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Bilan de la cyberaction : Face à la sécheresse, l'urgence est à la création de réserves en eau … naturelles !

Mise en ligne du 05/08/2015 au 11/08/2016

Puisque, face à la sécheresse, qui s'annonce chronique dans les années à venir, la tendance est à la « création de retenues d'eau » artificielles, le collectif FNE Adour-Garonne prône par opposition la « création de réserves en eau naturelles » ou plus exactement leur reconstitution. Ou comment mettre en avant les capacités des milieux aquatiques et des sols à stocker l'eau et à la restituer …

Bilan de la cyberaction :

3295 participants

Présentation de la cyberaction :

http://www.fne-midipyrenees.fr/face-secheress-urgence-est-creation-reserves_7-actu_34.php  

Construire des retenues d'eau artificielles ... une gestion de l'eau à court terme !
« Après des années d'assèchement de zones humides et de drainage de parcelles, d'arrachage de haies, de mise à nue de terres en hiver, et pour les cours d'eau, d'extraction de graviers dans le lit mineur, d'enrochement de berges, de chenalisation, recalibrage et endiguement pour accélérer l'écoulement... les milieux aquatiques et les sols ont perdu leur capacité de stockage de l'eau et d'échange avec les nappes souterraines», souligne Jacques Brie, administrateur de Poitou-Charente Nature et vice-président de Charente Nature. « Nous sommes tout simplement en train de briser les dynamiques du cycle de l'eau, et c'est le résultat de politiques de soumission du milieu naturel aux usages de l'homme au lieu de vivre en bonne intelligence avec lui. La construction de retenues artificielles s'inscrit complètement dans ce modèle et ne constitue qu'une gestion à court terme au problème de la ressource en eau. »
D'autre part, plusieurs questions se posent quant à ces retenues artificielles : Quel bilan pour les quelques 40 barrages et 1900 retenues déjà construites en Adour-Garonne depuis 25 ans ? Comment seront remplies toutes ces retenues en cas de déficit pluviométrique hivernal chronique ? Quel coût pour ces retenues destinées en grande partie à quelques irrigants, et payées par qui1? Et dans 25 ans, quel sera le nouveau pansement aux problèmes de gestion quantitative de la ressource en eau en Adour-Garonne ?

Favoriser le rôle d'éponge des milieux aquatiques et des sols … pour une gestion intégrée et durable de la ressource en eau.
Une autre approche plus durable pour l'homme et les milieux aquatiques existe. Il s'agit de permettre aux milieux aquatiques et aux sols d'exercer leurs fonctionnalités naturelles : ce rôle d'éponge qui se gonfle quand il y a de l'eau et la restitue progressivement, ce rôle de réserve d'eau naturelle !
Cela passe par une approche intégrée de l'eau sur les territoires : reconquête de l'espace de mobilité des cours d'eau, restauration et préservation des zones humides, réflexion sur la place de l'arbre et des haies dans le cycle de l'eau, diffusion des pratiques et systèmes agronomiques qui valorisent le stockage de l'eau dans les sols notamment grâce à l'humus (cultures sous couvert végétal permanent, agriculture biologique...).
« Privilégier et favoriser le stockage naturel de l'eau dans le sol et les milieux aquatiques : c'est à cette condition que nous pourrons TOUS faire face aux aléas du changement climatique », affirme Rémi Martin, Président de FNE Midi-Pyrénées.
Cette gestion intégrée des ressources en eau et milieux aquatiques est l'ambition du Collectif FNE Adour-Garonne pour le Xe programme d'interventions de l'Agence de l'eau Adour-Garonne.
1. Jusqu'à 80% d'argent publique (aides AEAG, fonds européens et subventions des Conseil Régionaux et Généraux cumulables)!!! Réglementairement, une part résiduelle d'autofinancement d'au moins 20% doit rester à la charge du maître d'ouvrage.


