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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Indemnisez les victimes du Rana Plaza au Bangladesh

Mise en ligne du 27/05/2013 au 29/06/2015

Plus de 1100 personnes sont mortes dans l'effondrement de l'immeuble de confection Rana Plaza au Bangladesh le 24 avril dernier. Dans ce bâtiment insalubre, les sous-traitants de grandes multinationales produisaient des vêtements dans des conditions inhumaines.

Bilan de la cyberaction :

4845 participants

Victoire: les victimes du Rana Plaza vont enfin pouvoir être indemnisées!

En avril 2013, 1138 personnes ont perdu la vie dans l’effondrement du «Rana Plaza», un bâtiment de neuf étages abritant plusieurs ateliers textiles au Bangladesh. Après plus de deux ans d'engagement, la Campagne Clean Clothes (CCC), coordonnée en Suisse par la DB, remporte un succès important: les survivants et les familles des victimes pourront enfin toucher des dédommagements justes et suffisants!

Pour la première fois, un accord visant l’indemnisation de toutes les victimes d’un accident industriel a abouti. Il y a 15 jours, un don anonyme est venu compléter le fonds d'indemnisation pour les victimes. Un jalon historique, rendu possible par la mobilisation du réseau international de la CCC.
La plus grande tragédie jamais survenue dans l’industrie textile
24 avril 2013. A leur arrivée devant le bâtiment du Rana Plaza, les ouvriers et ouvrières refusent d’entrer dans le bâtiment. La veille, des fissures sont apparues sur les murs. La direction brandit ses menaces: retenues sur les salaires, licenciements. Une heure plus tard, le bâtiment s'effondre en deux minutes. Bilan du drame: 1138 morts et plus de 2000 blessés.


Les grands noms de la mode impliqués
Suite au drame, le monde ouvre les yeux sur les conditions de travail désastreuses dans l’industrie textile. Les ONG et les médias révèlent les noms des grandes marques qui faisaient produire au Rana Plaza. Plusieurs confirment. Mais ce n'est que sous la forte pression publique qu'ils daigneront participer au fonds d’indemnisation pour les victimes.

Un drame symptomatique des problèmes qui gangrènent l'industrie textile
L'effondrement du Rana Plaza n'est qu’un chapitre d'une chronique de catastrophes prévisibles. Si certaines améliorations ont pu être constatées depuis au Bangladesh, les défis à relever restent de taille. Dans l'industrie des vêtements et de la chaussure, les conditions de travail et de sécurité affligeantes sont une réalité partout dans le monde.

Par son travail d’enquête et de campagne, la DB s’engage pour l’amélioration des conditions de travail dans l’industrie textile. En faisant un don, vous nous donnez les moyens de renforcer notre action pour un monde plus juste. Votre soutien, c'est notre force!

Pour la Déclaration de Berne,
Floriane Fischer

Présentation de la cyberaction :

Face à ce drame, la mobilisation des citoyen-ne-s a permis d'obtenir des avancées: 38 grandes marques ont signé un accord pour améliorer la sécurité des bâtiments, et d'autres ont accepté d'indemniser les victimes. Mais les marques françaises Camaïeu et Auchan restent silencieuses et refusent de participer à l'indemnisation, alors que des vêtements à leurs marques ont été retrouvés dans les décombres.

L'association Peuples Solidaires, qui depuis des années appelle ces marques à faire face à leurs responsabilités vis-à-vis de leurs sous-traitants, a donc lancé une pétition demandant à Auchan et Camaïeu d'indemniser au plus vite les victimes.

Nous avons décidé de transformer cette pétition en cyber @ction pour vous permettre d'interpeller directement les responsables de ces entreprises.

Merci de votre participation à cette action

Alain Uguen Association Cyber@cteurs

L'adresse du PDG d'Auchan qui fonctionnait quand je l'ai testée ne fonctionnant plis, je l'ai changé pour celle de la fondation.

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur

Les conditions dans lesquelles vous faites confectionner vos vêtements au Bangladesh sont indécentes. Voilà près de dix ans que le Collectif Ethique sur l’étiquette, Peuples Solidaires et leurs partenaires vous exhortent à prendre des mesures concrètes pour mettre fin à cette situation inacceptable.

Je vous demande :
- de prendre toutes les mesures nécessaires pour atténuer la souffrance des victimes et de contribuer sans délai à un fonds d'indemnisation des victimes et de leurs familles ;
- de signer et mettre en œuvre au plus vite l’Accord sur la sécurité des bâtiments et la prévention des incendies au Bangladesh élaboré par les organisations syndicales locales et internationales afin de prévenir de nouveaux drames.
Les effondrements d’usines et incendies ont déjà fait trop de victimes dans vos filières
d’approvisionnement - plus de 2 000 morts depuis 2005 - et je serai attentif-ve aux mesures que vous prendrez dans les prochaines semaines.

Recevez l'expression de ma vigilance citoyenne sur vos décisions.

 

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67 commentaires

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Le 24 avril 2013, le Rana Plaza, un immeuble abritant 6 usines de confection de vêtements, s’effondre au Bangladesh, tuant plus de 1 130 personnes, pour la plupart des travailleuses, et en blessant plus de 2 000.

