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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : retrait du BPA dans les plastiques alimentaires

La commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale a adopté mercredi 10 juin, à l'unanimité, une proposition de loi destinée à suspendre la commercialisation de biberons produits à base de bisphénol A, ce que nous saluons.
Alors que ce texte sera discuté en séance publique le 17 juin, une majorité d'élus a cependant refusé d'étendre l'interdiction à tous les contenants alimentaires, mais cette décision est complètement illogique.

Bilan de la cyberaction :

6263 participants

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 16 Juin 2017,
8 ans après l’alerte du RES, le Bisphénol A reconnu comme perturbateur endocrinien chez l’humain !
3 mars 2009 : le RES organisait une conférence de presse à l’occasion de sa création. Comme exemple de la nécessité de faire de la santé environnementale un axe majeur de la politique de santé, le RES lançait une alerte sur le caractère perturbateur endocrinien du Bisphénol A en demandant son interdiction dans les biberons et en mettant en cause l’expertise biaisée de l’agence européenne de sécurité sanitaire de l’alimentation (EFSA) et de l’agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (AFSSA). 16 juin 2017 : 8 ans après, l’agence européenne des produits chimiques (ECHA) reconnaît le Bisphénol A comme perturbateur endocrinien pour l’humain. Le RES salue le travail effectué par l’agence française ANSES pour défendre ce dossier. Le BPA était déjà classé comme toxique pour la reproduction. Sa toxicité est maintenant reconnue comme « substance extrêmement préoccupante » (« very high concern »), soit le plus haut niveau de toxicité selon les critères de REACH, sur la base des effets sur le développement de la glande mammaire, les fonctions cognitives et le métabolisme. Le RES se réjouit de voir son alerte légitimée, même si on peut regretter le délai mis pour prendre cette décision, car les données scientifiques d’il y a 8 ans étaient parfaitement suffisantes pour proscrire cette molécule. « L’Union Européenne n’a plus aucune raison de retarder l’élargissement à l’ensemble de l’Union européenne de la loi votée en France, à l’initiative du RES, proscrivant le BPA dans les contenants alimentaires, estime André Cicolella président du RES. » A l’occasion de la réunion prévue à la fin du mois, la Commission Européenne doit maintenant accepter une définition des perturbateurs endocriniens permettant de les éliminer totalement de notre environnement au lieu d’introduire une différence selon que les effets concernent la santé humaine ou l’écosystème. « Le RES réitère sa demande faite auprès du ministre de la transition écologique d’avoir une position ferme à cette occasion. On ne comprendrait pas que Nicolas Hulot, devenu ministre, ne défende pas la protection de la santé de l’écosystème au même titre que la santé humaine, car les 2 sont intimement liées, plaide André Cicolella ». Cette classification rend encore plus aberrante la norme établie par l’EFSA (4 microgrammes par kilo et par jour), sur la base d’une expertise écartant les études effectuées aux faibles doses …. qui sont celles qui servent de base à la décision de l’ECHA ! Il est tout aussi urgent de réviser la norme en milieu professionnel (10 milligrammes par mètre cube…. ce qui correspond à une dose équivalente à 400 fois la norme EFSA !) Cette classification concernant le BPA doit être élargie aux grandes familles de perturbateurs endocriniens pour lesquels le dossier scientifique est solidement établi en priorité : phtalates, perfluorés, alkylphénols, polybromés, parabènes et pesticides. Le RES demande la mise en place rapidement de la 2ème phase de la Stratégie Nationale Perturbateurs Endocriniens.