Chacun a en mémoire des systèmes d'arrosage géant projetant de l'eau en pleine chaleur synonyme de ce modèle industriel absurde. Nous vous proposons d'interpeller les Ministres de l'Ecologie et de l'Agriculture.

extrait de LES VINGT ANS DE L’AGRICULTURE DURABLE
http://www.agrobiosciences.org/IMG/pdf/pochon-32-35.pdf  

iL y a donc une solution à la crise agricole actuelle. Des agriculteurs nombreux et prospères, dans un environnement préservé et produisant de la qualité, ça existe, nous les rencontrons. Opposer économie et écologie est une absurdité. Alors, comment se fait-il que beaucoup s’obstinent à nourrir leurs vaches avec du maïs et du soja, à investir dans des porcheries sur caillebotis, à perdurer dans la monoculture céréalière et légumière, faisant fi des lois agronomiques les plus élémentaires? Parce que la génération des 35-55 ans, et particulièrement les dirigeants agricoles actuels, ont été formés à la « pensée unique », au modèle dominant béton, maïs, soja, nitrates, pesticides. Hors de là, point de salut. Parce que le poids des lobbies de l’agro-industrie continue de peser, et conditionne les esprits, y compris à Bruxelles. Ils ont tant à gagner à la poursuite de ce modèle! Et enfin parce que la PAC sub- ventionne le maïs-fourrage, l’irrigation, le taurillon intensif, et... pas l’herbe.

….C’est le citoyen-consommateur qui paie en effet la gabegie actuelle (en moyenne 3.000F/ménage européen), et c’est lui qui en subit les conséquences : malbouffe, pollution, paysages saccagés.
Enfin le consommateur se réveille, il préfère manger moins mais manger mieux. Nul doute que s’il boude les œufs de poules en cage, le porc sur caillebotis, les céréales, légumes et fruits bourrés de pesticides, ce type de pro- duction s’arrêtera faute de débouchés. Le consommateur tire la machine... dans le bon ou le mauvais sens. Un mou- vement est enclenché contre lequel les lobbies producti- vistes seront impuissants. C’est ce qui me conforte dans cet optimisme dont m’accusent parfois mes amis. En tout cas, je suis persuadé qu’on ne change pas le monde avec la sinistrose. Pour réussir, il faut y croire. Et la publication du livre de l’Inra « A la recherche d’une agriculture durable » vient à point nommé pour nous conforter dans notre optimisme. Cet ouvrage est un événement qu’il faut découvrir et faire découvrir à nos amis.

André Pochon

L’alerte sécheresse étendue à 63 départements
http://www.francebleu.fr/societe/secheresse/carte-l’alerte-secheresse-etendue-63-departements-2506567  

L'été 2015, un été record pour la sécheresse
http://www.francetvinfo.fr/meteo/secheresse/l-ete-2015-un-ete-record-pour-la-secheresse_1028693.html  

POCHON André, Les champs du possible - Plaidoyer pour une agriculture durable
http://blogs.mediapart.fr/edition/vert-tige/article/211012/pochon-andre-les-champs-du-possible-plaidoyer-pour-une-agricul  

Dans les champs de maïs français, l'arrosage au goutte-à-goutte
http://www.20minutes.fr/planete/1374921-20140514-20140514-champs-mais-francais-arrosage-goutte-a-goutte  

Une jolie colère verte, pleine d'enseignement sur l'origine de la Crise Agricole...
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2015/07/22/31003-20150722ARTFIG00120-perico-legasse-la-grande-distribution-est-devenue-un-fleau-national.php  

"60 ans que l'agriculture a tout faux...."
http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20150616.OBS0886/60-ans-que-l-agriculture-a-tout-faux.html  

Une fois encore, la crise du maillon faible que sont les agriculteurs surendettés vient masquer la crise du système agro-industriel de production et de distribution auquel ils sont enchainés..... lire la suite
http://www.minga.net/crise-agroalimentaire-jouer-a-grande-echelle-la-carte-de-la-proximite/  


Les soldats perdus de l’agriculture industrielle
http://blogs.mediapart.fr/edition/vert-tige/article/250715/les-soldats-perdus-de-l-agriculture-industrielle  

La lettre qui a été envoyée :