Une catastrophe qui fut un catalyseur pour une partie des décideuses et décideurs politiques, peu à l’écoute des associations de défense des droits humains comme Sherpa. Notre objectif : un cadre juridique plus contraignant pour les multinationales.

Trois ans après, grâce en grande partie au travail de Sherpa, la France adopte une loi pionnière : la loi sur le devoir de vigilance. Une première mondiale dans la lutte contre l’impunité des multinationales et pour l’accès à la justice pour les communautés affectées par les atteintes aux droits humains et à l'environnement.

Cela n'aurait jamais été possible sans les donateurs et donatrices de Sherpa. Pour continuer notre travail : nous avons besoin de vous !

Je soutiens financièrement Sherpa
https://www.helloasso.com/associations/sherpa/formulaires/1  

Nouvel outil juridique, cette loi est au cœur du travail mené par Sherpa pour renforcer la responsabilité juridique des acteurs économiques via des actions alliant l’innovation juridique, le contentieux stratégique et le plaidoyer.

Mais le combat continue. Aujourd'hui, le devoir de vigilance est en passe de devenir européen grâce à la mobilisation de la société civile. Pour Sherpa, il faut tirer les leçons de la loi française pour que celle-ci devienne un véritable outil en faveur de la justice sociale et environnementale.

Quel que soit son montant, en nous adressant dès aujourd'hui votre soutien, vous apportez une contribution essentielle à notre combat. Ensemble, construisons un futur plus juste !


Sherpa est indépendante de tout pouvoir politique et économique. Nous soutenir, c’est garantir notre indépendance et notre liberté d’action !

D’avance, un grand merci,

Sandra Cossart, directrice de Sherpa

SHERPA
Le 24/04/2023 à 10:59:52

J'adhère totalement à ce commentaire : "il faut boycotter toutes ces entreprises............on peut reprendre l'idée que clamait Coluche : ...si on ne va plus dans ces magasins, les responsables devront réfléchir???!!!"
on peut vivre sans eux, c'est une honte que tous ces gros qui s'en foutent plein les poches, n'indemnisent pas les peuples dans la précarité et dans la peine............

Marie ISAIA
Le 14/04/2020 à 17:15:23

Le drame de Rana Plaza est tout simplement la conséquence de ce colonialisme moderne caché sous le nom de mondialisation. Temps qu'un minimum de règlementations et de contrôles ne seront pas mis en place dans cette "jungle mondiale", d'autres accidents du même ordre auront lieu.

Pierre Letz
Le 01/05/2015 à 09:53:53

pensez y ,quand vous faites des achats dans les grandes distributions de tous poils !

J lou
Le 28/04/2015 à 15:12:55

oui, une liste des entreprises impliquées et méprisent leurs travailleurs.
ces emplois permettent aux populations d'élever (un peu) leur niveau de vie, ce n'est pas une raison pour les exploiter de cette façon, au périls de leur vie

ddro
Le 27/04/2015 à 19:12:55

il faut boycotter toutes ces entreprises............on peut reprendre l'idée que clamait coluche : ...si on ne va plus dans ces magasins, les responsables devront réfléchir???!!!"
on peut vivre sans eux, c'est une honte que tous ces gros qui s'en foutent plein les poches, n'indemnisent pas les peuples dans la précarité et dans la peine............

bibi
Le 27/04/2015 à 13:24:07

Il est temps de mettre fin à la surexploitation de personnes qui s'apparente à de l'esclavage tout ça pour le profit de multinationales sans aucune morale

Christine van Steenberghe
Le 26/04/2015 à 16:19:42

a shame!

Romix Psycat
Le 25/04/2015 à 21:51:44

Il est possible de commettre des erreurs, même lorsqu'elles sont dramatiques. Il important de les réparer autant que cela est possible !

Mireille Laffort
Le 25/04/2015 à 11:15:02

On ne peut pas nier que ces grands patrons soient "tous pourris" ! Le cas H&M :
https://www.youtube.com/watch?v=lTy9KmBYBWs  
https://www.youtube.com/watch?v=iJQ7gzRElr8  

Chantal
Le 24/04/2015 à 21:25:48

"La véritable barrière de la production capitaliste, c'est le capital lui-même : le capital et sa mise en valeur par lui-même apparaissent comme point de départ et point final, moteur et fin de la production ; la production n'est qu'une production pour le capital et non l'inverse : les moyens de production ne sont pas de simples moyens de donner forme, en l'élargissant sans cesse, au processus de la vie au bénéfice de la société des producteurs. Les limites qui servent de cadre infranchissable à la conservation et la mise en valeur de la valeur-capital reposent sur l'expropriation et l'appauvrissement de la grande masse des producteurs ; elles entrent donc sans cesse en contradiction avec les méthodes de production que le capital doit employer nécessairement pour sa propre fin, et qui tendent à promouvoir un accroissement illimité de la production, un développement inconditionné des forces productives sociales du travail, à faire de la production une fin en soi." Karl Marx

Monot Gaston
Le 24/04/2015 à 18:58:08

Depuis la conquête de l'Amérique, il y a plus de 500 ans, le monde chrétien capitaliste occidental fait la guerre au monde entier et à ses propres peuples. Ce n'est pas 1100 morts de plus qui va l'émouvoir. Quand va-t-on enfin s'attaquer à la racine du mal, à ce système fondé sur l'exploitation de l'homme par l'homme, prêt à tous les crimes pour se pérenniser ?