* * * * * * *

ci-après le communiqué de presse du RES suite au vote du Parlement de la loi d’interdiction du BPA dans les biberons :
A l’exception du Nouveau Centre, les députés ont approuvé la proposition de loi votée par le Sénat d'interdiction du Bisphénol A (BPA) dans les biberons. L'amendement du député PS Gérard Bapt qui demandait une interdiction dans les contenants alimentaires, avec mise en oeuvre au 1/1/2012, n’a été retenu ni par le gouvernement, ni par le député UMP rapporteur du texte.
« Cette décision est illogique » selon André Cicolella, porte-parole du RES. En ajoutant « ni la Secrétaire d'Etat, ni le rapporteur, n'ont répondu à la question de la cohérence de la proposition de loi. Il est en effet absurde de vouloir protéger les nourrissons nourris via les biberons et de ne pas se préoccuper des nourrissons nourris au lait maternel ou au lait maternisé ». En effet l'AFSSA reconnaît elle-même qu'ils sont en moyenne 10 et 20 fois plus contaminés.
La meilleure façon d'éviter de contaminer le lait maternel est donc d'éviter la contamination maternelle. Ceci aura aussi pour effet de protéger le fœtus, ce qui est le problème majeur.
L'argument avancé par le rapporteur de la toxicité des produits de substitution ne tient pas non plus, car ceux-ci sont déjà commercialisés aux Etats Unis 1. Son autre argument de l'absence de données chez l'homme n'est pas non plus recevable. Les données animales sont une très bonne indication de la toxicité chez l'homme et elles sont toutes convergentes, à l'exception d'une poignée d'études publiées par l'industrie chimique. C'est bien par l'expérimentation animale que l'on teste les médicaments.
Certes, la Secrétaire d'Etat s'est engagée à faire un rapport au Parlement sur le sujet en janvier prochain et à prendre alors des décisions au regard des rapports attendus d'ici là : Inserm (à l'automne), AFSSA (sur l'exposition des Français), Agence européenne EFSA (juillet), OMS (Octobre) et FDA aux Etats-Unis.
Valérie Létard a notamment annoncé que le Ministère de la Santé publiera en juillet une plaquette à destination des femmes enceintes pour éviter l'exposition au BPA.
Cette reconnaissance de la réalité du problème marque une rupture avec la position du gouvernement défendue il y a un an encore par Roselyne Bachelot et l'AFSSA sur l'inexistence du risque.
Ceci étant, selon André Cicolella, porte-parole du RES « c'est bien d'informer les femmes enceintes, mais c'est encore mieux d'éviter qu'elles ne soient contaminées, car toutes ne seront pas informées du risque et les plus à risque seront les moins favorisées ».
Le RES va donc continuer sa campagne avec toutes les associations et les professionnels de santé qui considèrent que mettre fin à la contamination de la quasi-totalité des fœtus et des nourrissons allaités par une substance toxique comme le Bisphénol A est aujourd'hui une mesure de protection de la santé publique urgente.
L’Appel européen lancé aujourd’hui par 60 scientifiques et ONG (dont le RES) à l’attention de l’AESA (Agence européenne de sécurité des aliments) va dans ce sens.
Bonne réception.
Porte-parole : André Cicolella 06 35 57 16 82
Coordination : Soléane Duplan 06 70 07 84 87
1 Voir le dossier No Silver Lining (page 13) publié par plusieurs ONG américaines. Ce rapport contient des analyses de produits qui montrent que 92 % de l'échantillon de boîtes de conserve analysé est contaminé au BPA, ce qui se traduit par des expositions quotidiennes de l'ordre de 1µg/kg/j soit une dose qui se traduit par des impacts sévères chez l'animal (Infertilité par exemple). Voir Traduction d'une partie sur le site du RES et sur  www.stop-bpa.fr.  

Présentation de la cyberaction :

On ne peut d'un côté vouloir protéger le bébé qui boit du lait dans un biberon et ne rien faire pour protéger le bébé qui boit le lait maternel ou le lait maternisé. Nous rappelons qu'une étude de l'Afssa (Agence française de sécurité sanitaire des aliments) montre que «l'intoxication du nourrisson est générée 10 fois plus par le lait maternel et 20 fois plus par le lait maternisé que par le biberon lui-même».

Comme l'INSERM vient de le rappeler dans une expertise récente, le BPA est dangereux à très faibles doses pour les personnes qui y sont exposées et en priorité les foetus, avec des impacts sur la santé pour le futur adulte et même sur plusieurs générations. La quasi-totalité de la population est concernée par cette exposition vraisemblablement comme aux Etats Unis (92 % des Américains).

Il faut donc demander l'interdiction du BPA dans tous les plastiques alimentaires au plus vite !

- Mobilisez-vous !
Nous vous invitons à nous retrouver le mercredi 16 juin à 13h devant l'Assemblée Nationale à Paris. Apportez votre pique-nique et venez en famille, entre ami(e)s, collègue(s), prenez des objets en plastique contenant du BPA (plus de données dans notre page information). Nous mettrons à votre disposition des panneaux. Cette mobilisation sera l'occasion pour nous de rencontrer les présidents des groupes parlementaires pour porter votre voix!

La lettre qui a été envoyée :


Madame, Monsieur le député,

La commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale a adopté mercredi 10 juin, à l'unanimité, une proposition de loi destinée à suspendre la commercialisation de biberons produits à base de bisphénol A, ce que nous saluons.

Alors que ce texte sera discuté en séance publique le 17 juin, une majorité d'élus a cependant refusé d'étendre l'interdiction à tous les contenants alimentaires, mais cette décision est complètement illogique.

