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Bilan de la cyberaction : L’Etat doit soutenir le Forum alternatif mondial de l’eau prévu à Marseille en mars 2012

Les pouvoirs publics vont verser des dizaines de millions d’EUROS pour le prochain forum mondial de l’eau qui aura lieu à Marseille en mars 2012, sous la houlette de VEOLIA et de SUEZ qui veulent marchandiser l’eau partout dans le monde. Mais aucun financement n’est prévu pour le Forum alternatif organisé par le mouvement social et citoyen qui fait avancer le droit à l’eau pour tous !

Bilan de la cyberaction :

6603 participants

Présentation de la cyberaction :

Le prochain Forum mondial de l’eau (FME), après celui d’Istanbul il y a deux ans, aura lieu à Marseille en mars 2012. Plus de 20 000 personnes de 150 pays son attendues à cette initiative du Conseil Mondial de l’Eau dont le siège est à Marseille et qui regroupe multinationales et Etats les plus puissants. Les principaux responsables de son organisation illustrent d’une façon caricaturale cette collusion : il s’agit d’un côté de M. Flajolet, spécialiste de l’eau à l’UMP, qui a été nommé commissaire politique de l’événement par la Ministre de l’Ecologie tandis que M. Loïc Fauchon, PDG de la Société des Eaux de Marseille (filiale de VEOLIA) préside le Conseil mondial de l’eau !

Ce dispositif extrêmement verrouillé ne laisse pas de place aux préoccupations de la société civile. C’est ce qui a conduit de nombreuses organisations en France et dans le monde à prendre l’initiative d’un Forum alternatif mondial de l’eau (FAME) qui aura lieu aussi à Marseille du 10 au 18 mars 2012.

Sur le fond, l’échec des solutions promues par le Forum mondial de l’eau est patent partout, aussi bien en France que dans le monde. Le précédent FME a manqué l’occasion historique de se prononcer et d’agir en faveur du droit humain à l’eau, reconnu depuis par l’Assemblée générale des Nations Unies. Et le prochain FME promet de ne pas faire mieux ! Pour M. Flajolet, les pays qui comptent, ce sont ceux qui considèrent l’eau sous un statut économique. La guerre économique, voilà tout ce que M. Flajolet comprend de l’accès à l’eau et à l’assainissement dans le monde !

Pour la société civile qui s’est mobilisée pour la reconnaissance de l’eau comme un droit humain, il y a donc un fort enjeu et une forte légitimité à rechercher des solutions alternatives concrètes, à proposer pour cela un cadre de réflexion et d’élaboration pour que celles-ci émergent ou soient confortées lorsqu’elles ont déjà été expérimentées. Lorsque les peuples sont consultés, comme ce fut le cas récemment en Italie, ils se prononcent toujours en faveur du bien commun et du droit humain et non pas pour les solutions marchandes mises en avant par le CME. Ce sont des chemins qu’il convient de favoriser par l’émergence d’une parole qui ne sera pas contrainte dans un cadre officiel et plus ou moins cadenassé.
En tant qu’associations, syndicats, citoyens (et contribuables !) nous demandons un soutien financier pour le FAME. Cette demande ne s’adresse ni au Comité d’un Forum dont nous contestons la légitimité, ni à la Fondation VEOLIA, mais bien aux pouvoirs publics de notre pays, et en particulier à Mme la Ministre de l’Ecologie, du développement durable, des transports et du logement. En d’autres temps, le Président Chirac avait su prendre ses responsabilités républicaines en apportant le soutien de l’Etat à des initiatives du même genre. Nous estimons avoir droit au financement public pour l'organisation de ce Forum alternatif, d'autant que le forum officiel bénéficie très largement de celui-ci (près de 40 millions d’euros au total). Il y a un minimum d'équité à respecter.

La lettre qui a été envoyée :


A l’attention de Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie et du Développement durable

En tant qu’associations, syndicats, citoyens (et contribuables !) nous vous demandons un soutien financier
pour le Forum alternatif mondial de l’eau (FAME) qui aura lieu à Marseille du 10 au 18 mars 2012.
Ce forum est celui de la société civile qui s’est fortement mobilisée ces dernières années pour la
reconnaissance du droit à l’eau et qui a obtenu gain de cause à l’ONU. Ce forum est celui des alternatives
publiques, sociales, écologiques et citoyennes pour faire de l’eau un bien commun pour l’humanité et la
vie.
Nous ne comprendrions pas que l’Etat français soutienne exclusivement le Forum mondial des marchands
d’eau dont les « solutions » ont échoué partout dans le monde. C’est une simple question d’équité et de
démocratie.

