Quelle tristesse!

al
Le 08/10/2014 à 17:14:39

certaines richesses doivent rester publiques. C'est du vol de la part des responsables politiques de vendre la nature. Ils ont assez bradé les biens publics, STOP !

lise
Le 30/09/2014 à 22:46:03

Cela fait bien longtemps que l'Etat souverain à subtilisé au peuple le pouvoir de la démocratie...

Iffic
Le 30/09/2014 à 14:12:54

Il n'est, hélas, pas nécessaire que la forêt soit privatisée pour que des pratiques productivistes et défavorables aux équilibres biologiques soient développées en forêt publique. L'ONF est dans une logique comptable pour finir ses fins d'années en mobilisant plus de bois; de plus, il est désormais juge et partie avec sa filiale bois-énergie. Il est grand temps que l'établissement redevienne un véritable service public indépendant du marché du bois et garant de la pérennité et de la diversité des forêts.

EREM
Le 30/09/2014 à 09:46:10

Il y en assez que nos responsables détruisent la France et ses richesses. Les forêts font parti des richesses de ce Pays.

Maire91
Le 29/09/2014 à 17:19:23

Il y a deux siècles la forêt en France était ruinée et ne couvrait plus que 12 % de notre pays. Parce qu'on lui a donné le temps et des moyens, qu'on a décidé de la protéger par des lois et un service public forestier fort, la forêt couvre aujourd'hui près de 30 % de notre pays. Elle rend gratuitement d'immenses services à tous les citoyens : protection du climat (CO2), de l'air, de l'eau potable, bes personnes et des biens , biodiversité, énergie et matériau renouvelables, paysages, loisirs...
La crise de l'énergie va aller croissante : épuisement des hydrocarbures, dangerosité du nucléaire ou des gaz de schiste...
Le monde de la finance vient de se souvenir qu'avec du bois on peut faire du carburant, de la chaleur, de l'électricité. Il veut donc mettre la main sur le patrimoine forestier national pour l'exploiter sans contrainte à outrance (AGM, fertilisants, traitements chimiques ...)quitte à perpétrer un désastre écologique et social majeur. Dans cette perspective, le service public forestier qui protège les forêts publiques depuis 700 ans est considéré comme un empêcheur de faire du fric en rond.
Depuis 30 ans il est donc affaibli (4 emplois sur 10 ont disparu)et depuis quelques années le Ministère des finances n'a de cesse de le déstabiliser. Cette fois ci il s'agît de le faire disparaitre au prétexte de réduction des dépenses publiques quand dans le même temps des opérateurs privés (ex : EON à Gardanne(13))bénéficient de montagnes d'argent public pour monter des projets irresponsables à tous points de vue : écologique, économique et social. Chaque citoyen doit s'inviter dans le débat pour défendre la forêt de demain celle que nous laisserons à nos enfants qui en auront tant besoin pour faire face aux effets du dérèglement climatique en cours et à l'épuisement des ressources naturelles. Tous en lutte pour l'intérêt général, la forêt qui nous protège et les générations futures.

Philippe
Le 27/09/2014 à 10:53:42

Le bois des forêts Françaises part en Chine ou il sera traité, découpé, transformé pour revenir en France et salons de jardins et autres ornements et meubles pour les terrasses, balcons...
Il y a 3 ans, IKEA déboisait à la hauteur de 13000M3 /an (source Greenpeace)

marie-joëlle
Le 26/09/2014 à 19:29:10

Il semble que 2015 sera une année-clé du démantèlement de tous les secteurs en France : pour LES VENDRE donner à des promoteurs privés, des multinationales et des investisseurs.
TAFTA S'ANNONCE...

Nicole CHEVERNEY
Le 26/09/2014 à 14:15:55

La gestion du privé nous mène toujours dans le mur !!!!!!!!!!!

Yves
Le 25/09/2014 à 17:48:36

C'est la prolifération humaine qui bouffe la planète. Il faut distribuer des contraceptifs aux humains.

un anonyme
Le 25/09/2014 à 11:55:40

On nous annonce une conférence sur le climat à Paris pour 2015 et dans le même temps on brade la forêt, dernier refuge de la biodiversité et de la faune sauvage. Où va-t-on ?

duval
Le 25/09/2014 à 09:28:29

Nous n'avons que 7% de forêt publiques . La forêt de Moulière en Poitou est année après année , passée à la tronçonneuse . Ils laissent la frondaison et derrière c'est la massacre . En 10ans , c'est affolant .
J'en profite pour dire qu'après 2012 en référence au club de Rome(1972) nous avons 15ans pour sortir de notre système avant écroulement (Études scientifiques)...que faire ?