Madame la Ministre, Monsieur le Ministre

Il ne serait pas cohérent que nous organisions la COP21 en prônant la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre sans regarder ce qui se passe en agriculture qui représente 19% de ces émissions , sans oublier de tenir compte des émissions de CO2 associées aux changements d’usage des sols agricoles. (chiffres du projet de stratégie Nationale Bas Carbone)
Au lieu de continuer la fuite en avant de constructions de barrages et de réserve (Sivens..) et de suppressions de zones humides (NDDL, il convient de favoriser le rôle d'éponge des milieux aquatiques et des sols … pour une gestion intégrée et durable de la ressource en eau.
Cela passe par une approche intégrée de l'eau sur les territoires : reconquête de l'espace de mobilité des cours d'eau, restauration et préservation des zones humides, réflexion sur la place de l'arbre et des haies dans le cycle de l'eau, diffusion des pratiques et systèmes agronomiques qui valorisent le stockage de l'eau dans les sols notamment grâce à l'humus (cultures sous couvert végétal permanent, agriculture biologique...).
« Privilégier et favoriser le stockage naturel de l'eau dans le sol et les milieux aquatiques : c'est à cette condition que nous pourrons TOUS faire face aux aléas du changement climatique »

 

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40 commentaires

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"60 ans que l'agriculture a tout faux..ne faites pas pareil pour la gestion de l'eau ! c'est le 1er besoin de l'homme...

isabelle obscur
Le 23/05/2016 à 01:59:53

J'adhère complètement au propos de la pétition. Malheureusement le type d'actions décrites n'entre pas dans le champ de compétence des députés (aujourd'hui l'assèchement des zones humides de plus de 1000 m2 est interdit par la loi), mais des Commissions locales de l'eau et des intercommunalités porteuses de contrats de rivière et des plans locaux d'urbanisme. Au delà des projets phares comme NDDL, Les mesures efficaces concernent surtout les collectivités locales et les élus de proximité: prise en compte des zones humides dans les projets de PLU (votre maire, qui doit rendre les parcelles humides inconstructibles y compris pour les installations agricoles), l'application stricte par le préfet de la police de l'eau et l'extension de ces mesures de protection par les collectivités aux zones humides de moins de 1000 m2, le changement de politique agricole dépend des chambres d'agriculture, de la région et des départements (et un peu, mais un tout petit peu, des députés européens pour la réforme de la PAC)... sur la question de la gestion de l'eau, même si le ministère peut effectivement faire mieux, les gros retards et les grosses marges de manoeuvre concernent surtout les élus locaux.

gangrn
Le 21/11/2015 à 14:36:20

arrêter de "contrarier la nature.... s'inspirer d'elle pour activer des lieux détruits...même réflexions que jymari du01.09.15

anne soulairol
Le 10/10/2015 à 12:45:33

Pareil en Nouvelle-Calédonie !

Stéphane LARDY
Le 10/10/2015 à 08:20:22

Raslebol !!!!! je suis à 1000 % avec toi. tu as tout dit

Yamina Frécaut-Martin Hammami
Le 11/09/2015 à 19:55:02

arrêtons les subventions pour la culture du maïs, cette plante tropicale qui ne devrait même pas exister en France, taxons l'agriculture intensive et aidons les petites exploitations en créant une charte pour une agriculture de qualité, exonérons de charge les agriculteurs qui respectent l'environnement, incitons les à replanter les haies qui ont été détruites, à pratiquer la rotation des cultures et préserver les prairies permanentes...sinon nos paysages deviendront des déserts

jymari
Le 01/09/2015 à 21:32:27

Arrêtez les bains et les douches trop longues (sauf pour les amoureux !)

pierre-gilles lubet
Le 29/08/2015 à 23:33:45

Assez des piscines privées !

Tiphaine Renard
Le 27/08/2015 à 02:02:30

pour répondre à Marie Anna Blanquier et ceci explique peut être cela le Gers est un département où les agriculteurs sont très en avance sur l'agroforesterie
bonne réflexion citoyenne*agnès 24/08

agnès27
Le 24/08/2015 à 08:28:25

Economiser l'eau ne facilite pas l'économie.

Entre ouvrir un robinet, et, ou, faire des km avec un seau sur la tète ou a bout de bras !

L'endroit, l'envers, économie, économie !
Construire, batir, réfléchir !

Barrer le naturel pour prôner l'immédiat, c'est ce que l'on fait depuis . . . pfeu !.