 

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10 commentaires

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Madame NON

Le ministère de l’écologie regrette l’organisation du Forum alternatif, c’est la curieuse conception qu'a Mme Kosciusko-Morizet du dialogue avec les associations.

Répondant à une question orale de la sénatrice Laurence Cohen sur l’absence de financement du Forum alternatif mondial de l’eau (FAME) par le ministère de l’écologie, le secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’écologie a déclaré « regretter l'organisation de forums « alternatifs », qui ne pourront pas créer les conditions d'un véritable débat au sein du Forum mondial de l'eau. » et confirmé que « le ministère ne soutiendra pas le forum alternatif
» !

Dans un monde idéal, il n’y aurait pas besoin de forum alternatif. Le forum mondial de l’eau serait organisé par l’ONU et permettrait le dialogue entre les Etats, les parlementaires, les élus locaux, les gestionnaires publics de l’eau et la société civile. Les multinationales attendraient à la porte les déclarations du Forum.

Malheureusement nous ne sommes pas dans un monde idéal et le Forum mondial de l’eau, tel qu’il est aujourd’hui, est le jouet de puissants intérêts privés et non l’expression de l’intérêt général.

Pour « créer les conditions d’un véritable débat au sein du Forum mondial de l’eau », il faut le réformer radicalement ! C’est de la responsabilité des pouvoirs publics, notamment français. Mais évidemment, il est sans doute plus facile de ne rien faire et de s’en prendre au Forum alternatif !

Contrairement à ce que dit le secrétaire d’Etat, le Forum mondial de l’eau n’est pour rien dans la reconnaissance du droit à l’eau par l’ONU. A Istanbul en 2009, le dernier Forum mondial de l’eau a refusé cette reconnaissance qui a fait l’objet d’une déclaration, en dehors du Forum, par une vingtaine de pays. Maintenant est posée la question de reconnaître le droit à l’eau dans la déclaration ministérielle de Marseille et, paraît-il, ce n’est pas gagné
! C’est dire à quel point, le Forum mondial de l’eau est à la traîne et constitue un frein et non pas un moteur dans l’action politique en faveur de l’eau et de l’assainissement au niveau international.

Ses « solutions » sont toujours commerciales et sont battues en brèche partout dans le monde car elles ne répondent pas aux défis de l’accès à l’eau et à l’assainissement pour l’humanité, de la préservation de la ressource pour la vie.

Ce sont toutes ces raisons qui rendent plus nécessaires que jamais la tenue d’un Forum alternatif. En regretter la tenue ne témoigne pas d’un bien grand respect des associations et des citoyens. Mais surtout, c’est se voiler la face devant l’échec du Forum mondial de l’eau et ne pas prendre ses responsabilités face à la crise mondiale de l’eau.

Jean-Claude Oliva

Coordination EAU Île-de-France

Montreuil, le 8 février 2011

NB: ci-dessous le compte-rendu intégral de l'échange avec le secrétaire d'Etat

Financement du forum mondial de l'eau et du forum alternatif mondial de l'eau 2012

M. le président.
La parole est à Mme Laurence Cohen, auteur de la question n° 1532, adressée à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et
du logement.

Mme Laurence Cohen.
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, le Forum mondial de l'eau se réunit tous les trois ans. Comme vous le savez, le prochain se tiendra à Marseille en mars 2012.

Ce forum mondial n'est pas une émanation de l'ONU. C'est un organisme privé, lieu d'affaires privilégié pour les grandes multinationales de l'eau.

Il bénéficie de toutes les attentions des pouvoirs publics, et notamment de moyens financiers conséquents. Son budget s'élève à plus de 30 millions d'euros,
provenant en partie de différents ministères, des agences de l'eau, mais aussi de la ville de Marseille, qui contribue à hauteur de 5 millions d'euros.