Jeanine
Le 25/09/2014 à 06:16:02

DEPUIS QUE LA PRIVATISATION EST EN MARCHE, DEPUIS QUE L'ULTRA LIBÉRALISME OU LE SOCIAL LIBÉRALISME GOUVERNENT, C'EST LA MERDE...ALORS CONTINUONS!!!

ABALACALOTTE
Le 24/09/2014 à 23:03:09

Je crains que privatiser les forêts risque à bref échéance une destruction de notre patrimoine commun par l’exploitation non maitrisés uniquement dans le but de faire beaucoup d'argent ,c'est triste de voir sur ce sujet mais comme sur beaucoup d'autres des politiques livrés sans état d’âmes ce qui autrefois faisait notre fiertés

JEAN
Le 24/09/2014 à 19:21:14

Déjà en 1980, dans les Vosges les suicides d'agents ONF étaient plus nombreux. Causés par la rentabilisation Kpitaliste des forêts

GG
Le 24/09/2014 à 17:46:26

vive la decroissance
faisons la revolution
pour proteger nos forets
vivre libre ou mourir

bouche
Le 24/09/2014 à 17:46:13

Avec une gestion privée, la forêt aura-t-elle le temps de repousser?

MamaTTT
Le 24/09/2014 à 17:14:10

Nos élus s'accaparent de nos votes pour dépouiller ce qui reste des biens publics. Après quoi ils s'étonnent que les français ne leurs fassent plus confiance...
Ils vont transformer "NOS" forêts en champs de courses (on l'a vu!) et en golfs pour inviter Kadhafi et consorts. Il est mort, certes, mais les "invités de marque" ne manquent pas. Il y a peu un émir est allé au Pakistan chasser avec ses faucons une espèce d'oiseaux protégées (2000 victimes). Les oiseaux doivent se méfier des invités de marque qui honorent la république de leur présence.

un anonyme
Le 24/09/2014 à 16:12:22

Les bénéficiaires de la privatisation œuvrent la plupart du temps pour leurs intérêts particuliers, même si ces derniers vont à l'encontre du bien commun. Énoncer ce truisme n'est pas faire un procès d'intention, il suffit d'avoir les yeux ouverts au quotidien pour le constater et en conclure que la gestion par l'État est encore essentielle dans bien des domaines.

Catherine Stephenson
Le 24/09/2014 à 14:41:44

Plus de forêts publiques, ça veut dire plus de forêts. Comment ignorer désormais que nos élites n'ont d'autres intérêts que ceux des lobbies qui les gouvernent.
Ce système n'a que faire d'intérêt général.
Il faudra s'opposer fermement si l'on ne veut voir ce monde affreux, qu'on nous dessine tous les jours un peu plus, voir le jour.

Benoit
Le 24/09/2014 à 14:41:09

nous ne voulons pas des voleurs pour diriger le pays.
et pour cela il faudrait plus de démocratie, donc participer à la construction de celle-ci, et deuxièmement sortir de la construction mondialiste économique et soumise à la financiarisation de l'économie.
Stop à la croissance artificielle et aux exonérations d'impôts des multinationales,transnationales.
Stop à la spéculation tout azimut par une législation appropriée

un anonyme
Le 24/09/2014 à 13:40:19

nous ne voulons pas des voleurs pour diriger le pays.
et pour cela il faudrait plus de démocratie, donc participer à la construction de celle-ci, et deuxièmement sortir de la construction mondialiste économique et soumise à la financiarisation de l'économie.
Stop à la croissance artificielle et aux exonérations d'impôts des multinationales,transnationales.
Stop à la spéculation tout azimut par une législation appropriée

peter
Le 24/09/2014 à 13:18:59



Pour une prise de conscience et une responsabilité des acteurs forestiers privés ou publics.

