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Cette pétition est maintenant terminée

Bilan de la pétition : INTERDIRE TOUTE FORME D'ÉDUCATION VIOLENTE

Les enfants sont aujourd'hui, dans presque tous les pays, la seule catégorie d'êtres humains qu'il soit permis de frapper légalement, alors qu'ils sont les plus vulnérables.

Les conséquences de ces traitements subis à l'âge où le cerveau des enfants est en plein développement ne sont jamais anodines, notamment parce que les enfants apprennent ainsi qu'il est normal de régler les conflits par la force ou par la violence psychologique.

C'est pourquoi nous soutenons la proposition de loi visant à abolir toutes formes de violences physiques et psychologiques infligées aux enfants, dont l'article premier est le suivant : « Les titulaires de l'autorité parentale et les personnes qui s'occupent d'enfants mineurs n'ont pas le droit d'user de violences physiques, d'infliger des souffrances morales ni de recourir à aucune autre forme d'humiliation de l'enfant. »

Bilan de la pétition :

2118 participants

Présentation de la pétition :

Les enfants sont aujourd'hui, dans presque tous les pays, la seule catégorie d'êtres humains qu'il soit permis de frapper légalement, alors qu'ils sont les plus vulnérables. Il est en effet couramment admis, voire recommandé, de donner aux enfants des fessées, gifles et autres punitions douloureuses et humiliantes.

Les conséquences de ces traitements subis à l'âge où le cerveau des enfants est en plein développement ne sont jamais anodines, notamment parce que les enfants apprennent ainsi qu'il est normal de régler les conflits par la force ou par la violence psychologique (menace, humiliations, manipulation...).

Depuis une cinquantaine d'années, un grand nombre d'études, en particulier sur l'effet des châtiments corporels, ont montré de façon indubitable que la violence éducative a des conséquences graves, et qui peuvent durer toute une vie, sur la santé physique et mentale des individus et sur les relations sociales :

- dépression et maladies diverses, effets aggravés par le fait que la violence éducative n'est pas prise en compte dans la formation des médecins et autres professionnels censés les soigner ou, mieux, les prévenir,

- parce que la violence éducative ordinaire n'est pas considérée comme un problème en soi, elle rend possibles et encourage, tant par ses effets directs sur les individus que par le niveau de tolérance à la violence qu'elle engendre dans la société, d'autres formes de violence qui, elles, sont considérées comme graves : "maltraitance", violences conjugales, agressions sexuelles, délinquance...

Il est grand temps que toute forme de violence envers les enfants soit interdite, comme le demandent le Comité des droits de l'enfant des Nations Unies, l'Organisation mondiale de la santé et le Conseil de l'Europe, et comme le gouvernement français s'y est engagé en signant et ratifiant il y a maintenant vingt ans la Convention des droits de l'enfant.

Pour toutes ces raisons, nous soutenons la proposition de loi visant à abolir toutes formes de violences physiques et psychologiques infligées aux enfants, dont l'article premier est le suivant : « Les titulaires de l'autorité parentale et les personnes qui s'occupent d'enfants mineurs n'ont pas le droit d'user de violences physiques, d'infliger des souffrances morales ni de recourir à aucune autre forme d'humiliation de l'enfant. »

Pour plus d'informations, voir notre site :  www.oveo.org.  
------------------
Quelques articles fondamentaux :

« Pourquoi un Observatoire de la violence éducative ordinaire ? »
http://www.oveo.org/index.php?option=com_content&view=article&id=100&Itemid=43  

« La loi contre la violence éducative ordinaire : une loi préventive »
http://www.oveo.org/index.php?option=com_content&view=article&id=191:la-loi-contre-la-violence-educative-ordinaire-une-loi-preventive&catid=43:vers-une-loi-dinterdiction-en-france&Itemid=57  
------------------
Lectures pour approfondir le sujet :