Monot Gaston
Le 24/04/2015 à 18:50:14

C'est honteux d'etre si radin quand on est si riche. Payez maintenant et soulagez un peu ces pauvres gens que vous avez traites en esclaves.

Sophie
Le 24/04/2015 à 17:13:35

Tant qu'il n'y aura pas obligation d'indemniser via les tribunaux et les gouvernements, cela n'avancera pas ou peu. Il faut publier les noms des donneurs d'ordre Européens et Américains qui refusent d'indemniser les victimes et surtout, informons les futurs acheteurs de loques!

Nicole Simon
Le 24/04/2015 à 15:16:56

Auchan, Camaïeu Carrefour pour la France, eh bien nous ne ferons plus aucune course chez vous, jusqu'à ce que vous ayez indemnisé les victimes et on en parle autour de nous!

MA
Le 24/04/2015 à 13:08:52

Ils peuvent le faire, ils doivent le faire ! HONTE à eux !

Chantal
Le 24/04/2015 à 12:46:31

Carrefour, vous avez bien lu, Carrefour ???? vous avez encore envie ou besoin de fréquenter leurs magasins, vraiment ?????

Et pourquoi pas, transitionner vers l'approvisionnement en local et en équitable, et réduire les gaspillages de la sur-consommation ? Regardez bien tout ce que vous achetez chez Carrefour qui pourrait être trouvé ailleurs, des légumes frais au lieu de préparations industrielles, du fromage et de la viande dont vous connaîtrez les provenances et les conditions de production, des vêtements de friperies solidaires, des chaussures de bonne qualité qui durent 3 ou 4 ans, etc..

louise
Le 24/04/2015 à 11:15:31

une honte

bernacci
Le 24/04/2015 à 10:53:35

Pour la fin du dumping social !
Pour des droits sociaux mondiaux !

André BARNOIN
Le 24/04/2015 à 08:19:32

C'est vraiment honteux de ne pas indemniser totalement les familles des victimes.

viviane tits
Le 24/04/2015 à 07:07:03

Merci pour la liste en fin de message/ Auchan, Camaïeu Carrefour pour la France, qu'elle honte!

dany
Le 23/04/2015 à 22:54:32

Oui, diffusons encore et encore la liste des entreprises que nous fréquentons et qui puisent dans ces réseaux de confection. Merci.

lafite claude
Le 23/04/2015 à 21:26:57

Dorénavant, je pratiquerai le boycott systématique de toutes les entreprises non respectueuses des droits humains.

rock07
Le 23/04/2015 à 21:24:50

Taxer les produits en provenance des pays pratiquant l'esclavage. Un ouvrier dans l'incapacité de quitter son lieu de travail pour se loger ou restaure est un esclave.

jean pascal denis
Le 23/04/2015 à 20:42:14

NOT IN MY NAME

francoise majorel
Le 23/04/2015 à 20:40:28

Oui,une honte! Boycottons ces firmes...

Huguette
Le 23/04/2015 à 20:39:31

(Re)diffusez la liste des noms des entreprises qu'on le boycotte au plus vite

Catherine
Le 23/04/2015 à 20:29:22

c'est honteux!

chosson
Le 23/04/2015 à 20:15:33

Le boycot est la seule façon de réagir à ces
esclavagistes mondialisés , qui truquent l'origine des fabrications par des opérations autorisés en Europe . C'est donc l'Europe qui doit durcir la législation pour un étiquetage qui permette à l'acheteur d'exercer ses choix en connaissance de cause . Cette possibilité exclu ceux dont le choix est limité par le pouvoir d'achat , mais reste pénalisant par l'effet réducteur des gains espérés.

serguei44
Le 23/04/2015 à 19:38:25

il faut boycotter ces firmes, pouvez-vous nous en donner la liste.

georges glise
Le 23/04/2015 à 19:31:29

Camaïeu et Auchan, à partir de maintenant, le client que je suis va tenir compte de la suite donnée par ces marques à cette affaire et en tirer les conséquences.
Tout simplement.
GLL

Gll
Le 23/04/2015 à 19:28:40

Taxe à 50000% pour les produits en provenance des pays pratiquant l'esclavage. Un ouvrier dans l'incapacité de quitter son lieu de travail est un esclave.

Jean-Philippe Sap
Le 23/04/2015 à 18:57:15

faites attention à l'humain

stan
Le 23/04/2015 à 18:34:33

Je hais les libéraux de tous bords !

yoyopolo
Le 23/04/2015 à 18:22:37

merci de nous rappeler les entreprises qui ont indemnisé les victimes et celles qui ne l'ont pas fait encore.
Quelles sont les entreprises qui continuent à faire travailler là-bas? et les conditions de travail, sécurité, horaires, salaires, ont elles été ameliorées depuis cette catastrophe???