Thoreau
Le 24/09/2014 à 12:41:33

Il faut savoir que le ver est déjà largement dans le fruit : non seulement il y a longtemps que l'ONF est dirigée par des technocrates et non des forestiers (François Terrasson en parlait déjà en 2003 !), mais l'ONF concède des coupes de bois à des sociétés privées. Normalement, il y a bien sûr des conditions, d'autant que l'ONF travaille avec le CNRS qui pose par exemple des nichoirs et divers matériels d'observation. Le CNRS travaille donc en accord avec l'ONF et lui transmet toutes les informations sur les matériels présents en forêt ainsi que leur localisation extrêmement précise.
Mais quand c'est une société privée qui fait les travaux, et bien il faut que ça aille vite, et puis la science, les plantes et les animaux, elles n'en ont rien à f...., alors elles font des coupes à blanc, elles saccagent bien le sol avec de gros tracteurs et de grosses machines. Et « naturellement », sans se soucier plus des nichoirs et des matériels du CNRS que de la forêt.

Pascale
Le 24/09/2014 à 12:09:13

Que fait le premier ministre dans un parti dont l'intitulé n'est pas en cohérence avec les actions du gouvernement?
Préparerait-il l'avènement d'un PP après un PS?

Bebert
Le 24/09/2014 à 11:09:12

le commentaire précédent n'est anonyme que par accident. C'était Michèle.

Michèle
Le 24/09/2014 à 10:52:04

Nous n'élisons pas nos représentants pour qu'ils dépouillent notre pays de ses biens élémentaires au profit des grandes entreprises privées cupides et prédatrices.

un anonyme
Le 24/09/2014 à 10:49:50

Privatiser, c'est nous appauvrir collectivement!... Jusqu'à quand cette "idéologie" va contaminer nos "élites"?...

un anonyme
Le 24/09/2014 à 10:31:00

Le pillage des richesses publiques devient intolérable

Anne Pradier
Le 24/09/2014 à 10:10:05

Comme pour le reste des biens publiques (patrimoine, autoroutes…), ceux construits par nos aïeux pour l’intérêt commun, nous assistons aujourd’hui à une spoliation généralisée, insidieuse, cynique et fascisante au nom d’une soi-disant économie à faire. Depuis 1974, libération des flux financiers, l’évasion fiscale correspond bizarrement au déficit de notre bon vieux pays !? Il faut une bonne fois pour toute que les gens comprennent que les journalistes ne relayent que des propagandes culpabilisantes pour le compte des banquiers (la finance) qui nous volent nos bijoux de famille en toute impunité et pire en toute légalité grâce au lois votées par nos chers représentants (euh pardon représentant des oligo-plouto-crates).

un anonyme
Le 24/09/2014 à 09:17:53

Bonjour,

Ne serait-ce pas plutôt un pas vers la vente à des privés,de ces forêts;
Marchand de bois, de chasses et autres y trouveraient leurs comptes!!!
Cordialement. JJR

JJR24
Le 24/09/2014 à 09:16:40

bien sur que c'est la fin des forets publiques
selon les termes de l'AGCS
un service publique ne peut pas rentrer en concurrence avec un service privé .il suffit d'ouvrir une petite breche (creer un service privé) et il faut que ce service publique disparaisse.ils on de l'expérience dans ce domaine:la poste les télécomes,les hopitaux,les prisons (quon vend a adexo et a qui on loue les locaux)les autoroutes edf,sncf,cge,gdf...
c'est vrai que maintenant c'est plus simple, il y a vinci,bouigue,sue.z et adexo
les "gens" sont unanimes:"il y a trop de fonctionnaires,ça coute cher..."

dud
Le 24/09/2014 à 08:37:58

Bonjour, j'attire votre attention sur le fait que la déduction fiscale ne s'applique pas aux personnes non imposables, ce qui est peut-être le cas d'un certain nombre de donateurs; quelques mots sur cette anomalie de notre régime fiscal seraient bienvenus, dans l'esprit de transparence que le site "Cyberacteurs" pratique dans son ensemble, bien cordialement,
Denis Pugnère

Denis PUGNERE
Le 23/09/2014 à 21:47:30

Beaucoup trop de forêts privées en France !
avec une " gestion " catastrophique ,à court terme et cahotique . *
Regardons les pays de l'Est ...

anne jordan
Le 23/09/2014 à 20:28:05

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