Alice Miller : C'est pour ton bien - Racines de la violence dans l'éducation de l'enfant

Olivier Maurel : La Fessée (Questions sur la violence éducative) ; et : Oui, la nature humaine est bonne ! (Ou comment la violence éducative ordinaire la pervertit depuis des millénaires)

Texte de la pétition :


Les signataires :

- soutiennent la proposition de loi n° 2971 visant à abolir toutes formes de violences physiques et psychologiques infligées aux enfants, et appellent les parlementaires et le gouvernement à mettre à l'ordre du jour de leurs débats cette proposition de loi ;

- appellent les responsables et militants politiques de tous bords sensibles à cette question à avoir le courage de soutenir publiquement la nécessité d'une telle loi, et, comme cela s'est fait dans d'autres pays, à dépasser leurs divergences d'opinion pour prendre le parti des enfants ;

- demandent au gouvernement de mettre en place une vraie politique familiale avec des campagnes nationales d'information sur la violence éducative et la mise en œuvre de moyens pour le soutien à la parentalité non violente.

 

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27 commentaires

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OUI mais il faudrait prendre aussi en considération le fait que les parents stressés, angoissés, violentés au travail...ou au chômage, sont plus violents avec leurs enfants que les autres...

roro
Le 05/04/2011 à 14:49:15

juste une question: si à 3 ,4,5,......,10, 11 ans on donne une fessée pour "être obéï".... comment fait-on avec un enfant de 15, 16, 17 ans?

pourkro
Le 31/03/2011 à 21:53:38

Pour tous ceux qui reprochent aux enfants et adolescents d'être "insupportables", irrespectueux, etc... On ne peut demander à ces êtres en construction de se comporter en contradiction de leurs parents. L'enfant apprend en imitant. Si ses parents le respectent, il respectera. S'il est obligé de se soumettre à la loi du plus fort (coups qu'il ne peut rendre), il l'appliquera sur plus faible que lui. Elever un enfant n'a rien de naturel, c'est un challenge qui doit être débattu en société, car c'est l'avenir du monde qui en dépend.

elehcam
Le 01/03/2011 à 00:01:44

Dans ces commentaires on lit de tout. L'espoir ce sont les personnes qui s'ouvrent et qui ont compris, dans leurs coeurs, leurs âmes ou je ne sais quel mot employé, que la violence même "ordinaire" détruit des parties de nous, d'autant plus que cette "violence" n'est pas reconnu comme tel .. Non ce n'est pas un combat d'arrière garde, oui cela a à voir avec l'écologie (comment peut-on être non-violent avec la nature si l'on a été violenté dans sa propre nature?), oui cela a à voir avec la citoyenneté (comment aurait-on envie d'être ensemble si l'autre est vécu comme un agresseur potentiel?). Tout est en lien.
Je ne suis pas un ange, comme certain cyberacteurs qui ont écrit, j'ai pris conscience d'un certain nombre de violence que j'ai faites subir à mes enfants (qu'ils me pardonnent) et parallèlement celles que j'ai subies qui ont glacé mon âme... elle est en train de se réchauffer.... et soyons claire je ne suis pas ce qu'on appelle une enfant maltraitée au sens habituel du terme mais j'ai subi, comme 99% d'entre nous, des "violences éducatives ordinaires. Merci à Alice Miller et Olivier Maurel, avec qui j'ai beaucoup compris et avancé...

Vérélise
Le 19/01/2011 à 14:24:41

Bonjour.