Alice
Le 23/04/2015 à 18:02:50

Inadmissible !

HERMET
Le 23/04/2015 à 17:25:19

il est indaddmissible de ne pas indemniser les Victimes du Rana Plaza .
Ginette MONOD

Ginette MONOD
Le 23/04/2015 à 17:17:26

Je n'acheterai plus dans les magasins qui dépandent des marques qui n'ont pas encore versé les indemnités duesaux victimes . Je manifesterai Vendredi 24 avril en souvenir de cette catastrophe

Madeleine Guyot
Le 23/04/2015 à 16:21:13

Que les casseurs payent !

FROMY
Le 23/04/2015 à 16:10:15

Il ne faut plus acheter leurs produits.

Joël
Le 23/04/2015 à 15:53:26

A bas les salopards de capitalistes qui font crever les pauvres gens en utilisant l'argent d'autres pauvres gens.
Boycott total de la consommation.

denis
Le 23/04/2015 à 15:37:10

Depuis un certain temps nous boycottons tous les habits fabriqués dans ces conditions ...

Anne Teurtroy
Le 23/04/2015 à 14:14:16

rappelez nous les noms des fautifs!

michel
Le 23/04/2015 à 14:07:38

Nous ne sommes pas des bêtes, et même des bêtes y seraient malheureuses! Comment peut-on faire subir un tel sort à nos frères & sœurs ! Honte à vous les profiteurs!
Unissons-nous pour que stoppe ce marché d'esclaves (dont nous faisons partie au bout de la chaîne)!
Commençons par n'acheter que du "Made in Europe" et consommons-moins!

Gneugneu
Le 23/04/2015 à 12:54:32

Soyez sur que nous ferons tout pour faire savoir au plus de monde possible qu'elles sont les marques dont les dirigeants se moquent des droits humains les plus élèmentaires du moment qu'on ne touche ni àleur fric ni à leur quotation en bourse !.

moréno
Le 23/04/2015 à 12:49:44

Ce refus d'assumer ses responsabilités est une honte pour l'humanité. Ces multinationales et leurs actionnaires profiteurs sont tous complices d'homicides multiples, on devrait même dire avec préméditation, personne n'ignore aujourd'hui les conditions de travail là-bas où ailleurs : esclavage moderne, exploitation de l'homme par l'homme, le plus grand prédateur sur terre.

Daniel KRIEGK
Le 23/04/2015 à 12:29:26

Les entreprises concernées devraient êre jugées pour "crime contre l'humanité" et leur marchandise frappée d'interdiction, saisie et vendue pour le seul et exclusif bénéfice d'indemnisation aux victimes.

MILLET Elisabeth
Le 23/04/2015 à 11:38:02

Même la mort des ouvriers surexploités de cette ridicule et criminelle industrie ne leur suffit pas. Quand s'éveillera la conscience solidaire de tous? Qui a besoin de tant de sapes qu'il faille passer sa vie à en acheter? Les centres de nos villes ne proposent plus autre chose: des sapes et des téléphones. Envers et contre toute logique, envers et contre toute solidarité, en dépit de tous les monstrueux inconvénients que cela engendre, morts inclus. Il faut réapprendre à vivre de façon civilisée, ce qui est sauvage, c'est de passer outre les conditions de production des choses pour les acquérir. Il y a toute une éducation à faire des jeunes, mais elle est soigneusement évitée. Le boycott est peut-être efficace, il avait fait avancer les choses lors de la grève des ouvriers agricoles en Californie au début des années 70. Mais il faut le faire en faisant du bruit, se contenter de le faire individuellement ne mène à rien. Le gros problème c'est que la solidarité est devenue, comme le reste, individuelle et individualiste... il faut réinventer des solidarités sous de nouvelles formes, car les vieilles sont passées, et les actuelles ne sont pas efficaces.

omsb
Le 23/04/2015 à 11:24:42

Odile Herrenschmidt: je n'ai pas le problème avec firefox. C'est peut-être dû au navigateur que vous utilisez

Paco
Le 23/04/2015 à 11:17:18

COMMUNIQUE DE PRESSE de la Déclaration de Berne (DB)

Lausanne, le 22 avril 2015

RANA PLAZA : les entreprises mettent en danger le fonds d’indemnisation

Deux ans après l’effondrement du Rana Plaza, au Bangladesh, les géants de l’industrie textile continuent de priver les survivants et les familles des victimes d’une indemnisation suffisante. Il manque encore 6 millions de dollars au fonds d’indemnisation piloté par l’OIT. Cette attitude irresponsable renforce les souffrances des personnes touchées par ce drame et compromet la mise en place d’un système d’assurance sociale pour couvrir les accidents du travail.