Marie-Madeleine LAURENT
Le 16/08/2015 à 08:33:29

incoherence de notre agriculture intensive.
1-drainage.
2-arrachage des haies.
3-comblement des fosses
4-arrasement des talus
5-irrigation.
Chercher l'erreur

Quebec
Le 15/08/2015 à 21:23:25

RASLEBOL
- De traverser des immensités sinistres de monocultures !
- Des déserts qui s'annoncent encore et toujours pour l'élevage intensif érodant les sols à mort !
- De voir cette course à l'armement pour des machines agricoles toujours plus démesurées !
- De voir des animaux, des êtres vivants, martyrs en souffrance absolue de leur conception à leur mort !
- Des quotas imbéciles et criminels !
- De voir mourir la vie sur cette planète !
- De voir ce monde dépérir à cause d'une poignée d'hommes avides alors que nous sommes des milliards à pouvoir dire : NON !

RASLEBOL
Le 15/08/2015 à 00:01:39


A propos des retenues d'eau naturelles ;
je comprends que d'aucun souhaite exprimer son opinion; encore faut-il savoir de quoi on parle et connaître un minimum le secteur;
nombreux sont les commentaires de profanes qui ne tiennent aucun compte de la réalité;
les retenues d'eau naturelle existent depuis des lustres dans certaines régions, avec haies bois et système de gestion écologique pratiquée de façon traditionnelle par les agriculteurs, comme la prose de Monsieur Jourdain! De façon générale ces agriculteurs ne se plaignent pas et vivent très correctement; alors reprendre ces méthodes paraît plutôt être une bonne choses dans les régions où elles ne sont pas pratiquées ! les retenues d'eau naturelle ne sont pas des barrages; de petites tailles elles desservent quelques agriculteurs et contribuent au maintien de l'entretien des paysages ; lorsque ces agriculteurs auront disparu les terres deviendront des friches et nous devront importer ce qui est produit aujourd'hui chez nous ! on se plaindra alors et des friches et du chômage et des importations dont on ne saura comment ils sont réellement produits ! on trouvera alors anormal d'avoir laisser mourir notre agriculture de moyenne et de petite taille !

Marie-Noëlle BLANQUIER
Le 13/08/2015 à 11:40:12

Faire des retenues naturelles n'est pas sans conséquences en aval. Y'a t'il eu des études là-dessus ?

Je signe quand même.
PierGil

pierre-gilles lubet
Le 13/08/2015 à 00:15:09

Créer des retenues d'eau n'est pas sans conséquences en aval. Impossible à chiffrer.
Donc à limiter le plus possible. Je signe qd même.

PierGil

piergil92
Le 13/08/2015 à 00:12:59

J'ai signé cette pétition, tout en pensant qu'on ne peut pas opposer les réserves d'eau naturelles aux réserves artificielles, puisqu'en cas de sécheresse prolongées, je ne vois pas comment les réserves naturelles ne seraient pas aussi asséchées.

Monot Gaston
Le 12/08/2015 à 19:01:47

Les réserves d'eau "naturelle" ne sont pas une solution sinon qu'une vision à cours terme de l'agri-industrie. Cessons d'être stupide en voulant absolument faire que la nature nous obéisse, d'autres solutions viables existent, mettons les en œuvre en arrêtant de pleurer sur un sort que nous nous appliquons à entretenir.

Jean Pierre RENOUX
Le 12/08/2015 à 10:32:11

Il est temps de remettre en valeur les zones humides et les retenus naturelles qui sont un moyen à moindre coût de préserver notre eau qui sera de plus en plus rare et chère. La guerre de l'eau a déjà commencé.
Non à la culture intensive, pour une agriculture respectueuse de la terre.