Je signe la pétition et souhaite au passage témoigner de mon expérience pour expliquer mon commentaire : Il me semble que cette loi devra être accompagné d'une aide pour les parents,les éducateurs, les enseignants et toutes personnes ayant un lien avec les enfants . J'ai été une mère violente et je ne le suis plus. Je ne vais pas m'étendre mais juste dire que la lecture des livres d'Alice MILLER a considérablement éclairé mon chemin mais aussi fait sortir beaucoup de colère accumulée que l'entourage proche et moins proche n'est pas toujours prêt à recevoir ce qui nourrit cette violence ou oblige à une rupture. Il me semble qu'il est essentiel que dans certains cas les parents, soit aidés/accompagnés pour que leur propre violence-colère soit accueilli par "un ou plusieurs témoin(s) lucide(s)bienveillant(s)"(A.MILLER)une sorte de "sas". Ce dispositif pourrait trouver un parallèle dans les institutions y compris l'éducation nationale. N'oublions pas qu'un petit garçon d'Eure et Loir placé en institution spécialisée s'est enfui et est décédé il y a peu de temps je pense qu'un enfant qui évolue dans un lieu bienveillant ne s'enfuit pas!

SONIA
Le 12/01/2011 à 18:01:41

Je suis enseignante depuis près de 35 ans dans l'enseignement technique et professionnel. Donc avec des élèves dits "difficiles". Je n'ai jamais usé de violence envers mes élèves et j'ai toujours été respectée. Mes élèves travaillent généralement dans la bonne humeur mais avec beaucoup de sérieux.
Je ne pense pas qu'aucune forme de violence verbale ou physique soit à même d'améliorer les rapports entre les individus.
La violence de même que la sanction est un échec pour celui qui l'inflige. Il est tellement plus agréable d'obtenir la collaboration des élèves à leurs propres savoirs.
Comme je le répète régulièrement à mes jeunes collègues: pour être respecté, il faut être respectable et la violence n'y contribue certainement pas. Par contre sa propre remise en cause, les efforts consentis pour rendre la matière intéressante et une bonne maîtrise de soi sont certainement des facteurs qui contribuent au respect.
Si certains enfants sont "difficiles" aujourd'hui, ils ne le sont sans doute pas plus qu'hier. Pour canaliser leur énergie qui est souvent très grande, il faut leur offrir un grand choix d'activités et s'investir: amour, patience et courage (comme le dit un papa) font plus que force ni que rage.
Je pense que les enfants les plus violents sont ceux qui ont subi eux-mêmes cette violence et non l'inverse!

Josée
Le 08/01/2011 à 23:16:44

Sensibilisée depuis plusieurs mois aux appels au secours d'SOS Education pour les violences faites à l'école, que ce soit des enfants envers leurs enseignants ou des enfants entre eux, on peut se poser la question du bien fondé de signer contre les violences faites par les adultes envers les enfants... Toutefois, je ne doute pas que cette violence puisse encore exister, de manière cachée, et c'est pour cette raison que j'ai signé. Mais, ce qui m'apparaît comme une violence insupportable, subie par tous, ce sont les téléfilms policiers proposés tous les soirs à la télévision. La violence se trouve même là où l'attend le moins : dans les dessins animés, exemple : "L'âge de glace II" - Les enfants peuvent facilement s'identifier aux animaux qui commettent des actes lâches et très méchants sur leurs congénères. Personnellement, écoeurée, je n'ai pu aller jusqu'au bout du film ! L'école de la violence, du sexisme, est transmise par l'image, quotidiennement, et c'est cela à mon sens qui devrait faire réagir tout le monde. Je suis surprise du silence autour de tant d'exemples de violence à la télé et au cinéma. Pour conclure, je souhaiterais que le projet de loi dont il est question soit accompagné d'obligation éducative et d'instruction civique dès les petites classes pour mettre fin au règne du tout laisser faire en toute impunité !