Le 24 avril aura lieu la deuxième commémoration de l’effondrement du Rana Plaza, la pire tragédie dans l’histoire de l’industrie textile. Depuis la signature de l’Accord sur la sécurité des bâtiments et la protection contre les incendies au Bangladesh, en réaction à ce drame, on observe de nombreux développements en matière de sécurité des bâtiments dans ce pays. A ce jour, plus de 1250 usines ont été inspectées par des ingénieurs indépendants, et quelque 950 plans de correction ont pu être établis. Leur mise en œuvre est en cours. Ces mesures permettent une amélioration durable de la sécurité dans les usines textiles au Bangladesh.

Au niveau des dédommagements, les avancées sont loin d’être aussi réjouissantes. Deux ans après la tragédie, les survivants et les familles des personnes décédées attendent toujours une indemnisation complète. Dans de nombreux cas, la contribution faite par les marques au fonds d’indemnisation est beaucoup trop faible. D’autres firmes, comme Mango ou Inditex (Zara), n’ont pas communiqué les montants versés, ce qui laisse penser que ceux-ci sont largement insuffisants. Le géant de la mode italienne Benetton a quant à lui attendu près de deux ans pour réagir. Sous la pression massive de l’opinion publique, il a finalement annoncé la semaine dernière le versement de 1,1 million de dollars, bien loin des 5 millions demandés par la Campagne Clean Clothes et par plus d’un million de personnes via une pétition en ligne.

L’attitude de Benetton & cie est tout simplement scandaleuse. En refusant de verser les sommes manquantes, ces entreprises empêchent les victimes d’être enfin indemnisées de manière suffisante et équitable. Si les marques continuent de se soustraire à leurs responsabilités, elles conduiront à un échec partiel de l’Arrangement sur les indemnisations. Les efforts en cours pour établir un mécanisme solide de dédommagements en cas d’accidents du travail seront également compromis. Coordonnée en Suisse par DB, la Campagne Clean Clothes demande à toutes les marques qui ont des relations d’affaires au Bangladesh de faire une contribution substantielle au fonds d’indemnisation pour les victimes. Elles doivent en outre signer l’accord sur la sécurité des bâtiments afin que ce chapitre si sombre de la chronique des catastrophes annoncées dans l’industrie textile puisse enfin être refermé.

Déclaration de Berne
Le 23/04/2015 à 09:17:59

sur la PRESENTATION DE LA PAGE: les encadrés a gauche sont superposés au texte de la cyberaction. c'est gênant.

odile Herrenschmidt
Le 16/12/2013 à 12:18:41

COMMUNIQUE DE PRESSE de la DECLARATION DE BERNE

Zurich/Lausanne, le 24 octobre 2013

Six mois après la tragédie du Rana Plaza, les victimes attendent toujours des indemnisations

Six mois après l’effondrement du Rana Plaza et onze mois après l’incendie de l’usine Tazreen au Bangladesh, les victimes et leurs familles attendent toujours des indemnisations. Le bilan de ces deux tragédies est très lourd : 1250 personnes ont perdu la vie et plus de 2500 ont été blessées. Un nouveau rapport condamne la passivité dont font preuve la plupart des entreprises textiles concernées et exige qu’elles versent au plus vite des indemnités justes et suffisantes aux victimes.

A l’initiative Fédération syndicale IndustriALL, de la Campagne Clean Clothes (CCC) et d’International Labor Rights Forum (ILRF), les premières négociations ont eu lieu en septembre, à Genève, autour de la question des indemnisations aux victimes ainsi que d’un mécanisme de partage de ces sommes. Les parties présentes se sont entendues sur la création d’un fonds international aux victimes, auquel les entreprises clientes directes ou indirectes du Rana Plaza devraient contribuer. Un comité composé de représentants des entreprises, du gouvernement bangladais, de l’Association des fabricants et exportateurs de textile du Bangladesh (BGMEA), ainsi que des syndicats et des ONG a également été mis en place. Présidé par l’Organisation Internationale du Travail (OIT), il a pour mission de faire avancer les négociations sur les indemnisations.

Six mois après l’effondrement tragique du Rana Plaza, plus de 100 entreprises textiles ont par ailleurs signé un « Accord sur la sécurité des bâtiments et la protection contre les incendies au Bangladesh ». Cet accord couvre plus de 1600 usines dans le pays, soit quelque 2 millions d’ouvrières et d’ouvriers. Les premières inspections sont prévues pour novembre 2013. La plupart des entreprises concernées ne se sont cependant pas engagées à ce jour à participer financièrement au fonds de dédommagement pour les victimes. Si beaucoup d’entre elles ont signé l’Accord, elles semblent rechigner à assumer leurs responsabilités lorsqu’il s’agit de dédommager concrètement les victimes. La CCC condamne cette attitude inconséquente et demande en outre que les victimes de l’incendie qui a ravagé l’usine Tazreen en novembre 2012 soient indemnisées selon le même modèle.