Le député André Flajolet, président du Comité national de l'eau, ou CNE, a même été désigné commissaire de cet événement, preuve de l'attention toute particulière
que lui porte le Gouvernement.

De son côté, le forum alternatif, réunissant des instances et des mouvements du monde entier, est né du constat de l'insuffisance des réponses apportées par le forum « officiel » et de la volonté de prendre la mesure du 1,1 milliard de personnes qui n'ont pas accès à l'eau, ainsi que des plus de 15 millions de celles et ceux qui meurent par manque d'eau ou des suites de maladies liées à la consommation d'eau insalubre.

Les politiques actuelles, menées en lien avec le Conseil mondial de l'eau et le Global Water Partnership, institutions internationales privées, sous l'impulsion
de la Banque mondiale et des multinationales de l'eau, dominent le marché et considèrent l'eau comme de l'or bleu. Elles sont bien loin des préoccupations
et des besoins des populations pauvres de la planète.

Il y a donc urgence à sortir l'eau de la sphère de la marchandisation et à en faire l'objet d'une réappropriation citoyenne, parce qu'elle représente un droit essentiel à la vie. L'eau, bien commun de l'humanité, doit devenir un droit universel, fondamental et inaliénable, tant elle est au cœur des défis sociétaux, environnementaux, économiques et humains des prochaines décennies. C'était le sens de la proposition de loi que le groupe CRC avait déposée en 2009, tendant à une véritable mise en œuvre du droit à l'eau.

Plusieurs milliers de participants, venus des cinq continents, se rassembleront autour du Forum alternatif mondial de l'eau pour, notamment, porter ce message.
Et pourtant, jusqu'à aujourd'hui, malgré des paroles encourageantes – M. Flajolet s'est ainsi engagé à se rendre sur place, ce qui est une très bonne nouvelle car cela contribuera à créer des passerelles d'échanges entre les deux forums –, le forum alternatif ne bénéficie toujours d'aucune subvention ministérielle.

C'est pourquoi je souhaite connaître, monsieur le secrétaire d'État, quel soutien financier le ministère de l'écologie, du développement durable, des transports
et du logement compte apporter à l'organisation et au bon déroulement de ce forum alternatif, pour assurer une utilisation équitable des financements publics.

M. le président.
La parole est à M. le secrétaire d'État.

M. Benoist Apparu, secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement. Madame la sénatrice Laurence Cohen, comme vous l'avez rappelé, le Forum mondial de l'eau se déroulera à Marseille du 12 au 17 mars 2012.

Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement attache évidemment une grande importance à cette manifestation. En effet, comme vous venez de le souligner, l'eau est un bien public fondamental, et l'accès à l'eau potable et à l'assainissement est un enjeu vital pour plusieurs milliards d'humains.

Les précédents forums, qui se sont tenus à Marrakech, à La Haye, à Kyoto, à Mexico puis à Istanbul, ont permis de faire progresser la cause de l'eau. Dans la dynamique ainsi créée, l'assemblée générale des Nations unies a adopté le 28 juillet 2010 une résolution qui reconnaît le « droit à une eau potable, salubre et propre comme un droit fondamental, essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l'homme ».

Ces progrès prouvent que, contrairement à ce que vous affirmez, le Forum mondial de l'eau n'est pas le « lieu d'affaires privilégié des grandes multinationales». Au contraire, il permet de faire dialoguer toutes les parties prenantes : États, collectivités locales, entreprises de tous les secteurs concernés, salariés, organisations non gouvernementales, ou ONG, et citoyens.

Nous souhaitons tout comme vous que le sixième forum mondial de l'eau soit un moment important de rencontres, de débats et d'élaboration de propositions, grâce à la participation de tous les acteurs concernés. À cet égard, nous ne pouvons que regretter l'organisation de forums « alternatifs », qui ne pourront pas créer les conditions d'un véritable débat au sein du Forum mondial de l'eau.

Pour autant, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui est attachée au processus participatif, a demandé que toutes les mesures soient prises pour organiser des passerelles
entre le Forum et le forum alternatif. Des moments d'échanges particuliers seront organisés et largement diffusés sur les sujets non consensuels, comme ce que vous appelez « la marchandisation de l'eau et la réappropriation citoyenne ».