Olivia
Le 04/01/2011 à 13:24:23

bonjour

vous vous fourvoyez dans ces combats stupides.Une bonne giffle a un enfant insupportable et qui ne recherche que des limites à l'expression de sa toute puissance est moins dangereuse qu'une éducation passant sur tous les caprices ou "négociant" d'égal à égal avec un enfant.
Mais surtout ne mélangez pas l'écologie avec ces pseudos débats de société comme l'ont fait avant vous et pour de biens mauvais résultats les syndicats ou certains partis politiques dont le discours sociétal a fini par supplanter toute reflexion politique.
si tel devait etre votre ligne de conduite, il ne serait plus necessaire de me compter parmi vis sympathisants

a bon entendeur...

hugues
Le 02/01/2011 à 18:50:16

Il faudra de plus en pllus être attentif à des violences que je qualifierai de religieuses : "Tu seras punie (en général, on punit plutôt les filles) si tu ne crois pas,si tu n'obéïs pas, si tu manges ceci ou cela, si tu n'es pas soumis(e)...". Que sais-je, la liste est longue, mais la punition terrible, puisqu'elle est sensée durer après la mort.L'excès de religion a fait partie des violences psychologiques jusqu'au début de ce siècle, et on assiste à un renouveau bien trop peu différent dans certains milieux familiaux. C'est contre cette violence là qu'il faut lutter, parce qu'elle met une autorité toute puissante au dessus de celle existente, et qui la cautionne.

bluppie
Le 29/12/2010 à 22:27:02

je partage les remarque de Geoffroy, de Bernadette et de Mambo42 ; tout est question de MESURE. le degré de violence croît avec les défailances de l'éducation, c'est donc sur cette dernière et sur toutes ses conditions qu'il faut agir et pas forcément par une loi répressive. Je vais pour le moins prendre connaissance des travaux d'Alic Miller avant de me décider à signer.

chloêlée
Le 22/12/2010 à 09:49:20

Un grand problème avec "l'autorité",qui m'a obligé à porter un secret trop lourd pour un enfant.je me répète un enfant vient au monde vierge de tout sentiments.Il commence sa vie sous influence malheureusement et le premier endroit ou il est confronté à la violence qu'elle qu'elle soit, est bien le giron familiale.Mme Badinter à aussi suggèré(notament sur le problème de la violence conjugale,femmes et hommes battues) de voir le rapport mère-enfants lorsqu'il y à violence,ce qui est difficile et pourtant nous sommes de loin les plus apte à influencer le comportement de nos enfants,biensur il n'est pas donné à tout le monde de se remettre en question et puis il y aura ce que l'on en fera de cette remise en question...

maya
Le 21/12/2010 à 16:54:08

Merci pour vos temoignages / commentaires.

Je suis un jeune papa et ne m'etais pas trop questionner sur le sujet...

Amour, patience et courage... Je prends cette solution !

manflower
Le 21/12/2010 à 12:16:30

Il serait bon, là encore et toujours, d'explorer l'origine du mal, pourquoi, comment… Avoir le courage et le bon sens de se regarder dans une glace.
Le premier exemple qui me saute aux yeux est la dérive au sein de l'éducation nationale, instits et profs ne sont plus que de simples pions. Un geste, une remarque…Et la famille leur tombe dessus a bras raccourcis !
Les enfants, surtout chez nous, ont pris de l'autorité des leur plus bas âge… Avez-vous eu l'opportunité de regarder "Super Nany", c'était criant de vérité de la cause aux conséquences.

Il y a toute une éducation à refaire, en commençant par celle des parents, et sans oublier que nos sociétés capitalistes sont une portes ouverte a tous les excès.
Donc je ne signe pas.

Mambo 42
Le 21/12/2010 à 08:02:43

Toute fessée est un drame; certes le traumatisme est tout relatif, en fonction de la violence, de l'injustice, et il est des indifférences qui blessent plus encore.
Mais quand on voit l'état du monde, on ne peut que conclure à l'urgence d'apprendre une autre forme d'autorité, tellement difficile à découvrir puisque nous sommes pionniers !
Certes les enfants sont souvent difficiles, mais c'est que leur cerveau est si puissant et qu'il ne savent pas encore s'en servir- ça perturbe !
La loi a ceci de salutaire qu'elle peut faire prendre conscience de l'erreur de notre modèle éducatif.
Le chantier est ouvert !