Plus d’informations ici ou auprès de :

Géraldine Viret, responsable communication de la Déclaration de Berne, 021 620 03 05,viret@ladb.ch.  
Contexte

· Le comité de coordination (Rana Plaza Compensation Coordination Committee) est composé de: Primark, Benetton, Loblaw, El Corte Ingles, IndustriALL Bangladesh Council, IndustriALL Global Union, des représentants du gouvernement bangladais, des représentants de l'Association des fabricants et exportateurs de textile du Bangladesh (BGMEA) ainsi que de la Campagne Clean Clothes. La présidence est assurée par l’OIT, qui agit de façon neutre et indépendante. La prochaine réunion du comité aura lieu le 29 octobre.

· Jusqu’ici, les entreprises suivantes ont fait des efforts pour indemniser les victimes : Primark et Loblaw se sont engagées à verser une aide d’urgence, Primark a déjà versé cette aide aux familles concernées. Primark, Benetton, Loblaw et El Corte Ingles font partie du comité de coordination (Rana Plaza Compensation Coordination Committee). Inditex, Bon Marché et Mascot ont laissé entendre qu’elles seraient prêtes à participer au fonds pour les victimes.

· Les entreprises suivantes ne se sont toujours pas engagées à verser des dédommagements : Adler Modemärkt (Allemagne), Auchan (France), Camaieu (France), Carrefour (France), Cato Fashions (USA), Children’s Place (USA), LPP (Pologne), Iconix (USA), JC Penney (USA), Kids for Fashion (Allemagne), Kik (Allemagne), Mango (Espagne), Manifattura Corona (Italie), Matalan (Royaume-Uni), NKD (Allemagne), Premier Clothing (Royaume-Uni), Store 21 (Royaume-Uni), Texman (Danemark), Walmart (USA), YesZee (Italie), C&A (Allemagne/Belgique), Dress Barn (USA), Gueldenpfennig (Allemagne) et Pellegrini (Italie).

Alain Uguen
Le 24/10/2013 à 14:31:56

Les grandes marques de vêtements ne se sont pas déplacées pour négocier à Genève la grille d'indemnisation des 1 133 victimes de cet accident. Les ONG et la Fédération syndicale internationale, IndustriALL, sont en colère.

Les victimes attendront ! C’est le message qu’ont reçu les victimes des accidents du travail de Tazreen (112 morts, le 24 novembre 2012) et de Rana Plaza (1 133 morts, le 24 avril 2013) avec l’échec de la négociation sur leur indemnisation. Celle-ci s’est déroulée lieu les 11 et 12 septembre à Genève sous la houlette de l’Organisation internationale du travail (OIT) et de la Fédération syndicale internationale IndustriALL. Une trentaine de marques internationales de vêtements étaient invitées à cette négociation dont l’objectif était d’élaborer une grille d’indemnisation pour les victimes et leurs familles qui n’ont rien ou très peu touché à ce jour. Seules onze de ces entreprises se sont rendues à Genève. Les grandes marques se sont défilées et notamment Carrefour et Auchan pour les marques françaises. Carrefour conteste sa responsabilité dans l’accident de Rana Plaza. Pourtant, une étiquette "Carrefour" a été retrouvée dans les décombres de l’usine qui s’est effondrée.

Les ONG et la Fédération syndicale internationale IndustriALL qui représentent les victimes, ne cachent pas leur colère. Selon Neyla Ajaltouni du collectif Ethique sur l’étiquette, « La fourchette basse de l’indemnisation s’élève à 54 millions d’euros pour le Rana Plaza et à 4,3 pour Tazreen. Notre but était de parvenir à ce que ces marques indemnisent ce qui relève vraiment de leur responsabilité ». Pour autant, la négociation devrait reprendre début octobre avec les onze marques qui assument leur responsabilité dans ces accidents.
http://www.cfdt.fr/portail/prod_163339/bengladesh-echec-des-negociations-sur-lindemnisation-des-victimes-de-rana-plaza  

Alain Uguen
Le 25/09/2013 à 17:30:42

Suite à l’effondrement de l’usine du Rana Plaza il y a six semaines au Bangladesh, une action de protestation a été organisée à Paris, devant un magasin Camaïeu.

11 juin 2013-Action de rue devant une boutique Camaïeu à Paris
L’effondrement le 24 avril dernier de l’immeuble du Rana Plaza qui abritait cinq usines textiles est à la hauteur de la violence de l’accident : plus de 1129 morts et 1650 blessés, dont de nombreux blessés graves ou handicapés à vie. Un mois et demi après le drame, ces milliers de victimes et leurs familles, privées de toute ressource et obligées de s’endetter pour survivre, attendent toujours d’être indemnisées.

Les ONG et syndicats bangladais et internationaux estiment à plus de 54 millions d’euros le montant des indemnisations dues aux victimes du Rana Plaza.

En dépit de la gravité et de l’urgence de la situation, seules sept marques*, parmi les dizaines qui avaient une production au Rana Plaza, se sont engagées à indemniser les victimes. En France, aucune des marques dont des vêtements ou étiquettes ont été retrouvées dans les décombres n’a à ce jour reconnu sa responsabilité ni accepté de participer au fonds d’indemnisation des victimes.

Camaïeu, dont des étiquettes et un pantalon ont été retrouvés au milieu des gravats par des organisations locales de défense des droits des travailleurs, et filmés par des journalistes, a gardé le silence jusqu’à ce matin face à nos sollicitations répétées.