Stephoto
Le 11/08/2015 à 21:35:40

D’après un magazine edf la création de retenues d'eau est dans le programme européen non pas pour le bien public mais pour les revendre à des multinationales. L'eau stockée sera revendue à des fins commerciales. Je vis dans le s.o et les agriculteurs ou les communautés créent déjà leurs propres lacs. Evitons de mettre l'état là dedans. Ecoutez ceux de Sivens. Tant qu'il y aura des bouilles.

un anonyme
Le 11/08/2015 à 12:14:34

j'habite en Gâtine Poitevine depuis plus de 20 ans et j'assiste à sa longue agonie. Cette année le processus s'accélère. les prairies sont transformées en champ de 20 ou 30 hectares au prix de l'arrachage non seulement des haies mais aussi de grands frênes. Seuls les chênes résistent quand ils sont assez vieux. Plus de brouillards nécessaires à l'humidification des sols remplacé par le brouillard des pulvérisations de pesticides pour traiter les immenses champs de maïs. Epandage par d'énormes machines de lisier de porc qui empuantit l'air dans un rayon de plusieurs kilomètres pendant plusieurs jours de suite . Ravinement des sols dont la couche arable très mince disparaît et se retrouve dans les cours d'eau qui se teintent de rouge à la moindre pluie importante.Arrachage des plantations de pommiers. Disparition des vaches parhenaises dont la race avait été récemment sauvée laborieusement. Les nuits chaudes de l'été ne résonnent plus du chant des grenouilles. J'arrête là ma litanie.la Gâtine se meurt La Gâtine est morte avec son économie, sa culture, sa mémoire. La désertification est en marche au propre comme au figuré.

Yvonne leroux
Le 11/08/2015 à 11:16:19

En parcourant le Gers j'ai pu voir des maïs qui n'avaient pas soufferts de la sécheresse, probablement dû aux petites retenues d'eau naturelle ancestrales utilisées et aux larges fossés et petits cours d'eau régulièrement nettoyés qui les alimentent; Souvent les solutions sont dans des pratiques utilisées par les anciens agriculteurs et visiblement leurs enfants et petits-enfants qui les mettent en pratiques vivent bien de leurs productions ...! :diversification des cultures avec rotations des cultures sur les parcelles, mise au repos de la terre en prairie ect...

La question se pose aussi du rôle et de la pertinence des conseils des Chambres d'Agriculture ! point que l'on ne voit pas généralement mis en cause dans les diverses prises de position contre une agriculture dite moderne, intensive, à court terme et aveugle .

Marie-Anna BLANQUIER
Le 11/08/2015 à 09:08:43

Bonjour,
Le Gers est un bon exemple de retenues d'eau naturelle qui existent depuis des lustres et utilisées par des générations d'agriculteurs , de petites dimensions, le plus souvent bordées de petits bois, alimentées par de petits ruisseaux et fossés régulièrement nettoyés par les agriculteurs et propriétaires des terrains;

Autre point vu dans le Gers: la culture tournante de céréales et périodes de repos sur les parcelles de manière à préserver les qualités nutritives et hydriques des terrains.

Marie-Noëlle BLANQUIER
Le 11/08/2015 à 08:49:53

Jadis, il existait dans le sud-ouest des variétés de maïs résistantes à la sécheresse mais qui ne sont pas inscrites au catalogue !

françoise Paran
Le 11/08/2015 à 06:54:29

En même temps, faut pas trop flipper.
On ne va pas re-modeler le paysage comme ça !

pierre-gilles lubet
Le 10/08/2015 à 23:30:04

Bonsoir,
Autrefois, les prairies servaient de réserves naturelles autant pour la biodiversité et de nourriture pour le bétail. Les ruisseaux ne contiennent plus de poissons ni de vie normale due à la raréfaction de l'eau. Les arbres avec leurs racines servent de conduites d'eau dans le sous sol.

MADELEINE BRAUD
Le 10/08/2015 à 22:45:39

Cent pour cent d'accord avec vous!

Dominique Tinel
Le 10/08/2015 à 20:53:01

Mon frère aîné,expert-géomètre en Bretagne a passé (tte sa carrière ) à faire du remembrement. Notre père,petit fermier doit se retourner dans sa tombe.

un anonyme
Le 10/08/2015 à 19:07:33

Il faut commencer par interdire la culture -intensive de surcroît- du maïs là où il faut l'arroser...jusqu'à fin octobre bien souvent.
le blé, lui, se récolte le 14 juillet sans arrosage!
En plus, arroser en plein soleil provoque l'évaporation de la moitié de l'eau pompée dans la nappe! Inadmissible.
Faire des retenues d'eau artificielles en massacrant le milieu comme à Sivens pour permettre la culture du maïs est une aberration punissable.Surtout s'il est vrai que cela ne profiterait qu'à 8 agriculteurs comme je l'ai entendu.