AB
Le 20/12/2010 à 19:40:11

J'hesite a signer cette action car si je crois sans aucun doute que la violence envers l'enfant, y compris la tape ou la fessee, est a proscrire, j'ai bien peur qu'une legislation sans accompagnement ne soit qu'un pansement sur une plaie infectee et qu'elle sera de toutes les facons rejetee par une majorite qui penseront 'voyons, j'en ai bien eu des fessees moi aussi, et je vais tres bien' ou alors 'une bonne fessee n'a jamais fait de mal'.

J'ai commence a realiser le non-sens de la violence educative lorsque, pour punir son enfant d'avoir tape le mien, mon voisin a file une claque a son fils en disant 'faut pas taper'. Moi-meme ai du evoluer d'un point de vue repressif ou je croyais appliquer la discipline avec amour en donnant des 'fessees', et je pensais combler les attentes de mon entourage. Mais mon coeur n'etait pas en paix.

Pourquoi faire mal aux enfants (claques, fessees sont bien destinees a faire mal, non?) aurait-il quelque valeur pedagogique que ce soit? Non, l'exemple, l'amour et la patience sont les seuls ingredients dont les parents ou educateurs ont besoin, mais aussi beaucoup de courage car c'est la voie la plus difficile, et je ne me permettrai pas de juger ceux qui ont du mal a l'aborder ou a s'y maintenir.

Je veux dire que c'est un objectif qui ne pourra etre atteint que lorsque les personnes seront *convaincues* que la violence educative est nocive, sinon inutile. Et j'ai peur qu'une legislation a l'aveugle comme nous savons si bien le faire en France, ne conduise qu'a une incomprehension generale.

Bien sincerement,
Jeremie.

Jeremie
Le 20/12/2010 à 18:10:55

"...d'infliger des souffrances morales ni de recourir à aucune autre forme d'humiliation de l'enfant."
je suis curieux de savoir qui peut juger et comment peut-on juger du moment à partir duquel un enfant subit une souffrance morale.
Je crois que là, tout le monde est condamnable.

Geoffroy
Le 20/12/2010 à 16:46:40

Je signe, bien qu'une fessée méritée ne me paraisse pas condamnable. Une des violences à bannir est celle du matracage publicitaire et de la propagande télévisuelle.

Geoffroy
Le 20/12/2010 à 16:40:00

Il me semble qu'il ne faut pas tomber dans l'excès inverse, et qu'une fessée ce n'est pas un drame. On est dans la négation du fait que des gosses sont parfois infernaux et utilisent eux-mêmes la violence ou des gestes interdits vis-à-vis des adultes ! Je connais une dame que son fils adolescent battait ! Pas mal d'adultes se plaignent que les enfants de nos jours même petits sont insolents et très difficiles à tenir.
Une fessée ? Qui parmi les gens de mon âge (72 moi aussi) n'en a jamais eu ? Je crois que la génération de parents actuels a tellement peur de se faire juger qu'elle en devient nouille ! Je vois ça avec ma petite-fille... qui est vraiment parfois absolument insupportable, et on la laisse faire !
Donc, je ne signerai pas. Entre une vraie violence et une tape ou une petite fessée la différence est de taille.

Bernadette
Le 20/12/2010 à 15:14:45

Mon amour universel pour tout animal qui respecte et donc se respect je l'exprime ainsi:

"Plus vous êtes altruiste, plus autrui vous aime.
Plus les autres vous aiment, plus je vous aime".
Raphaël.C

CRIOUET
Le 13/12/2010 à 17:01:31

J'insiste sur les travaux d'Alice MILLER. Psychanalyste de formation, elle n'a pas eu peur de renoncer aux théories de Freud et de les dénoncer.
Un livre indispensable retrace les racines de la violence c'est le livre d'Olivier MAUREL - "OUI, la nature humaine est bonne" - aux éditions Laffont.
Ce livre décrit comment la violence éducative ordinaire pervertit la nature humaine depuis des millénaires.