A l’annonce de cette action, l’entreprise a pris contact avec nous pour annoncer qu’elle acceptait de participer en partie à l’indemnisation des victimes pour une commande passée en mai 2012 auprès d’une usine des cinq usines du Rana Plaza.

Pour le Collectif Éthique sur l’étiquette et Peuples Solidaires, les engagements pris ce jour par Camaïeu sont un premier pas positif, mais l’entreprise doit reconnaître entièrement sa responsabilité dans cette affaire, y compris pour des commandes qui auraient été sous-traitée par ses fournisseurs de manière non autorisée. « Le phénomène de sous-traitance informelle au Bangladesh est de notoriété publique, et ne peut servir d’excuse pour se dédouaner de sa responsabilité » estime Dorothée Kellou, de Peuples Solidaires pour le Collectif Éthique sur l’étiquette.

* Primark, El Corte Ingles, Loblaw, PVT, Matalan, Benetton et Premier Clothing.

Alain Uguen
Le 14/06/2013 à 15:24:23

L’invitation est très tardive, mais l’organisation de l’action aussi, coordonnée avec l’intersyndicale de Camaïeu (CFDT-CGT-FO): nous organisons mardi 11 juin à 11h un happening devant le magasin Camaïeu rue de Caumartin (notre spot habituel) pour exiger l’indemnisation des victimes du Rana Plaza, alors que la production de l’enseigne y est avérée. Encore une fois les marques françaises se distinguent par leur silence.

En pj :

- Le communiqué de presse

- Le briefing destiné aux participants – un rapide récapitulatif ci-dessous



Merci de relayer auprès de vos réseaux – toutes les participations sont bienvenues !



Solidairement,



Nayla



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HAPPENING « Camaieu doit indemniser les victimes »



Mardi 11 juin devant le magasin Camaïeu de Havre Caumartin :

97, rue Saint Lazare – Paris 9e (RER Haussman – Saint Lazare ; Métro Saint Lazare ligne 14)



Dress code : tenue d’enterrement



Déroulé

10h45 : Arrivée des militant-e-s devant le magasin Camaïeu (rue de Caumartin)

11h00 : Avancée funéraire du cercueil (se placera à l’angle du magasin)

11h05 : 1 minute de silence

11h10 : Prise de parole publique (discours des associations organisatrices, Peuples Solidaires et Ethique sur l’Etiquette)

Alain Uguen
Le 10/06/2013 à 10:17:42

Au delà de ce drame, au delà de ces 2 marques, il y a un problème de société.

Les gens demandent des prix on leur fait des prix, seul critère de choix puisque la provenance est bien souvent confidentielle.

CamaIêu a au moins une fabrique en France, il y a un magasin d'usine. Quand à Auchan il s'y retrouve de nombreux produits français également, comme le prouve les numéros d'usine dans les ovales de sa gamme alimentaire, bien souvent.

Prendre ces deux marques comme bouc émissaire ne me semble pas le meilleurs moyen, les concurrents chercheront à garder les boycotteurs en faisant des prix et on retombera sur la fabrication, la sous traitance à l'étranger.

A mon avis il y a 2 moyens d'action :
qu'une loi oblige à mentionner les lieux de fabrication, quel que soit le produit
que cette même loi concerne également les ingrédients principaux.

Que le cout du travail, de notre confort social porte sur les produits consommés en France, et pas sur les produits fabriqués en France pour jouer sur les couts : taxer la consommation et pas le travail...mais peu de français on compris la TVA sociale.
Faire porter les charges, les cotisations retraites, tout ce qui alourdi le cout du travait en France, aussi sur les produits importés en transférants les charges sociales sur la TVA.

Combien de compotes sont faites avec des pommes d'Amérique latine ???
Est il utile de revenir sur l'histoire des lasagnes ?
Pourquoi la main d'œuvre française est si couteuse, et les produits importés si peu couteux ?

c'est pas une question de politique mais de bon sens...

Frédo
Le 31/05/2013 à 21:34:25

Les ouvriers du Bengladesh ont besoin de nos achats pour vivre. Continuons à acheter des vêtements à Auchan, mais n'y faisons plus nos courses ! Ce sera beaucoup plus efficace pour faire pression que de juste cesser d'acheter leurs vêtements.

Jean-Claude
Le 31/05/2013 à 17:54:19

Suite aux commentaires écrits depuis le 27, que je partage pour la plupart. Oui, pour les portes restant ouvertes en plein hiver : totalement scandaleux et irresponsable! Oui pour le boycot de ces 2 marques : nous n'irons plus chez Auchan et nous ne sommes déjà pas clients de Camaïeu. D'ailleurs ce qui serait réellement efficace: un véritable boycot d'un mois par une grande partie de la population...mais est-elle pas prête à ça? Je ne le pense pas. Eduquer les consommateurs à une responsabilisation? Un comble! Camaïeu laisse ses portes ouvertes:qui doit éduquer qui? Les grands groupes font fabriquer sans scrupules leurs fripes pour une misère et même pour la mort de centaines d'entre eux, pour venir ensuite nous les vendre avec une marge énorme de bénéfices sur le dos des ouvriers et des consommateurs : qui doit éduquer qui? Mais qu'attendons-nous? Sommes-nous "con" à ce point d'accepter l'inacceptable? Je pense que non et qu'il nous faut tout simplement oser faire le pas d'une véritable résistance à la consommation. Cette tragédie du Bangladesh est une triste illustration de ce à quoi mène le consummérisme éfreiné de notre modèle de société libérale : droit dans le mur...