Dans le même esprit, le comité national français d'organisation du Forum prendra pour partie en charge les frais de participation, par exemple le transport
et le logement, de représentants d'ONG des pays en développement, afin d'assurer une large participation d'acteurs venus des cinq continents.

Pour toutes ces raisons, le ministère ne soutiendra pas financièrement le forum alternatif, mais aidera toutes les parties prenantes à apporter leurs contributions et leurs solutions. Cela passe jusqu'au Forum par l'inscription sur la plateforme collaborative mise en place sur Internet des solutions portées par les acteurs : déjà plus de 1 000 propositions y ont été inscrites. Cela passe bien évidemment par la participation de tous, y compris la vôtre, au Forum à Marseille du 12 au 17 mars, afin d'en faire véritablement le forum des solutions et des engagements.

M. le président.
La parole est à Mme Laurence Cohen.

Mme Laurence Cohen.
Monsieur le secrétaire d'État, à l'écoute du début de votre intervention, j'ai cru que nous partagions les mêmes aspirations et que nous étions enfin d'accord, s'agissant de l'eau.

M. Benoist Apparu, secrétaire d'État. Mais vous avez été déçue ensuite ?

Mme Laurence Cohen.
En effet ! J'avais eu l'impression que le Gouvernement prenait conscience de la marchandisation effrénée dont l'eau fait aujourd'hui l'objet, mais je me
suis rendu compte que ce n'était pas possible et que je rêvais…

Je le regrette d'autant plus que, dans la première partie de votre réponse, vous repreniez les préoccupations que j'avais évoquées.

M. Benoist Apparu, secrétaire d'État. Nous les partageons !

Mme Laurence Cohen.
Vous savez bien qu'il sera très difficile, en l'absence de soutien financier, d'organiser le forum alternatif dans de bonnes conditions et d'en faire un véritable cadre d'échanges dans lequel chacun pourra s'exprimer

Encore une fois, il est nécessaire de montrer qu'une prise de conscience, même tardive, a bien eu lieu, en donnant des moyens au forum alternatif.

J'espère que vous interviendrez en ce sens, monsieur le secrétaire d'État ; les actrices et les acteurs du forum y seraient très sensibles. Vous le savez, on juge les responsables politiques à leurs actes, et non à leurs paroles. Et, pour l'instant, les actes ne suivent pas vos paroles.

Jean Claude Bristica
Le 09/02/2012 à 08:49:28

Les plus favorisés des hôtes de la planète boivent la même eau que celle que buvaient les dinosaures. Elle ne se perd ni ne se crée et fait partie du patrimoine collectif de l'humanité.Il n'y a pas de vie sans eau. Faire payer cette denrée vitale est tout aussi injuste que si on voulait faire payer l'air qu'on respire.En de nombreux endroits, Véolia annexe l'eau et les travaux de captages et d'acheminement que nos aînés ont réalisés pour le bien des collectivités. De plus la politique de gestion de l'eau entraine des gaspillages irraisonnés. Une gestion véritablement écologique et globale de l'eau permettrait d'en donner aux plus démunis. Faut-il rappeler qu'une part importante de la population mondiale n'a pas accès à l'eau potable?

Cancel
Le 31/12/2011 à 06:20:15

Je tiens à partager avec vous le "petit" rajout que je me suis permis lors de l'envoi de l'e-mail pour la pétition...
Nous ne comprendrions pas que l’Etat français soutienne exclusivement le Forum mondial des marchands d’eau dont les « solutions » ont échoué partout dans le monde. C’est une simple question d’équité et de démocratie (j'espère que vous vous rappellez encore de la définition du mot démocratie !).

Je souhaiterais vous rappeller que l'économie doit être au service de l'Homme... et voici l'étymologie du mot "ministre", du latin minister, dérivé de minus (inférieur) : être au service de... ; non pas se servir et être servi !
Il est lamentable de constater que les "corporations" achètent la conscience de nos gouvernements sans rencontrer d'opposition et que ces derniers laissent agir à leur guise ces "personnes morales" qui ne connaissent pas le mot responsabilité et que ne prennent leurs décisions qu'en fonction des intérêts financiers des actionnaires.