Comme l'INSERM vient de le rappeler dans une expertise récente, le BPA est dangereux à très faibles doses pour les personnes qui y sont exposées et en priorité les foetus, avec des impacts sur la santé pour le futur adulte et même sur plusieurs générations. La quasi-totalité de la population est concernée par cette exposition vraisemblablement comme aux Etats Unis (92 % des Américains).

Je vous prie donc de demander l'interdiction du BPA dans tous les plastiques alimentaires au plus vite !

Veuillez agréer, Madame, Monsieur le député, l'assurance de ma mobilisation citoyenne.

 

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12 commentaires

credible

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Quand je vois le gaspillage de verre dans notre société (au niveau du refus de son recyclage , pour des raisons économiques de court terme), je me dis qu'il ne coûte pas encore assez cher à l'achat pour le mettre ensuite en recyclage avec intéressement financier . Et les verriers pourraient produire en plus grande quantité .

halais
Le 29/06/2010 à 00:06:59

Il serait peut-être temps de changer d'époque.
Il es à espérer si on veut que la vie puisse continuer que l'énergie bon marché issue du pétrole soit abandonnée.
C'est tout le plastique qui est à abandonner, ils mangent quoi, maintenant les petits poissons ?
http://www.terra-economica.info/La-mer-de-plastique-transformee-en,9910.html  


LILI
Le 25/06/2010 à 09:27:42

L'on dit que les boîtes dites de conserve qui ont un revêtement intérieur plastifié blanc- la majorité des conserves aujourd'hui- contiennent également du BPA. Il faut exiger un revêtement de substitution également!

strab
Le 22/06/2010 à 22:08:44

Et si on faisait en sorte de vraiment avoir une gestion du recyclage cohérente et complète ?
Parce qu'on est encore tous à se demander ce que l'on doit mettre au recyclage et ce qui n'y va pas, parce que ce n'est pas la même chose d'un département et d'une région à l'autre et qu'il n'y a aucune logique au tri sélectif,
de réelles actions politiques sont nécessaires, et si possible avec des moyens réfléchis, et économiquement et écologiquement crédibles !

faloukette
Le 18/06/2010 à 01:58:18

Et si on utilisait moins de récipients en plastique mais plutôt en verre. Au lieu de jeter bocaux et bouteilles pourquoi ne pas les recycler pour conserver les aliments.

malu
Le 17/06/2010 à 13:00:14

La preuve de cette décomposition est la présence de BPA dans le lait (pour les biberons) ou dans la quasi-totalité des canettes et boîtes de conserve .Voir le dernier N° de Que Choisir ? ou la brochure No Silver Linig publiée par un collectif d'ONG américaines. Les doses quotidiennes peuvent être de l'ordre de 1µg/kg/j ce qui correspond à des doses induisant des effets chez l'animal. Cette plaquette donne de plus une liste de solutions de remplacement déjà mises en oeuvre. La société Eden Foods par ex depuis 1999.
Il n'ya aucune raison de ne pas interdire cet usage du BPA. C'est ce qu'on déjà fait plusieurs états américains, le dernier le Vermont, avec des délais de mise en oeuvre de 2 ans. Preuve que c'est possible.

Merci pour votre soutien à cette campagne !

André Cicolella
Le 16/06/2010 à 23:12:18

Puisque nous devons changer nos références il serait souhaitable à l'avenir d'exiger des "autorités" qu'elles prouvent la validité, l'innocuité, l'utilité, la bienfaisance des produits mis sur le marché. La commercialisation des produits sous prétexte qu'il y a un marché ne convient plus. Ou encore dire que "cette production crée des emplois" ne convient plus non plus puisque le chômage et les êtres humains qui le subissent sont plus ou moins considérés comme variables d'ajustement.
Pour moi, un être vivant est un absolu surtout lorsqu'il est humain. Les productions vont devoir "justifier" de leur compatibilité avec le vivant et c'est le vivant qui doit primer sur l'argent.

Philomène
Le 16/06/2010 à 18:04:17

bidon tout cela ! on va épandre partout en France sur les terres agricoles ...en catimini..les poubelles sales..triées et mélangées avec de bons déchets verts..
mais les résidus polluants comme le Bisphénol A mais aussi phtalates, PFOA, pesticides , résidus médicamenteux et chimiques seront déposés aux pieds de nos cultures...pourquoi? parce que nous avons une norme franco française cocorico qui ne "détecte" pas ces polluants CQFD- bonjour les dégâts déjà que Veolia a été refusée au club européen du compost car non conforme aux règles..mais les français peuvent avaler des cochonneries de plus..IL Y A BIEN UNE PETITION ..MAIS c'est fait en secret alors ???