Christine
Le 31/05/2013 à 12:49:38

je suis pour le boycott de ces deux marques, c'est le seul moyen efficace de les faire plier
et cela n'affectera en rien les ouvriers du Bangladesh;
de toutes façons je ne pourrai pas porter un vêtement dans les conditions actuelles, en pensant que celle qui l'a fabriqué est peut-être morte écrasée ou brûlée vive

Gaud
Le 31/05/2013 à 11:52:48

Je souhaitais rebondir sur les propos de Viviane concernant les portes ouvertes des magasins au plus froid de l'hiver. J'ai effectué les mêmes remarques avec les mêmes retours ! Cette façon de procéder est tellement en contradiction avec les recommandations actuelles ! Inadmissible...

nat
Le 31/05/2013 à 10:49:26

Auchan a en effet annoncé qu'elle signerait mais a précisé que sa signature sera soumise à la possibilité de pouvoir en «clarifier les modalités», estimant qu’un «certain nombre de points (de l’accord) méritent d’être précisés». Et nous avons confirmation par nos partenaires syndicaux que pour le moment, aucun contact n'a été pris avec les syndicats internationaux qui rassemblent les sognataures, et aucune signature officielle d'Auchan n'a été reçue.

POur ce qui est de Camaïeu, merci de nous avoir transféré leur réponse. Camaïeu est confus dans sa réponse. Il n'y a pas de "pré-accord" à signer, mais un seul Accord, qu'ils peuvent soit signer, soit pas, mais pas d'autre option. Rien n'oblige les entreprises signataires à ma connaissance à avoir un bureau au bangladesh. Le simple fait d'avoir des sous-traitants / fournisseurs localement est suffisant, ce qui est le cas de Camaïeu. Là encore, très bien que Camaïeu annonce qu'elle va signer, mais aucun contact n'a été pris ni avec nous (ONG) malgré nos nombreuses relances, ni avec les conférdérations syndicales interaltionales qui régroupent les isgnatures. Donc, il serait bon que Camaïeu passe aux actes, et signe réellement cet accord. Enfin, la demande urgente que nous adressons à Auchan comme à Camaïeu est d'indemniser les victimes du Rana Plaza, or sur ce point, l'une comme l'autre restent silencieuses...

A votre disposition au besoin,
Fanny GALLOIS
Peuples Solidaires en association avec ActionAid

Fanny GALLOIS
Le 30/05/2013 à 10:30:19

Le boycot de ces deux marques Camïeu et Auchan est à mon avis le seul moyen pour qu'ils remuent le petit doigt et rejoignent ceux qui ont pris un tout petit engagement

VAREILLAS
Le 28/05/2013 à 11:49:24

Une action nationale serait sympa pour dire aux responsables des magasins Camaieu de cesser d'ouvrir leurs portes toute la journée (ouvert par tous les temps même en plein hiver)
Ces gens font fabriquer à bas couts ailleurs avec les dégats que cela engendre,et ici ,ils se permettent de gaspiller l'énergie...
Je me suis plusieurs fois permis de dire aux vendeuses de fermer les portes,elles m'ont répondu qu'elles n'en avait pas le droit!
D'autres enseignes font la même chose.

viviane
Le 27/05/2013 à 23:11:00

Bien sûr, très envie de boycotter toutes ces marques, les menacer, mais les syndicats des ouvriers du textile du Bangladesh demandent de ne pas le faire, car ils n'auraient plus de travail et ont besoin des 48€ max par mois !!!!
(dixit un article dans libération)

joëlle
Le 27/05/2013 à 21:03:31

Le Bengladesh est l'usine à vêtements du monde. L'engagement (!?) de ces marques est un tout petit pas. Les 9/10e des ateliers de confection ne sont pas concernés. Il faut, bien sûr, boycotter ces marques. Mais les gens, surtout les plus jeunes, veulent se procurer des vêtements à petits prix pour en changer souvent. C'est toute une éducation de responsabilisation qui devrait être faite auprès des consommateurs. Sinon, d'autres drames se produiront pour le plus grand profit des patrons, des actionnaires et des consommateurs sans scrupule.

Epervier
Le 27/05/2013 à 13:51:44

le seul moyen est de leur faire une très "bonne" pub, très agressive, comme il savent le faire pour vendre leurs produit.
Et ne rien lâcher! jusqu'à termes.
maintenait je ne vais plus à auchan.

fred
Le 27/05/2013 à 13:08:00

Le boycott de ces marques serait peut-être incitatif.

DBO
Le 27/05/2013 à 11:47:49

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