Je souhaite vivement que vous ne fassiez pas partie de ce lot d'égoistes que sont la plupart de nos hommes politiques et je vous prie de croire, madame le Ministre, à l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

Sylvain
Le 31/12/2011 à 01:17:16

défendez la nappe phréatique rhénane
pétition en cours chez Cyber@cteur
renseignements :  www.destocamine.fr.  

nappe phréatique en danger
Le 21/11/2011 à 20:56:09

L'eau n'est pas une marchandise, sa gestion ne peut donc pas être entre des "mains privées"

un anonyme
Le 12/10/2011 à 21:37:48

merde au polueur profiteur!

bouillot
Le 16/09/2011 à 16:35:41

Ce qui est affligeant au possible,c'est de voir des multinationales de l'Eau s'emparer de la gestion de l'eau dans des communautés urbaines avec un seul souci:faire des bénéfices avant tout!A LYON,à l'époque où Raymond BARRE fut élu Maire et Président de la COURLY, son 1er engagement fut de "casser" le contrat avec la Générale des Eaux...avant de reprendre la concession du tunnel routier TEO...Alors qu'à NANCY,jamais au grand jamais la Communau
té Urbaine ne laissa les "clés" de la gestion de l'eau potable à une multinationale:la distibution de l'eau reste publique,alors que seu
le la recherche de la qualité de l'eau est privée;c'est donc un contrat sous PPP.

Alors que certaines multinationales américaines s'arrogent tout autant le captage de l'eau en nappes ou en surface;et les populations au tochtones d'Amérique du Sud ne peuvent plus s'approvisionner dans les cours d'eau ou les chutes,les sources...Elles ont réussi à "embringuer" les élus dans des contrats d'affermage que seule une révolution pourrait casser et rendre l'eau accessible aux populations à des tarifs et des conditions très abordables.Ainsi,certains pays ne sont plus propriétaires des eaux que les populations prélèvent pour
leurs besoins courants et quotidiens;et dont les tarifs sont devenus si prohibitifs...Au
cas où ces populations passent outre, elles se retrouvent face aux forces de police et font l'objet d'une répression vigoureuse...

Il est donc plus que temps de montrer leurs limites à ces multinationales de l'Eau et de les mettre en situation de se mettre avant tout au service des populations avant même de penser à faire des bénéfices!!!

stoppeur
Le 13/09/2011 à 17:26:10

Plus il y aura de "gestionnaires de l'eau" répondant à des logiques commerciales,moins il n'y aura d'eau !
http://www.trazibule.fr/eau-douce.php  

Trazibule
Le 13/09/2011 à 13:50:12

Après bien des exemples clairs et frappants, on peut constater que l'État français (et d'autres très probablement) se moque éperdument du bien-être humain.
Je propose (comme de plus en plus de personnes d'ailleurs) de se détacher de ce gouvernement en créant des systèmes fonctionnements plus locaux pour commencer, tout en gardant internet comme moyen de communication privilégié. Vivre à côté de l'État, du gouvernement, retrouver ce qui nous tient à cœur dans l'entraide et le partage, tenter de se servir de ce qui existe déjà, non pas pour s'aliéner au système capitaliste mondial mais bien pour en devenir indépendants. Si un grand nombre de tous les corps de métiers suivent cette idée, il y a une chance je crois.
Le principe est bien plus complexe que mes quelques lignes mais c'était pour exposer un point de vue en peu de mots. J'espère ne pas être seul à penser ainsi l'avenir.
En tous les cas je suis plus que prêt pour agir et débattre, discuter et proposer.

Mouarf
Le 13/09/2011 à 12:47:43

Si les pouvoirs publics veulent financer le Forum Marchand (FME), ce qui n'est déjà pas correcte, donc avec l'argent des contribuables, alors le Forum alternatif (FAME) mérite au moins d'être financé par le prélèvement d'une taxe de 10% sur le financement du FME ! C'est la moindre des choses.
Mais le plus juste serait certainement de ne pas financer le FME (recul peut-être impossoble, ...quoique formellement plus légal que de poursuivre ce financement public d'une organisation commerciale privée !!) pour ne financer que le Forum citoyen FAME avec de l'argent citoyen prélevé par l'impöt.

Marc Gilson
Le 13/09/2011 à 12:19:54

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