foehn
Le 15/06/2010 à 14:46:52

cf WIkipedia :
Certains monomères entrant dans la composition des résine composites d'obturation utilisés pour les soins dentaires sont partiellement constitués de bisphénol A : il s'agit du Bis-GMA (diméthacrylate glycidique de bisphénol A), du Bis-EMA (diméthacrylate d'oxyde éthylène de bisphénol A) et du Bis-DMA (diméthacrylate de bisphénol A)[9]. De par ses liaisons esters, le Bis-GMA n'est pas hydrolysé et ne libère donc pas de bisphénol A, ni le Bis-EMA. Ces deux monomères sont les plus fréquemment utilisés. Seul le Bis-DMA montre des signes d'hydrolysation et de libération de bisphénol A. En revanche, aucune résine composite ne contient directement de bisphénol A.
# Les résines contenant du bisphénol A sont très utilisées comme revêtement intérieur des boîtes de conserves

guitwo
Le 15/06/2010 à 13:57:13

ce plastique est-il aussi mauvais pour les petits animaux ? Je donne actuellement le biberon à 2 petites chattes orphelines, et je ne voudrais pas les rendre malades en plus de leur absence de mère. et dans les autres plastiques alimentaires, est-il présent ?? Merci de vos réponses.

grandmère jardinière
Le 15/06/2010 à 12:51:49

On est toujours dans le même scénario. C'est la lutte trés inégale - à priori!-du citoyen contre le pouvoir de l'argent représenté par les différents lobbies . Ceux de la très puissante industrie chimique- avec Bayer,Total, BASF, General Electrics, Procter , Gamble etc...puis bien d'autres comme Areva , Suez, la grande distribution avec Auchan ,Carrefour , etc qui n'en ont cure de l'homme et de la planète du moment qu'ils engrangent les richesses . En plus ils déguisent maintenant leurs activités sous le sigle de développement durable ....

jojoduchato
Le 15/06/2010 à 11:01:19

petite précision pour éviter les accusations d'approximation de nos détracteurs : le BPA n'est pas un constituant normalement présent ni dans le polycarbonate (le plastique utilisé pour les biberons) ni dans les vernis époxy des boîtes métalliques, c'est un produit de base dans la fabrication de ces matériaux et les réactions chimiques conduisent normalement à son élimination.

Sa présence dans le produit fini s'explique donc de 2 façons différentes :
- dans le plastique, il s'agit de mauvaises conditions de moulage qui conduisent à une réaction chimique inverse. Les producteurs de polycarbonate (General Electric, Bayer et quelques rares autres) arrivent à contrôler la réaction chimique avec assez de précision et à faire des contrôles assez précis pour dire qu'il n'y a plus que quelques traces de BPA dans leur produit, traces inférieures aux taux tolérés. Les fabricants de biberons et autres objets en polycarbonate n'ont eux aucun moyen pour vérifier la teneur en BPA de leur produit fini, leur seule arme étant le respect des bonnes pratiques de fabrication, en l'occurrence le parfait séchage de la matière avant moulage. Il semblerait que Bayer (les autres sans doute aussi), commence à savoir produire des qualités de polycarbonate sans passer par le BPA mais il semblerait logique que leur décomposition en présence d'humidité reste capable de former du BPA. A défaut d'avoir les mêmes performances (transparence proche de celle du verre, très grande résistance aux chocs mécaniques - les vitres pare-balles sont en polycarbonate), d'autres plastiques peuvent être utilisés pour faire des biberons et autres récipients en plastique... En attendant de découvrir peut-être un jour qu'eux aussi contiennent des résidus dangereux !
- dans les vernis, il s'agit d'une réaction chimique incomplète à l'issue de laquelle la totalité du BPA n'est pas transformée. Les utilisateurs de ces vernis n'ont aucun moyen de vérifier la teneur en BPA de leur produit fini. Les fabricants de vernis ne semblent pas encore capables de produire industriellement des vernis équivalents sans utiliser le BPA. Avant les vernis époxy, on utilisait le verre puis l'acier non verni, jugé depuis insuffisamment résistant à la corrosion, et on n'utilisait pas l'aluminium, pas assez résistant. A part l'abandon des conserves (solution fort intéressante par ailleurs), il semble donc y avoir peu d'alternatives applicables à court terme, le recours au verre étant limité par la capacité de production des verriers.

Il se peut que quelques parlementaires aient un peu creusé le sujet et que l'absence de vraie alternative aux vernis époxy explique leurs réticences à l'interdiction totale et immédiate de ces matériaux mais, a priori, rien ne s'oppose techniquement et économiquement à celle des polycarbonates au contact des aliments.

Alain Uguen pour AN ONYME
Le 15/06/2010 à 08:49:18

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