MARYSE
Le 09/12/2010 à 19:23:58

Bonjour,
En tant que fondateur et animateur de CHEMINS: " Convergence Humaine Emancipatrice pour un Monde Insufflant la Non-violence et la Solidarité ", dont l'objet est de promouvoir la non-violence dans tous les aspets de la vie par l'action, la réflexion et l'édition, je me dois de soutenir votre action et donc je signe votre pétition.
Amicalement Julien Corti

Corti Julien
Le 09/12/2010 à 11:01:56

Moi aussi j'habite la banlieue et j'y ai enseigné, et je peux vous dire que ce ne sont pas les jeunes ayant subit aucune violence qui la reproduise, bien au contraire !
De plus, aucune violence éducative ne veut pas dire "laisser tout faire", il y a d'autres alternatives, et c'est pourquoi il faut des actions d'accompagnement à la parentalité comme indiqué dans la pétition.
Il n'est jamais trop tard pour évoluer, nos enfants et nos petits-enfants sont un moteur si on sait s'élever avec eux ! On peut regarder vers l'avenir même à 72 ans...

Sam
Le 30/11/2010 à 11:32:15

"...n'ont pas le droit d'user de violences physiques, d'infliger des souffrances morales ni de recourir à aucune autre forme d'humiliation de l'enfant."
Quand on voit les dérives de l'éducation dans les banlieues, Rer, Métro dans la région parisienne, on peut se demander si "une mise au pas même un peu musclée" n'est pas souhaitable. J'ai 72 ans très prochainement, j'ai élevé trois enfants, ai six petits enfants et je ne pense pas avoir dépasser les limites de ma responsabilité d'éducateur. Le "laisser tout faire" nous montre sa réussite dans les banlieues...
Je ne signerais donc pas les termes exposés ci-dessus et je suis pourtant complètement contre les violences, sic!
Pepe92fr ...Jean-Louis

pepe92fr
Le 29/11/2010 à 22:40:51

Je renchéris sur l'importance des travaux d'Alice Miller. D'utilité publique, pour aller vers plus d'amour… de soi! qui entraine respect et amour des autres.
J'aimerais tant que la directrice de l'école de mes enfants soit touchée par la pensée d'Alice Miller…

eb
Le 25/11/2010 à 12:25:10

J'ai signé cette pétition, étant moi-même une ancienne enfant battue. La violence est toujours inexcusable, en particulier "sur personne vulnérable". Ce peut être un enfant, un vieillard, un malade, un employé, vulnérable puisqu'harcelable et virable... J'ai deux questions: Comment faire respecter une loi anti-violence, dans le huis-clos d'une famille, ou n'importe quel autre lieu, où la violence s'exerce sans témoins? Et puis, où est la source de la violence humaine, et comment la tarir? je pense que l'&éducation scolaire d'état, bien faite, est actuellement une réponse imparfaite, les campagnes télévisées aussi, mais qu'il faut suivre ce dossier sur le long terme.

Monique D.
Le 24/11/2010 à 14:36:55

Pourquoi ne pas profiter de cette pétition pour faire connaitre les travaux d'Alice Miller parce que ces travaux permettent eux aussi de comprendre que la violence envers les enfants n'est pas naturelle, mais qu'on reproduit ce que l'on a subis, que l'on croit que les claques sont indispensables parce que nos parents croyaient la même chose et qu'on ne pouvait les remettre en question sans justement risquer de recevoir une tape !

http://alice-miller.com/  

roblin
Le 24/11/2010 à 14:29:17

100% d'accord pour soutenir cette pétition !!
Je vais proposer au maximum de personnes de soutenir cette action !!

Emile Mas
Le 24/11/2010 à 00:09:33

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