Humus
Le 10/08/2015 à 19:07:18

la majorité des agriculteurs, sont majoritairement des ignares qui gobent tout ce que les encemanciers et vendeurs de produits leur disent sans réfléchir qu'ils detruisent; leur outil de travail ' la terre" ,QUI REFUSENT DE VOIR que bon nombre de leurs CANCERS et autres maladies sont le résultats des traitements qu'ils épandent,et qui de plus tient tuent les abeillesnecessaires à la pollenisarion... Il faut appliquer des LOIT intransigeantes pour sauvers leurs vies et nos vies !!

un anonyme
Le 10/08/2015 à 19:05:55

Bravo. Continuons à agir différemment ...Je veux être optimiste avec Mr POCHON.

Monique MERIC
Le 10/08/2015 à 17:30:06

Il serait temps de relancer un débat sur une réforme agraire, en partant du principe que les ressources en terres et en eau sont un bien commun et que leur usage, sous quelque forme juridique que ce soit, doit respecter des règles établies collectivement aux niveaux appropriés de la gestion des territoires ...

Guillaume LEGRAND
Le 10/08/2015 à 17:14:39

Je me souviens tres bien pour y avoir participé qu'autour des années 1965-1970 le Ministère de l'Agriculture mettait en avant le Remembrement. .Les
petites parcelles étaient rassemblées pour en faire des grandes en détruisant les haies,coupant les arbres ,créant de nouveaux chemins, bien sur plus facile a travailler avec les tracteurs etc.
Le résultat maintenant : érosion
plus rien pour retenir la terre arable et répartir l'eau pour qu'elle s'infiltre, nous en voyons le triste résultat, et qui a payé !

Robert Bettendroffer
Le 10/08/2015 à 17:12:29

Je m'associe entièrement aux arguments développés dans la lettre de "cyberaction"... Nous ne retourneront pas forcément à une situation "idyllique" mais nous aurons fait un grand progrès.

Myosotis
Le 10/08/2015 à 13:43:00

j'insiste sur le fait que je ne comprend pas l'implantation, dans ma région, de champs de maïs, grands consommateurs d'eau (qui plus est.. en pleine chaleur et en plein jour)..... il y a assez d'autres produits.. utiles... qui sont très peu consommateurs d'eau....

anne soulairol
Le 10/08/2015 à 13:08:38

Gardons l'espoir pour que naisse une nouvelle agriculture respectueuse des hommes de la nature.

anouk broustal
Le 10/08/2015 à 12:41:17

Il serait tant de gérer l'eau correctement.

ERIC ANDRE
Le 10/08/2015 à 12:18:17

Il serait également bon d'interdire les arrosages aux heures les plus chaudes de la journée avec débordement sur les routes et les chemins.

Jean-Jacques RISS
Le 10/08/2015 à 12:16:41

Très bien cette action. Voici un lien d’une conférence récente de Konrad Schreiber, que tu connais peut-être, et dans laquelle il explique très bien la fertilisation des sols et le non travail qui permettent aux sols de se régénérer et devenir des facteurs de stockage naturel de l’eau. Konrad Schrieber collabore avec l’agence de l’eau Adour Garonne, l’AFAF (Association Française d’Agroforesterie) et les structures d’accompagnement à la plantation de haies, dont Arbres et Paysages en Gironde que j’ai créée en 1994.
https://www.youtube.com/watch?v=7Iyf-v6Q1H4  
Cordialement.
Jean-Pierre.

Jean Pierre G
Le 10/08/2015 à 11:42:02

De nombreux étangs ont été asséchés au siècle dernier (la France à perdu plus de la moitié de ses zones humides en 100 ans) pour être cultivé. Il serait peut être temps d'envisager leur remise en eau.

Etienne CLEMENT
Le 10/08/2015 à 10:56:38

Pleinement d'accord avec cette approche.
A quand une réflexion sereine sur ce qui marche (a marché) et sur ce qui détruit l'Homme et son environnement au sens large en espérant que l'intelligence et le bon sens prendront le dessus sur la cupidité et l'industrialisation de l'agriculture ?

Héliane Robert-Rompillon
Le 10/08/2015 à 10:20:37

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